Avis
: nous ne pouvons pas vérifier toutes les informations transmises
par les lecteurs. Nous rappelons que les courriers des lecteurs
sont publiés sous leur seule responsabilité et que
l'action de l'ARDHD se limite à les insérer dans ces
colonnes en ajoutant la mention 'Lecteur". Pour des raisons
de sécurité les publications sont anonymes, mais l'ARDHD
conserve le double des messages E-Mail. L'ARDHD s'engage en contrepartie
à publier les réponses à ces courriers et/ou
les rectificatifs.
14/09/01
L'ARDHD condamne les attentats terroristes
L'ARDHD
condamne formellement les attentats terroristes et en particulier
ceux qui viennent de se produire aux USA. Elle s'associe à
toutes les manifestations de deuil en France et dans le monde
et elle adresse toutes ses condoléances aux familles
des victimes.
____________________
________________
SEMAINE SUR LA DISCRIMINATION
RACIALE A DURBAN !
La
situation à Djibouti - Note de la LDDH
Je
vous avais adressé, il y a une semaine, un article consacré
à notre ancien Président de la République.
Vous m'avez répondu que, confronté à un
débat tribal suscité par des lecteurs, vous aviez
pris la décision de ne plus publier les courriers des
lecteurs anonymes.
Je
vous renvoie cet article aujourd'hui avec ma signature. Il décrit
la politique du Président Gouled, largement commenté
par les lecteurs du site ARDHD, et je me sens vraiment très
proche des commentaires de nos amis.
Je
n'ai aucune intention d'insulter qui que ce soit, mais il y
a des mots dans les langages humains pour décrire une
certaine situation connue. Nous avons l'habitude de dire notre
chagrin ; à petite dose il prouve notre affection ; mais
à trop forte dose, il met en évidence quelques
faiblesses d'esprit.
Vous
êtes un expert de la politique de Djibouti et personne
ne conteste votre compétence ni votre volonté
d'aider les démocrates Djiboutiens pour sortir de l'obscurité.
Je crois que vous avez bien compris mon message.
J'espère
aussi, au nom de la liberté d'expression, que vous allez
publier mon article, sous mon entière responsabilité.
A.A.A.
ancien fonctionnaire.
--------------------------------------
Hassan Gouled n'est pas le
père de la Nation,
mais le leader d'une tribu.
Les problèmes de santé de Hassan Gouled, n'intéressent
pas le Peuple djiboutien qui s'en fout, ni les victimes de sa
politique de ségrégation qui s'en moquent. Les
agressions graves contre les citoyens, la torture, les licenciements
abusifs, les embauches sélectives sur des critères
tribux (il fallait mieux être Mamassan qu'enfant d'une
des tribus dites périphériques ou Afar), déchénaces
de la nationalité Djiboutienne, etc.
Sa disparition
éventuelle ne concernera uniquement que sa famille «Madame
Habiba Idris, IOG, Djama Ali, etc» et les courtisans.
Les victimes de sa politique de ségrégation, défunts
ou vivant disent simplement que le permis de torturer, de tuer
délibérément n'est pas éternel,
et nous en avons la certitude, que vous avez bien compris depuis
la récente nouvelle.
Il n'a jamais demandé pardon aux milliers de Djiboutiens
victimes de sa politique raciale et tribale. Comme vous le savez,
Monsieur Gouled, des centaines de personnes, essentiellement
des enfants, souffrent de maladies, de malnutrition quelque
part en Ethiopie à cause de votre politique de ségrégation
? La vengeance c'est la forme de pensée la plus archaïque
chez les hommes. Donc nous ne réclamons pas de vengeance
mais nous ne vous disons pas au revoir et vous comprendrez pourquoi,
Monsieur Gouled.
Malgré les crimes qu'il a commis pendant son règne,
il continue de bénéficier de soins de qualité
prodigués par des médecins français au
nom de la coopération dans l'hôpital militaire
français du Val de Grâce. Nous rappelons que l'hôpital
en question n'est pas accessible aux Djiboutiens à l'exception
des courtisans du régime et des Mamassans.
Ils demandent
toujours plus et jamais ils ne pourront vivre dans un Etat de
droit. Le divorce entre le peuple djiboutien et les membres
de cette tribu est indispensable. Hassan Gouled n'est pas le
père de la Nation, mais le leader d'une tribu, il l'a
démontré tout au long de sa carrière politique
et nous n'ajouterons rien de plus.
Nous accusons solennellement les Mamassans et la famille Hed
qui pratiquent la détérioration de biens publics,
le détournement des fonds publics, l'injustice et l'arrogance.
Pour ces raisons nous consacrerons un prochain article à
Djama Hed.
Ce monsieur,
un inculte complet dans les techniques bancaires, occupe le
poste de gouverneur de la banque Nationale de Djibouti, tout
simplement parce qu'il est le frère de Madame la Présidente.
Il a fait des stages au Sénégal et en France,
et il doit sa carrière d'administrateur aux débats
amoureux de sa soeur Kadra Hed.
Cette même
femme a quitté Abdallah Kamil son mari dès que
ce dernier a perdu son poste de Premier Ministre au sein du
Gouvernement présidé par Hassan Gouled. Elle lui
a préféré le chef du cabinet du Président
Hassan Gouled qui est le Président-Dictateur actuel.
Je sais de quoi je parle, car j'ai travaillé avec lui.
Il était nul, l'est toujours et le sera.
Cet homme qui prétend gouverne notre Banque nationale
n'apprécie vraiment pas la présence de personnes
cultivées dans ses services, surtout s'ils sont issus
d'autres ethnies du pays. En les rejetant, il pense qu'il évitera
des comparaisons dramatiques qui mettraient en évidence
son niveau incroyable d'incompétence et d'inculture.
Malheureusement
pour lui tout se sait et tout le monde connaît le niveau
d'incompétence de ce homme ainsi que celui deson beau-frère
le Président-Dictateur de la République.
C'est
quand même bien peu glorieux de devoir sa réussite
apparente et sa carrière aux ébats amoureux d'une
soeur .....
A.A.A.
Ancien fonctionnaire
____________________
________________
11/09/01
Lettre ouverte au Président du PRD - Parti du Renouveau
Démocratique, M Daher Ahmed Farah. (Militants
du PRD au Canada)
Cher Président,
En tant
que militants de votre parti le PRD, nous voulions nous abonner
au journal le Renouveau qui sort chaque jour à Djibouti.
Pour cela,
nous vous avons adressé plusieurs E-Mail et nous avons
téléphoné. On nous a répondu que
la ligne etait surveillée (écoutée) par
la SDS et que tous les informations que nous adressions à
Djibouti étaient lues ou écoutées.
C'est pour
cela que nous avons pris l'initiative de demander la publication
de ce message sur le site de l'ARDHD.
Nous vous
attendons avec impatience.
Veullez
agréer, M le Président, l'expression de nos sentiments
les plus distingués.
Les militants du PRD
à Ottawa
____________________
________________
11/09/01
I.O.G prend en otage ses propres enseignants(tes) (Lecteur)
En cette
période de l'histoire ou le développement humain
s'avère la condition sine qua none de tout développement
économique, le Gouvernement djiboutien et plus particulièrement
les responsables du département de l'Éducation
semble découvrir une recette "miracle" : obscurcir
davantage les horizons peu clairs de l'avenir de la "Nation
Djiboutienne" pour ne pas dire de la concession familiale
guellienne.
L'idée
serait digne d'un scénario" hollywoodien" ou
d'une comédie"hindoue" si le drame actuel ne
mettait pas en cause la réussite des espoirs les plus
prometteurs et même la survie du peuple.
La philosophie
politique nous enseigne que le devoir de tout gouvernement est
d'assurer et d'assumer la continuité de tout développement
économique lie a l'éducation qui est l'un des
principes fondamentaux de la construction d'une République.
En réalité,
IOG qui a fait de son "clientélisme", de ses"injustices"et
de ses "inégalités" sa règle
d'or en la matière, est en train de priver son peuple
de ses futures élites au sens noble du terme. Sur qui
pourra-t-il compter l'enfant djiboutien issu du commun des mortels???
Et la, ce
dernier voit ses efforts sapés, anéantis par un
gouvernement dont le seul objectif est la "corruption"
, l'unique réussite"le profit", la vraie norme
"le confort". Qu'a-t-il fait cet enfant pour pouvoir
mériter ce crime odieux, barbare de son gouvernement.
L'arme éducative
est redoutable et perfide en raison du fait qu'elle permet d'exploiter
l'ignorance du peuple djiboutien pour l'amener a s'aligner sur
des thèses défendues par le kleptomane et le fabulateur
éhonté (iog).
Plus de
90% des enfants scolarises voient leur avenir hypothèque,
ils sont continuellement menaces, agresses par notre big brother
belliqueux et arrogant.
Tant d'enseignants
qui émigrent, qui sont méprisés, victimes
des vexations quotidiennes pour le plus grand profit d'une infime
minorité.
Aucun Homme
doué de foi, aucun Homme doué de conscience ne
peut cautionner cet Etat. D'où l'importance de ce verset
qui nous interpelle "Certes Dieu ne change pas ce qui est
en un peuple avant qu'ils ne changent ce qui est en eux"Coran
13/11.
Ou sont
donc les priorités de notre gouvernement;le "favoritisme",
"le clientélisme", le "népotisme",
quelle crédibilité lui reste-t-il s'il viole la
première instruction qui est la base de tout décollage
économique?
Le
peuple djiboutien a assez souffert, n'est-il pas temps d'agir
?
Il ne convient
pas à tout bon Djiboutien de fermer les yeux sur le sort
de son peuple, de se désintéresser de la réalité,
d'ignorer les faits, ou pire encore de faire le jeu de ses adversaires
afin de veiller a ce que Djibouti ne soit pas affaiblie, diminuée
ou réduite et qu'elle s'épanouisse dans le monde.
Le chemin
est long et semé d'embûches, les défis nombreux
et redoutables, les étapes pénibles et meurtrières.
Ce dictateur
président parrain (IOG) ne promet pas de mettre fins
aux privilèges exorbitants, au gaspillage, a la dilapidation
des deniers publics, au luxe insolent a la vie factice et facile,
qui sont devenus la raison de vivre d'une infime minorité.,
alors que parallèlement, des centaines de milliers de
djiboutiens sont en proie a la famine, au dénuement total
et n'ont ni les moyens de leur subsistance ni ceux de leurs
soins ou de leur habillement, et dont la situation s'aggrave
chaque jour davantage.
Cela permet,
en effet au pouvoir d'exploiter l'ignorance. Hélas !
Mais une chose est sure, ou du moins, c'est que le beau discours
séduisant (toujours les mêmes discours , toujours
les mêmes balivernes......disait Kourouma) du Président-parrain
IOG demandant aux enseignants"de croire en l'avenir du
pays" n'est qu'une choquante simplification d'un tel homme
d'État qui nous cache les formes d'une sombre dictature
et nous trompe sur ses intentions.
M.
Q.
____________________
________________
11/09/01
La derniere comédie de Guelleh.
(Militant du PRD)
Lors du premier Conseil des Ministres qui marque la rentrée,
M. Guelleh a mis sur la table le projet concernant l'amnistie
qu'il accorde aux anciens parlemantaires qui etaient tous issus
de l'actuel Parti RPP.
Guelleh
sait que pour obtenir des subventions internationales, il doit
renouer le dialogue
avec l'opposition et entamer des pourparler qui devraient aboutir
à un partage de tous les pouvoirs (ce dont le dictateur
ne veut surtout pas entendre parler). A Djibouti, il faut savoir
que les décisions du Gouvernement peuvent être
modifiées en une fraction de seconde.
Guelleh
sait que, sans dialogue, il serait impossible au Gouvernement
d'entamer des discussions avec les Institutions financières
internationales. Son ancien Premier Ministre avait declaré
en 1992 que toutes les aides étaient gelées (même
les Arabes ont fermé le robinet) et qu'elles ne pourraient
être débloquées qu'à la seule condition
d'ouvrir des pourparler avec la gueriila du FRUD et la démobilisation
des Forces armées et de la Police.
Rappelons
que la République fédérale d'Allemagne
avait cessé toute coopération avec la FNS (Actuel
F N P) au seul motif que la Police ne devait pas participer
à la guerre ni à la corruption galopante qui rongeait
la FNS.
Pour
conserver un pouvoir qu'il ne veut quitter à aucun prix,
Guelleh a été obligé de se debarrasser
de ses anciens amis: Yassin en France, les anciens tortionnaires
aux Etats-Unis, le Chef de l'EDD va rejoindre Montréal
pour se soigner, Mohamed Moussa Chehem en Belgique, les anciens
membres de la SDS en Angleterre..etc. Dernièrement, il
a liberé le Général Yabeh sous le prétexte
de sa maladie qui imposait une évacuation sanitaire en
France, alors que les autres détenus de la FNP sont toujours
incarcérés dans la prison de Gabode.
Cela
n'a pas vraiment convaincu les Bailleurs de fonds qui ont exigé
une plus grande
ouverture démocratique afin que l'opposition ait puisse
avoir une place véritable au sein
du Parlement (aujourd`hui confisqué/monopolisé
par le parti unique RPP).
Guelleh
a joué le Sherif dans sa déclaration lors de la
fête du 27 juin en invitant autour de lui les ténors
de l'oppostion (sauf DAF et Moussa Ahmed Idriss). Mais il s'est
bien gardé de les associer à la reconstruction
de la Nation.
L'opposition
toute entiere s'est fait rouler dans la farine par le Dictateur.
Même aprés la signature des accords de paix intervenus
entre le Gouvernement et l'aile radicale du FRUD-Armé
de M Ahmed Dini, Guelleh n'a rien annoncé concernant
leur participation à la vie politique du Pays. L'oppostion
continuera à faire de la figuration (comme un mirroir
et elle va être payée en monnaie de singe) sans
n'avoir obtenu aucune participation ni dans le Gouvernement
ni à L'Assemblée nationale.
Guelleh
se dit qu'il n'a rien à craindre des "vieux",
car ils ont tous atteint l'âge de la
retraite. Seul, le PRD dirigé par le dynamique Daher
Ahmed Farah représente une menace permanente pour le
pouvoir de Guelleh.
Il
ne veut pas que DAF, qui représente la jeunesse djiboutienne,
ne participe à aucun débat et pour cause : le
mandant des Députés djiboutiens arrive à
son terme et il faudra renouveler l'Assemblée nationale
: les élections législatives seront organisées
en 2002.
Alors
comme autrefois, Guelleh ne veut donner aucune place à
l'opposition ni aucune chance à ses représentants.
Seule le RPP, qui lui est entièrement dévoué
doit avoir des représentants.
Nous,
Militants du PRD, nous savons que le peuple va infliger une
défaite mémorable au
RPP et qu'il va ainsi sanctionner ce Gouvernemnt pour sa gestion
catastrophique qui a pour conséquence une situation économique
en pleine déconfiture ...
L'avenir
de notre pays semble bien sombre. D'apres des informations que
j'ai pu recueillir le Dictateur Guelleh serait effectivement
malade. Il n'était pas présent lors du décès
de l'èpouse de Gouled. Il ne serait venu que 24 heures
plus tard. Son service de propagande (La Nation) a fait savoir
que Guelleh etait en visite privée ?
Comment
peut-on croire à cette information à partir du
moment où l'on sait que La Nation
ne dit jamais la vérité ? C'est pour cela que
Guelleh n`aime pas que l'Opposition puisse aller s'exprimer
dans les autres pays et c'est pour cela qu'il a empêché
le Président DAF de se rendre à la Conférence
sur la transistion pacifique qui se déroulait à
Washington.
Alors
Chers Djiboutiens, croyez-vous que Guelleh soit assez bête
pour clamer qu'il a gracié certains opposants alors qu'il
empêche les autres de parler en leur nom dans les pays
amis ?
Nous
rappelons à Guelleh qu'il n'a pas la capacité
de détruire le PRD et que nous sommes là pour
soutenir haut et fort le Président DAF ainsi que tous
les autres partis de l'opposition qui ne sont pas reconnus aujourd'hui
(MRD - UDD - MND, etc..)
Chers
Djiboutiens, luttons contre cette dictature qui n'a plus ni
protection ni aucune garantie quant à sa survie.
Nous
disons à notre Président, tiens bons et ne lâche
pas, nous sommes avec toi.
La
lutte continue.
AHA
militant actif du PRD
au Canada (Ottawa)
____________________
________________
11/09/01
Le ``sitti-canada``
à
réagir avec responsabilité aux attaques
de certaines groups ennemies du ``Sitti-canada``
Note
préalable de l'ARDHD : depuis une dizaine de
jours, nous avons suspendu la publication des courriers des
lecteurs anonymes, afin de ne pas être pris en otage dans
une querelle partisane ou tribale, qui s'est développée
à partir du Canada et que nous n'avons pas les moyens
de maîtriser, faute d'informations suffisantes.
Aujourd'hui,
le SITTI nous demande officiellement (et non anonymement) de
publier ce communiqué, ce que nous faisons, sans modifier
une virgule, sous son entière responsabilité et
sans ne prendre aucun parti dans le contenu. Nous le faisons
aussi, car nous nous sommes engagés à publier
tous les correctifs et à laisser les idées s'exprimer
sur ce site. En ce qui nous concerne, ce communiqué met
un terme à la controverse sur le séjour du Colonel
Soubagleh au Canada et nous ne publierons plus rien sur le sujet
par la suite. Cela ne signifie pas que nous nous rallions à
la position du SITTI, pas plus qu'à d'autres.
Réunis
vendredi en conclave dans le cadre de leurs consultations périodiques
et régulières, les dirigeants du Sitti (Association
culturel de Issas au Canada ) ont rendu public hier un communiqué
dans lequel ils tirent à boulets rouges sur le groups
anti-Sitti-canada .
Rejoignant
en cela ce constat des opérateurs tribaux , Ie lecteur
critique sans vergogne le Colonel Soubagleh , Le moins qu'on
puisse dire est que Soubagleh a balayé ce pâle
opportuniste. Il a insisté à plusieurs reprises
en réclamant l'unité Issas durant sont séjour
à Ottawa , en tant qu'Issas rein lui empêchant
de communique avec les autres Issas au Canada qu' ailleurs dans
le monde au sujet L'ougas , chef suprême de l'ensemble
des Issas est autorité symbolique de l'unité garante
de la paix et de l'égalité de tous les membres
devant le Xeer. . Il n'a pas de pouvoir matériel , comme
les chefs d' Etat , mais seulement une autorité morale
qu'il tire du respect et de plein consentement de son peuple
. Ce personnage acquiert ce respect par ses qualités
morales Tout un code est consacré à la nomination,
l'intronisation et les différentes attributions de l'Ougas.
Nous le
félicitons pour son efficacité militaire sur le
terrain et pour son sens stratégique du commandement.
A la tête de ces forces considérables, a l'attributions
de l'exercice de ce fonction Les Issas est réputé
être une famille bienheureuse que baigneraient les bienfaits
, Longtemps la propagande bien orchestrée a présenté
chaque jour sur le centre Rideau D'ottawa .le mépris
et l'insulte sont inutiles c'est pire. Ils sont nuisibles
Dans le
même ordre d'idées, avec le même souci de
faire la part des vérités et contre vérités,
nous voudrions reprendre ici un propos édifiant d'un
lecteur inconnu jusqu'à présent , Le caractère
fantaisiste, le manque total de fondement et la puérilité
des allégations que vous jetez pêle-mêle
dans vos articles prouvent bien que vous avez délibérément
choisi, pour des raisons mercantiles.
Maintenant, la situation s'est complexifiée C'est au
nom d'une association très active au niveau local et
international pour la promotion de la culture Issa que nous
prenons la liberté de répondre au sujet de soubagleh.
En ce qui
concerne l'accusation globale contre le colonne Osman Nour Soubagleh
. Il est dommage qu'on ait construit un tas de mensonges sur
un socle de vérités. ont ne peux pas les cautionner.
Ont estimaient que l'opinion avait le droit de connaître
la vérité complexe de Djibouti, y compris les
exactions commise par le lecteur scandaleux.
Les officiers sont faits de ce dont sont faits ceux qui les
font. Les officiers ne sont pas des robots. Ils peuvent appartenir
à un groupe social, être influencés par
leur fonction, leur propre histoire, etc. Nous devons rendre
hommage à son courage et à son sens du sacrifice
pour notre cause à tous : celle de la dignité
Issas.
Le résultat
d'un test de détection de mensonge administré
par un ancien membre de l'armée nationale de Djibouti
.
Nous devons, de plus en plus, avoir conscience d'appartenir
à une même communauté d'idéal, d'intérêt
et de travail, nous sentir Djiboutien d'abord et avant tout,
vivre notre Djiboutienite avec fierté mais sans chauvinisme,
sans xénophobie, et nous employer à faire évoluer
la démocratie pour que le pays progresse dans l'harmonie
et la paix sociale.
De désinformation et d'intoxication dans laquelle vous
vous êtes engagé Mr : le lecteur inconnu jusqu'à
présent achèvera de discréditer le site
de ARDHD.ORG.
C'est pourquoi,
nous devons la sauvegarder, la promouvoir par la permanence
de nos efforts, de nos actes, dans cette voie, la priorité
est de mettre en place la nécessitée rassembler
les Issas autour d'un projet démocratique et ouvrant
de nouvelles perspective .
En revanche,
les interrogations sont multiples. Et d'abord celle-ci Les problèmes
de Djibouti ont augmenté et les choses étaient
évident, comme si, elle pourrait ne jamais être
réparée de ses dommages des issues tribales.
Et, elle était comme une insulte quand on décide
de détruire plus grand, individus, comme Soubagleh .
Des espoirs pour supprimer ``Qabiilism`` tribalisme doivent
être fondés sur une législation appropriée
visée empêchant l'exclusion et le marginalisation
et à punir des comportements de tribaux , des discours
et la propagande
Nos ancêtres
ont uni sur un nationalisme et un patriotisme de niveau mais
pas à un niveau principal et institutionnel qui ont des
contrôles et des équilibres. Ces favoritisme et
népotisme ont mené au marginalisation d'un grand
nombre de personnes et de régions de la corne d'Afrique
incluant Djibouti .
Comme chaque
personnes doivent déterminer, d'une voie souveraine,
son propre destin, la volonté du peuple doit être
considérée comme pivot de cette nouvelle structure
sociale. Cependant, de nouveaux mécanismes légaux
et institutionnels doivent être conçus pour se
tenir en test les conséquences d'une volonté populaire
.
détriment
d'intérêts nationaux. Ainsi d'autres formes de
représentation doivent être conçues pour
éviter la lutte pour la puissance politique de suffoquer
des intérêts spécifiques de quelques tribalisme
ou individus et pour s'approprier n'importe quelle forme d'exclusion,
de favoritisme et de marginalisation
Les intellectuels,
amorces religieuses, aînés tribales, Diaspora doivent
instruire les masses en utilisant les mass media au sujet de
ces établissements convenus. Il est impératif
de renforcer et améliorer la formation de la population
dans des droits de l'homme, la politique, et le civisme afin
d'empêcher des oligarchies civiles et militaires de manipuler
démagogique tribal et de plonger de ce fait les masses
populaires dans des conflits permanents. Chaque citoyen doit
se rendre compte de ses droits, fonctions, et intérêts
et pouvoir les défendre sans utiliser le parapluie de
tribalisme.
Les médias
libres et indépendants doivent informer la population
du danger grave de la confrontation de tribalisme et de ses
conséquences graves sur la survie de la société
et des individus aussi bien. Les individus doivent apprendre
à se libérer politiquement et psychologiquement
du poids de tribalisme
Et pour terminer, nous le souhaitons bien dans sa retraite et
l'invitons à trouver autre chose pour occuper ses années
restantes. Le Sitti-Canada n'a pas besoin de plus d'idées
et de conseil épuisés car elle nous perturbé.
10/09/01
Une nouvelle science : La Somalologie (Freeman)
Décidément,
les articles de l'ADI constituent une source d'inspiration inépuisable.
Aujourd'hui,
l'A.D.I (Agence de Désinformation d'I OG) nous rapporte
une information de première importance. IOG vient de
parler et notre 'Parrain-Président' de la RDD- SA (République
de Djibouti - Sté Anonyme ) affirme qu'il vient de s'adonner
à son exercice favori, à savoir s'occuper des
affaires des autres comme il sait si bien le faire et surtout
donner des leçons dans les domaines où il est
le moins bien placé.
Croyez-moi
Mister Président, la générosité
et le don de soit ne font pas partie de vos qualités
ni principales ni reconnues !
Heureusement
qu'il y a la Somalie ! Ce pauvre pays est devenu sa préoccupation
favorite et son meilleur écran de fumée. Dès
que le temps se gatte, à la moindre tempête, il
nous ressort son joker : La Somalie. D'ailleurs, je propose
au nouveau Pôle Universitaire de Djibouti (P.U.D) de créer
la Chaire de Somalologie dont la direction devrait revenir de
plein droit à notre somalologue en chef, le Sieur IOG.
Ce serait au moins un titre qu'il n'aura pas usurpé.
Pour
une fois, Parrain-Président, je vous reconnais une compétence.
Après
avoir renvoyé la facture de l'organisation du show d'Arta
à la communauté internationale sans oublier de
prélever sa commission au passage, cette fois-ci notre
Génie de la Corne lorgne vers les dollars de la diaspora
Somalienne. En effet, il exhorte cette même diaspora à
venir financièrement en aide à leur pays. Au passage,
je ne pense pas que les somaliens de l'extérieur aient
de leçons à recevoir de votre part. L'expérience
nous apprend que ce genre de propos démagogiques et ces
remarques gratuites provoquent automatiquement un effet boomerang.
Monsieur
IOG après avoir délesté notre pays de toutes
ses richesses et de toute son énergie, au bénéfice
de vos comptes bancaires et de votre famille, on peut affirmer
sans prendre le risque de se tromper que vous êtes devenu
un homme extrêmement riche ?
Avez-vous
pensé à mettre votre - notre - richesse au service
de Djibouti ?
Avez-vous
pensez à créer une fondation, une uvre de
bienfaisance au bénéfice des plus nécessiteux,
ne serait-ce que pour essayer de racheter et d'expier vos détournements
des deniers publics qui nous ont endettés pour plusieurs
décennies ?
Je sais
bien que votre morale et que votre déontolgie vous interdisent
ce genre de comportement. Mais alors, essayez d'exhorter votre
personne, comme vous savez si bien le faire pour qu'elle se
décide à quitter cette fonction présidentielle
que vous contribuez à salir et à dévaloriser
auprès de vos concitoyens.
Exhortez
votre personne pour qu'elle cesse de saigner à blanc
tout un pays et toute une population ;
Exhortez
votre personne pour qu'elle rende tous les fonds indûment
- ou peut être accidentellement ! - tombés sur
vos comptes bancaires ;
Exhortez
votre cur, votre conscience et votre raison - si vous
en avez - à une introspection ;
Exhortez
ce même cur à penser aux milliers de djiboutiens
que vous avez jetés en pâture comme réfugiés,
comme immigrés et souvent comme apatrides ;
Et pour
finir, exhortez votre personne à se faire Hara-kiri comme
l'aurait fait un samouraï déshonoré, bien
que je doute que l'honneur veuille dire quelque chose pour vous
!
Alors de
grâce, épargnez-nous votre numéro de donneurs
de leçons. Le pire est que vos conseils peuvent s'avérer
suicidaires. En effet, notre pays a déjà assez
donné dans la contribution patriotique que vous conseillez
aux somaliens. La preuve en est l'état catastrophique
des finances et de l'économie de notre pays.
Cette
fois ci, c'est moi qui vous exhorte à vous chercher un
pays d'accueil pour qu'enfin de gens sérieux et intègres
puissent réparer vos dégâts, s'il est encore
temps.
FREEMAN
____________________
________________
08/09/01
Syrie : un avocat en péril (IDHBB)
INSTITUT
DES DROITS DE L'HOMME DU BARREAU /
HUMAN RIGHTS INSTITUTE OF THE BAR
-
AVOCATS EN PERIL
SYRIE
Nominé
pour le Prix Ludovic-Trarieux 1998
DAMAS, 2
sept
Riad al
Turk, emprisonné pendant plus de dix-sept ans sans inculpation
ni jugement à cause de ses activités politiques
et libéré en mai 1998, a été de
nouveau arrêté samedi 1er septembre 2001, a indiqué
Hassan Abdel Azim, avocat et porte-parole du Rassemblement national
démocratique (RND), coalition de partis de l'opposition
syrienne.
Début
août, lors de sa première apparition publique depuis
sa libération en 1998, M. Turk avait fait le procès
du régime du président Hafez al-Assad et avait
appelé à la fin du "despotisme".
"Nous
craignons que ces arrestations soient le signe d'une nouvelle
politique de répression qui est contraire à la
politique de réformes et de modernisation annoncée"
par le président syrien Bachar al-Assad, a dit M. Abdel
Azim se présentant comme le représentant de l'opposition
en Syrie.
Pour lui,
l'arrestation "injustifiée" de M. Turk, 71
ans et cardiaque, est motivée par l'appui que celui-ci
avait apporté Nizar Nayyouf, ainsi qu'à ses critiques
formulées à l'encontre de la politique du président
défunt Hafez al-Assad, lors d'une émission il
y a deux semaines à la télévision satellitaire
arabe al-Jazira, émettant de Doha (Qatar).
Militant
communiste syrien, Riad al Tuik, avocat âgé de
près de soixante-et-onze ans, avait été
détenu en raison des liens qu'il entretenait avec un
parti politique interdit, Ai Hizb ai Shuyui-al Maktab al Siyassi
(Parti communiste-bureau politique, PCBP). Il compte parmi les
très rares opposants à oser faire preuve d'une
certaine liberté de parole en Syrie. Il avait employé
des termes durs pour qualifier Hafez al Assad, "ressentis
comme une offense" par les autorités syriennes,
a estimé M. Abdel Azim.
Dans un
communiqué, les comités de défense des
droits de l'homme en Syrie (CDDS) dirigés Aktham Naïssé,
ont demandé "la libération immédiate
de Riad al-Turk, qui a un besoin urgent de soins médicaux."
Pour les
CDDS, "l'arrestation de Turk est un grave recul sur la
voie des réformes et représente une grande déception
pour ceux qui espèrent des changements à la suite
des propositions faites par le président Bachar al-Assad".
Pour leur
part, les dirigeants syriens qui soulignent l'escalade de la
violence dans les territoires palestiniens estiment que l'introduction
de réformes économiques prime sur celle de réformes
politiques
Parallèlement
le journaliste syrien Nizar Nayyouf, lui aussi incarcéré
pendant neuf ans et relaxé en mai, a été
convoqué samedi à comparaître devant la
justice pour "incitation au confessionnalisme" ou
"tentative de modification de la Constitution", selon
son avocat, Annouar Bounni, qui souligne que M. Nayyouf, actuellement
en France, a reporté son retour en Syrie qui était
prévu le 4 septembre. Après une brève période
caractérisée
par une certaine liberté d'expression, les autorités
syriennes semblent décidées à serrer la
vis contre les opposants en procédant à des arrestations.
Ces accusations
rappellent celles d'"atteinte à la Constitution"
et d'"attitude hostile à l'égard du régime"
lancées par le ministère de l'Intérieur
syrien contre le député indépendant de
Damas, Maamoun al-Homsi, jeté en prison le 9 août.
Avant d'être arrêté, celui-ci avait entamé
une grève de la faim pour protester contre les pressions
dont il s'estimait victime des autorités.
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08/09/01
A lire : "Le droit, la justice, lhumanité"
par Bertrand Favreau
IDHBB
PUBLICATIONS -
Vient
de Paraître
« Le droit, la justice, lhumanité »
par Bertrand Favreau
1. Ludovic
Trarieux,
fondateur de la Ligue des Droits de lHomme
Le spectacle douloureux de vos épreuves a réveillé
les sentiments de solidarité et de bonté qui sommeillaient
en nous.
2. Contre
Maurice Papon.
« La justice contre ceux qui ont dénié à
leurs semblables le droit d'être des hommes... »
3.Najib
Hosni et Dalila Meziane
« Pour quune aube nouvelle se lève au pays
où le soleil se couche... »
4. Zhou
Guoqiang
« Le vent sest levé. Il ne vient pas de louest.
Il souffle du cur de la Chine... »
5. Esber
Yagmurdereli
« La liberté doit être cherchée entre
les murs des prisons »
«
Tandis que la France célébrait, en 1998, le centième
anniversaire de la fondation de la Ligue des Droits de lHomme
en plein cur de laffaire Dreyfus, sannonçait
à léchelle du monde la commémoration
du 50ème anniversaire de la Déclaration universelle
des droits de l'homme, par laquelle les nations civilisées,
aux lendemains de louverture des camps de lallemagne
nazie, avaient voulu proclamer leur « foi dans les droits
fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur
de personne humaine, dans l'égalité de droits,
le maintien de la justice » ou «le progrès
social ».
Cest
à dire sengager à promouvoir et à
faire respecter ces droits qui ne sont autres - pour la plupart
- que ceux quAntigone appelait les lois immuables
non écrites des dieux. Au-delà de leur contexte
historique, les droits proclamés en France en 1789 et
à la face du monde en 1948, font aujourdhui partie
de notre patrimoine juridique intangible.
Pourtant
sils ont été laissés en héritage
aux hommes, cest à charge pour eux non seulement
de savoir les re-proclamer sans cesse mais aussi dassurer
la sauvegarde de
leur substance et de leur finalité au regard des érosions
toujours plus subtiles et toujours recommencées à
léchelle de la planète et à laune
des nouveaux défis du temps. Or, à linstant
de ces anniversaires, la France jugeait Papon pour complicité
de crimes contre l'humanité, en Chine, Zhou Guoqiang
, sans avoir été jugé, achevait de purger
sa condamnation à quatre années de camp de rééducation
par le travail pour avoir réclamé «les droits
de l'homme et la démocratie», tandis quen
Turquie, Esber Yagmurdereli,
préférait retourner en prison ou il avait déjà
passé quelques treize années
plutot que de renoncer à son combat pour la liberté
dexpression.
Et, dans
le même temps, Najib Hosni et Dalila Meziane poursuivait
leur long chemin de
souffrances pour avoir voulu lutter, au Maghreb, chacun à
leur mesure, contre l'intolérance aux droits de la personne
humaine. Derrière des causes si diverses, c'est bien
la permanence dun mal qui est en question. Cest
aussi la constance des valeurs qui constituent la seule réponse
à lui apporter ou le seul rempart à lui opposer
: «Le droit, la justice, lhumanité ».
Et puisquil
fallait un titre, celui-là n'est pas usurpé. Ces
trois mots ainsi détachés claquent comme une revendication
ou un cri de ralliement. Ils sonnent comme une exhortation toujours
renouvelée au devoir qui est le notre de rappeler limprescriptibilité,
lindivisibilité et luniversalité des
droits de lhomme. »
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08/09/01
DJIBOUTI : ville sans vie et bientôt sans habitants
Djibouti se vide de ses habitants, depuis quelques années.
Partir, Quitter, Fuire est devenu une nécessité
ou un acte de survie. Dès l'aurore, les Djiboutiens se
pressent pour faire la queue devant les Ambassades étrangères.
La queue est longue : plusieurs dizaines de mètres.
Pendant
la semaine, à chaque départ d'avion vers l'Europe,
l'aéroport est noir de monde. Des familles entières
partent. Ne restent dans la capitale que les poubelles, les
mendiants, les luxurieuses villas, les nouveaux riches et le
fameux fan club d' IOG.
La
seule et unique question qui va se poser est de savoir quel
peuple IOG va-t-il gouverner effectivement : un peuple immigré,
un peuple de fantômes et/ou de déshérités,
des prisonniers politiques ou non, ou une secte de courtisans
?
Gassira
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________________
08/09/01
Pourquoi Moussa Idriss n'a-t-il pas bénéficié
de la mesure d'amnistie en faveur des opposants politiques (qui
avaient retrouvé l'exercice de leurs droits civiques
la veille ..)
Le Président
NOTE
D'INFORMATION N° 19/01/LDDH
DU 5 septembre 2001
Le
4 septembre 2001, le Conseil des Ministres a approuvé
la transmission à l'Assemblée Nationale d'un projet
de loi d'amnistie.
Ce projet
de loi concerne l'amnistie de la condamnation, du 7 août
1996, condamnation illégale et anticonstitutionnelle
de cinq personnalités politiques, à savoir MM.
MOUMIN BAHDON, AHMED BOULALEH , ALI MAHAMADEH, ISMAEL GUEDI
, ABDILLAHI GUIRREH. Ces personnalités politiques ont
été condamnées à six mois de prison
ferme, et à cinq ans de privation des droits civiques,
pour avoir tout simplement constaté par écrit,
" que le Président règne par la force et
la terreur, tout en bafouant la Constitution " .
La condamnation
les privants des droits civiques s'est terminée le mois
dernier, ou plus précisément, a expiré
le 6 août 2001.
La Ligue
Djiboutienne des Droits Humains avait donné, par Diffusion
d'Information N° 6 du 7 août dernier, le point de
vue suivant :
" Aucune
politique d'ouverture n'est à espérer dans les
conditions actuelles. Le dernier exemple est celui du Conseil
de l'Union Interparlementaire, dont les membres de ce Conseil,
après avoir appris la Décision des membres du
Conseil constitutionnel du 31 juillet 1996 déclarant
" l'inconstitutionnalité de la levée de l'immunité
parlementaire de trois députés ", après
avoir appris les violations de l'article 81 de la Constitution
par la Cour d'Appel du Tribunal de Djibouti, notamment les violations
par cette Cour le 7 août 1996 condamnant d'une manière
illégale et anticonstitutionnelle cinq personnalités
politiques à six mois de prison ferme et cinq ans de
privation des droits civiques pour une soit disant " offense
au chef de l'Etat " et que l'Union Interparlementaire(UIP)
considère ces termes, qui ont voilà déjà
cinq ans fait l'objet d'une condamnation inique et hâtive,
l'UIP considère que ces termes :
" s'inscrivent
dans le cadre du droit d'expression de chaque parlementaire
à s'adresser au président de son pays ",
après avoir à maintes reprises sollicité
une amnistie en faveur des députés qui ont tout
simplement dénoncé la dictature en place, des
députés qui ont exprimé sans jamais prendre
les armes, qui ont manifesté leur opposition au régime
en place, l'UIP " note qu'aucun élément dans
le sens d'un règlement satisfaisant des cas de MM. Ahmed
Boulaleh Barre, Ali Mahamade Houmed, Moumin Bahdon Farah, n'est
depuis. ", l'UIP : " déplore cet état
des choses qui ne peut que l'amener à réitérer
ses considérations antérieures ".
Demande
au Ministre de la Justice et des Droits de l'Homme en parfait
accord avec le Chef de l'Etat d'autoriser immédiatement
la révision du procès politique du 7 août
1996 ainsi que tous les procès politiques depuis le référendum
du 4 septembre 1992, notamment aussi, les procès politiques:
procès politique du 7 août 1996 ainsi que tous
les procès politiques depuis le référendum
du 4 septembre 1992, notamment aussi, les procès politiques
après les élections présidentielles d'avril
1999 " .
Aujourd'hui, la Ligue Djiboutienne des Droits Humains :
1) se félicite
de cette Décision gouvernementale de transmettre à
l'Assemblée Nationale le projet d'Amnistie en faveur
de cinq leaders politiques de l'Opposition Djiboutienne (même si l'on peut considérer cette mesure,
par principe positif, comme juridiquement sans effet ) ;
2) remercie
tous les membres du Conseil de l'Union Interparlementaire les
membres des Droits de l'Homme et des parlementaires de l'UIP
ainsi que le Secrétaire Général de l'UIP,
pour les efforts louables et constants pour la réalisation
de cette future loi d'Amnistie ;
3) remercie
tous les Défenseurs des Droits de l'Homme, ainsi que
tous les Amis Démocrates, qui tous ensembles dénoncent
toutes les formes de violations, à chaque fois, qu'il
s'avère nécessaire , qui témoignent à
chaque fois, leurs solidarités au peuple Djiboutien encore
sous le joug d'une politique foncièrement dictatoriale
;
4) dénonce
avec fermeté, les décisions arbitraires et illégales
du Président Said Ibrahim Badoul à l 'encontre
du Président de l'Opposition Djiboutienne Unifié
(ODU), le Député Moussa Ahmed Idriss .
En effet,
l'homme au Perchoir de l'Assemblée Nationale avait non
seulement bafoué la Constitution mais aussi l'article
16 de la Loi relative à la Liberté de Communication,
et en suspendant sans motif juridique valable les indemnités
parlementaires de l'Honorable Député Moussa Ahmed
Idriss, par ces faits, M. Badoul n'a fait que confirmer sa politique
zélé basée sur la répression ;
5) demande
au Chef de l'Etat de prendre, dans un premier stade, des mesures
similaires d'Amnistie en faveur de tous les membres du Haut
Conseil de l'ODU , de tous les membres de l'Opposition Non Armée
qui ont été condamnés pour des raisons
politiques, arbitrairement, d'une manière illégale
et hâtive . Dans un second stade, de saisir la Justice
Djiboutienne pour la Révision de tous les Procès
Politiques depuis le 4 septembre 1992, date du plébiscite
de notre Constitution.
M. NOEL ABDI Jean-Paul
____________________
________________
08/09/01
Affaire Yacin Yabeh et consorts du 7 décembre 2000 -
Fin de l'instruction
Ordonnance
de non-lieu partiel et de transmission des pièces.
Nous, Mme
HABIBA HACHIM, juge d'instruction prés du Tribunal de
première instance ; assisté de Melle KADRA MOHAMED,
greffier.
Vu l'article
187, 188 et 189 du Code de procédure pénale.
Vu les pièces
de la procédure d'information suivie contre :
1) Mr YACIN YABEH GALAB Né
le 20/12/46 à Djibouti. Demeurant à Djibouti ex-général
de la force nationale publique M.D 13/12/2000. L.P 7/06/2001.
Ayant pour avocats : Maître WABAT Barreau de Djibouti
et Maître GILBAUT Barreau de Paris.
2) Mr
MOHAMED ABDILLAHI GOD Né
le 2/7/1952 à Djibouti. Demeurant à Djibouti.
Profession ex-colonel de la FNP. MD 13/12/00
3) Mr
NARSNI ELMI MERANE Né
le 5/3/1977 à Djibouti. Demeurant à Djibouti.
Profession sous lieutenant de la FNP
4) Mr
DAHER HASSAN AHMED Né
en 1963 à Djibouti. Demeurant à Djibouti. Profession
ex commandant de la FNP M. D 13/12/2000.
5) Mr
AHMED ADEN FADAN dit AHMED NASSER Né
le 7/6/1963 à DIRE-DAWA EN ETHIOPIE. Demeurant à
Djibouti. Profession ex-commandant de la FNP MD 13/12/2000.
6) Mr
HOUSSEIN GUELDON BOULALEH Né
en 1943 à Djibouti. Demeurant à Djibouti. Profession
ex-capitaine de la FNP.
7) Mr
MOUSTPHA KHAIREH DARAR Né
en 1969 à Djibouti. Demeurant à Djibouti. Profession
ex-sous lieutenant de la FNP. MD 13/12/2000.
8) Mr
HOUSSEIN FARAH RAGUEH DIT " NALLET " Né
le 19/10/1966 à ALI-SABIEH. Demeurant à Djibouti.
Profession ex-lieutenant de la FNP. MD 13/12/2000.
9) Mr
ABDOURAHIM MOHAMOUD HERSI Né
le 21/3/1972 à Djibouti. Profession ex-sous lieutenant
de la FNP. MD 13/12/2000.
10) Mr
HASSAN DJAMA MERANEH dit " ACHKIT " Né
le 31/08/1972 à DIKHIL. Demeurant à Djibouti.
Profession ex-sous lieutenant de la FNP. MD 13/12/2000.
11) Mr
MOHAMED MOUSSA GUEDI Né
en 1966 à Djibouti. Demeurant Djibouti. Profession Caporal
chef de la FNP. MD 13/12/2000.
12) Mr
ADEN ALI GUEDI Né
en 1966 à Djibouti. Demeurant Djibouti. Profession Caporal
chef de la FNP. MD 13/12/2000.
13) Mr
FATHI MOHAMED GUELLEH Né
le 31/10/1961 à Djibouti. Demeurant Djibouti. Profession
ex-Commandant de la FNP. MD 13/12/2000.
14) Mr
DOUALEH IGUEH OFLEH Né
le 7/11/1968 à Ali-Sabieh. Demeurant Djibouti. Profession
ex-sous lieutenant de la FNP. MD 13/12/2000.
15) Mr
ABDOUNASSER AWALEH CHEICHI Né
le 19/3/1967 à Ali-Sabieh. Demeurant Djibouti. MD 13/12/2000.
16) Mr
BOUH AHMED OMAR Né
en 1964 à Djibouti. Demeurant Djibouti. MD 13/12/2000.
Inculpés
par procès-verbal de première comparution en date
du 13/12/2000, suivant mandant de dépôt du 13/12/2000.
EXCEPTION
En ce qui
concerne
1) Mr HOUSSEIN
FARAH RAGUEH dit " NALLET "
IPC 16/12/2000 sous contrôle judiciaire 16/12/00 MA (de
la chambre d'accusation en date du).
2) Mr ABDOUNASSER
AWALEH CHEICK
IPC 6/1/01 sous contrôle judiciaire le 6/1/00.
3) Mr BOUH
AHMED OMAR IPC
En date du 8/02/2001 M.D DU 8/2/2001.
Vu le réquisition
définitif de non-lieu partiel et de Transmission des
pièces de Monsieur le procureur de la République
en date du 12/7/2001.
A) Ordonnance de non-lieu partiel.
Attendu
qu'il ne résulte ni de l'enquête préliminaire
ni de l'information des charges suffisantes contre :
1) Mr
MOHAMED ABDILLAHI GOD.
D'avoir à Djibouti courant la journée du 7/12/2000.
° Sciemment
par aide ou assistance facilité la préparation
ou la consommation d'une entre prise, caractérisée
par un ou plusieurs actes de violences ayant pour but de mettre
en péril les institutions de la République ou
de porte atteinte à l'intégrité du territoire
national.
° Infraction
qualifiée crimes par la loi, prévue et réprimée
par les articles 26 et 143 du code pénal.
° Sciemment,
par aide ou assistance facilité la préparation
ou la consommation d'une entreprise ou caractérisée
par un ou plusieurs actes de matériels tendant à
en préparer l'exécution.
° Infraction
qualifiée crime par la loi prévue et réprimée
par les articles 26 et 144 du code pénal.
En ce qui
concerne :
2) Mr
BOUH AHMED OMAR
Attendu
qu'il ne ressort de l'information des charges suffisantes contre
Mr BOUH AHMED OMAR d'avoir à Djibouti le 7/12/2000 commis
les faits de meurtre et complicité de meurtre faits prévus
et réprimés par les articles 315 et 26 du code
pénal.
2) Mr
FATHI MOHAMED GUELLEH
Attendu
qu'il ne résulte ni de l'enquête préliminaire
ni de l'information (audition de témoin des inculpés)
des charges suffisantes contre Mr FATHI MOHAMED GUELLEH d'avoir
commis les faits de provocation à la rébellion
prévus et réprimés par l'articles 186 du
code pénal.
Déclarons
n'y avoir lieu à suivre, en l'état, de ce chef
contre :
·
Mr MOHAMED ABDILLAHI GOD
· Mr FATHI MOHAMED GUELLEH
· Mr BOUH AHMED OMAR
Ordonnons
que Mr MOHAMED ABDILLAHI GOD, Mr FATHI MOHAMED GUELLEH, Mr BOUH
AHMED OMAR seront mis en liberté sur le champs s'ils
ne sont détenus pour autre cause et ou conséquence,
donnons main-levée du mandat de dépôt que
nous avons décerné contre eux le 7/12/00, 8/2/2001.
B) Ordonnance
de transmission de pièces.
Adoptant les motifs du réquisitoire définitif
de Monsieur le Procureur de la République qui établissent
suffisamment l'exposé des faits reprochés aux
inculpés suivants :
·
Mr YACIN YABET GALAB
· Mr NASRI ELMI MERANEH,
· Mr DAHER HASSAN AHMED,
· Mr AHMED ADEN FARAH dit " AHMED NASSER ",
· Mr HOUSSEIN GUELDON BOULALEH,
· Mr HOUSSEIN FARAH RAGUEH dit " NALLEH ",
· Mr MOUSTAPHA KHAIREH DARAR,
· Mr ABDOURAHIM MOHAMOUD HERSI,
· Mr HASSAN DJAMA MERANEH dit " ACHKIR ",
· Mr MOHAMED MOUSSA GUEDI,
· Mr ADEN ALI GUEDI,
· Mr DOUALEH IGUEH OFFLEH.
Leur discussion
et les renseignements recueillis sur leur compte. Attendu, en
conséquence, qu'il résulte de l'information charges
suffisantes contre.
1) Mr
YACIN YABET GALAB d'avoir à Djibouti, courant la
journée du 7/12/2000.
° Sciemment
par aide ou assistance facilité la préparation
ou la consommation d'une entre prise, caractérisée
par un ou plusieurs actes de violences ayant pour but de mettre
en péril les institutions de la République ou
de porte atteinte à l'intégrité du territoire
national.
° Infraction
qualifiée crimes par la loi, prévue et réprimée
par les article 143 du code pénal.
° Commis
une résolution arrêtée entre plusieurs personnes
de commettre un attentat, résolution concrétisée
par un ou plusieurs actes de matériels tendant à
en préparer l'exécution, infraction qualifiés
crimes par la loi prévus et réprimer par l'article
144 du
code pénal.
° Opposé
une résistance violence à une personne dépositaire
de l'autorité publique avec cette circonstance aggravante
que la rébellion était commis en réunion,
avec plusieurs officiers de la FNP.
° Infraction
qualifiés délits par la loi, prévus et
réprimés par l'article 184 du code pénal.
° Provoqué
les habitants à s'armer contre infraction qualifiée
aime par la loi, prévue et réprimée par
l'article 150 du code pénal.
Mr NASRI
ELMI MERANEH
° Sciemment
par aide ou assistance facilité la préparation
ou la consommation d'une entre prise, caractérisée
par un ou plusieurs actes de violences ayant pour but de mettre
en péril les institutions de la République ou
de porte atteinte à l'intégrité du territoire
national.
° Infraction
qualifiée crimes par la loi, prévue et réprimée
par les articles 26 et 143 du code pénal.
° Sciemment
par aide ou assistance facilité la préparation
ou la consommation d'une entre prise, caractérisée
par un ou plusieurs personnes de commettre un attentat, résolution
concrétisée par tendant à préparer
l'exécution.
° Infraction
qualifiée crimes par la loi, prévue et réprimée
par les articles 26 et 144 du code pénal.
· Mr DAHER HASSAN AHMED
· Mr AHMED ADEN FARAH dit " AHMED NASSER "
· Mr HOUSSEIN GUELDON BOULALEH
· Mr HOUSSEIN FARAH RAGUEH
· Mr ABDOUNASSER AWALEH CHEICK
· MOUSTAPHA KHAIREH DARAR
· Mr ABDOURAHIM MOHAMOUD HERSI
· Mr HASSAN DJAMA MERANEH dit " ACHKIR "
· Mr MOHAMED MOUSSA GUEDI
· Mr ADEN ALI GUEDI
· Mr DOUALEH IGUEH OFFLEH
° Sciemment
par aide ou assistance facilité la préparation
ou la consommation d'une entre prise, caractérisée
par un ou plusieurs actes de violences ayant pour but de mettre
en péril les institutions de la République ou
de porte atteinte à l'intégrité du territoire
national infraction qualifiée crimes par la loi, prévue
et réprimée par les articles 26 et 143 du code
pénal.
° Sciemment,
par aide ou assistance facilité la préparation
ou la consommation d'une entreprise ou caractérisée
par un ou plusieurs actes de matériels tendant à
en préparer l'exécution.
° Infraction
qualifiée crimes par la loi, prévue et réprimée
par les articles 26 et 144 du code pénal.
° Opposé
une résistance violence à une personne dépositaire
de l'autorité publique avec cette circonstance aggravante
que la rébellion était commis en réunion,
avec plusieurs officiers de la FNP.
° Infraction
qualifiée crimes par la loi, prévue et réprimée
par l'article 184 du code pénal.
° Transporté
des munitions et armements de guerre illégalement.
° Infraction qualifiée crimes par la loi, prévue
et réprimée par les articles 1 et 7 de la loi
N°62 et 621.
° Provoqué
les habitants à s'armer contre l'autorité de l'état.
° Infraction
qualifiée crimes par la loi, prévue et réprimée
par les articles 150 du code pénal.
Déclarons
suffisamment établi contre les sus-nommés la prévention
des faits ci-dessous spécifié.
Attendu
que ce fait est de nature à être puni d'une peine
afflictive et infamante.
Ordonnons que les pièces de l'instruction, les procès-verbaux
constatant le corps du délit et de l'état des
pièces à conviction seront transmis, sans délais
à Mr le Procureur général, pour être
procédé ainsi qu'il est prescrit au chapitre des
mise en accusation du code de procédure pénal.
Fait à Djibouti
Le 6/8/2001 Le juge d'INSTRUCTION
Mme HABIBA HACHIM
ARDHD
: nous constatons qu'en dépit des conclusions de l'instruction,
le Général Yacin Yabeh se promènait tranquillement
à Paris avec sa famille .... tandis que d'autres inculpés
sont toujours incarcérés à Gabode et que
leur dossier judiciaire ne semble pas avancé .... Doivent-ils
être maintenus ou non en prison ? Auront-ils le droit
d'être défendus par des avocats libres et indépendants
?
____________________
________________
08/09/01
IOG privatiserait ... mais pour son compte ! Risque de conflit
d'intérêt ?
A
l'issue du Conseil des Ministres, un vaste programme de privatisation
a été annoncé. Il concerne l'eau, l'électricité,
l'aéroport et les télécoms. La vente devant
se faire à la suite d'un concours qui permettrait à
chacun de faire des propositions financières, etc. en
conformité avec un cahier des charges
Cela
semblait être une bonne décision ... Mais avec
Guelleh, il faut toujours chercher ... Nous n'avons pas eu de
grandes difficultés pour trouver les véritables
motivations du Chamelier ...
En
fait les attributions seraient déjà faites, avant
l'appel à candidature qui devrait être lancé.
1°)
Odette n'apprécie pas tous les choix de son époux Le fils d'IOG, Liban, se partagerait les télécommunications
(téléphone, Internet, Téléphonie
mobile) avec le fils de l'Ambassadeur à Washington (cousin
de Guelleh). A ce sujet, il y aurait eu une querelle entre Odette
et son beau fils. Odette aurait voulu que ce soit quelqu'un
de sa tribu qui emporte les télécoms et elle se
serait fâchée tout rouge.... IOG aurait décidé
d'intervenir en homme et il aurait donné tort à
son épouse en déclarant que le fils de son premier
mariage (Liban) porterait les parts des télécoms
pour son propre compte....
2°)
IOG se réserverait la plus grosse part du gâteau
Abdourahman Boreh, "coucou je suis toujours là !
" pourrait obtenir des sociétés importantes
(EDD, ONED, Aéroport ?), dont il partagerait en sous-main
la propriété des actions avec Guelleh. Guelleh
va payer directement ou indirectement l'achat au Trésor
djiboutien. Récupérera-t-il ensuite l'argent auprès
du Trésor public, comme il l'a fait dans le passé
? Dans ce cas-là, c'est un achat qui ne lui coûterait
pas cher ... !
En
un mot Guelleh pourrait se vendre (en partie) à lui-même
le patrimoine des Djiboutiens. Ne dites surtout pas qu'il
pourrait y avoir un conflit d'intérêt avec l'exercice
de la Présidence du pays, car vous risqueriez la prison
.... ou la disparition dans d'étranges conditions !
Avis
aux sociétés potentiellement intéressées
: même en répondant à un appel à
candidature, il semble que vous ayez peu de chances ... sauf
si vous soutenez l'un des candidats déjà choisis
: Abdourhaman Borreh, IOG, Liban ...
Bref
tout cela sent très mauvais ....
____________________
________________
08/09/01
Manifestation des professeurs et risque d'embrasement dans l'enseignement
Cette semaine les enseignants (ceux qui n'ont pas encore immigré)
organiseront une manifestation à laquelle de nombreux
parents d'élèves devraient participer.
Ils
manifesteront contre la nouvelle décision de Guelleh
qui consiste à diminuer de 50.000 FD la prime au logement.
Ils auraient même été jusqu'à prévenir
qu'ils prenaient le risque de sacrifier cette année en
refusant de reprendre le travail s'ils n'étaient pas
rétablis dans leurs avantages.
Pour
toute réponse, le Ministre leur a annoncé qu'il
était prêt 'à importer' des enseignants
malgaches dont les prétentions salariales sont plus faibles.
Décidément
le système Guelleh n'est jamais à court de ressources,
surtout lorsqu'il s'agit d'intervenir au détriment du
peuple et de la jeunesse ... (A suivre)
____________________
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08/09/01
Les entreprises étrangères dans le collimateur
de Guelleh. Une
nouvelle décision de Guelleh a pour conséquence
d'imposer une participation de Djiboutiens dans le capital des
sociétés étrangères. C'est ainsi
que M Massida (pourtant ami et grand soutien d'IOG) s'est vu
contraint de satisfaire à cette nouvelle obligation.
Savez-vous qui IOG lui aurait proposé comme associé
? A. Borreh bien sur ... (donc Guelleh lui-même ..).
Massida,
très déçu par l'ingratitude de celui à
qui il a beaucoup donné, aurait flairé le piège
et il aurait décidé d'associer dans la partie
Shipping l'un de ses collaborateurs djiboutiens, disant en privé,
que ce dernier le volera peut-être moins, en tant qu'associé
qu'en tant que salarié ... Massida conserverait le transit
pour lui.
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08/09
Sauvez la forêt de l'Alaska (Cyber @cteurs)
Il
se passe en ce moment quelque chose de terrible et de magnifique,
dont vous avez peut-être déjà entendu parler.
Le Président Bush a décidé d'ouvrir l'Alaska
à une exploitation massive (dont pétrolière).Et,
déjà, des centaines de milliers de personnes ont
décidé que celane se ferait pas.
Parmi ces
personnes (scientifiques, politiques, grand public, etc.), Nathaniel
Lawrence (qui depuis au moins 10 ans lutte pour la survie des
forêts humides avec des résultats remarquables),
et David Guterson (auteur du livre primé "La neige
tombe sur les cèdres") font circuler leur point
de vue auprès de différentes personnes, dont vous
et moi.
Si vous
aimez ce que ces hommes disent et proposent, voici trois premières
actions faciles à faire pour arrêter le plan Bush.
·
Envoyer au Natural Resources Defense Council le message ci-joint.
·
Envoyer à au moins 15 personnes de votre connaissance
(tout le monde peut voir que cela nous concerne tous) ce message
·
Leur dire d'envoyer la même chose à leurs connaissances
qui l'enverront à leurs connaissances ; et ainsi de suite
comme une énorme boule de neige de vie.
Il nous
faut agir vite. Les interventions doivent arriver à Nathaniel
le 10 septembre, dernier délai. Après, il sera
trop tard.
Alain
UGUEN Cyber @cteurs
Catherine Simon IGS L'INFORMATION GÉNÉRALISÉE
- Copiez
ce petit texte entre les ##########
(édition-copier)
- Ouvrez un nouveau message et collez le petit texte (édition-coller)
- Signez le : prénom, nom, adresse, ville
- Objet, choisissez votre titre
- Adressez votre message à: (copiez/collez) president@whitehouse.gov,
biogemsnews@savebiogems.org,
alain.uguen@wanadoo.fr
- Envoyez le message
Par cette
action vous ferez connaître votre opinion au Président
G.W.Bush au directeur du NRDC 1 et à cyber acteurs pour
nous
permettre d¹évaluer l¹impact de cette action.
I strongly oppose any change
to the Roadless Area Conservation Rule
that would allow logging in pristine areas of the Tongass National
Forest or any of the national forests currently protected by
the rule.
I particularly oppose allowing individual national forests to
opt out
of the rule and decide to go back to logging, building roads
in, or
otherwise developing these pristine wild areas, above all those
in
Alaska's Tongass rainforest.
The Tongass's vast expanse of coastal rainforest
in southeast Alaska
supports abundant wildlife, including the world's largest
concentrations of grizzly bears and bald eagles. The new Forest
Service ban on roadbuilding and commercial logging in unspoiled
areas
of national forests, coupled with the closure of the last subsidized
Tongass pulp mill in 1997, offer a unique opportunity -- one
that
Americans favor overwhelmingly -- to save the millions of acres
of
this ancient rainforest still standing.
A million and a half Americans have already
gone on record supporting
the roadless rule -- don't ignore this huge outpouring of public
sentiment. Implement the original rule immediately, and defend
it
against industry and other lawsuits, so the Tongass and the
rest of
our last wild forest lands will remain a legacy for future
generations.
Sincerely
prénom,
nom
adresse
ville
Pays
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08/09/01 AMIR ADAWEH - Mme Saïda Falcou a rencontré
un responsable au Quai d'Orsay qui lui a donné des espoirs
pour la délivrance d'un visa humanitaire.
Nous
avons appris que Mme Saïda Falcou avait été
reçu au Quai d'Orsay par un responsable. Ce dernier lui
aurait dit qu'il allait chercher toutes les solutions pour assurer
le paiement de la caution de FF 40.000, 00 demandée à
M Amir Adaweh par l'Ambassade de France à Djibouti. Nous
avons bon espoir que le visa humanitaire puisse être délivré
dans ces conditions.
Si
nous pouvons espérer aujourd'hui que le cas de M Amir
Adaweh trouve une solution, c'est grâce à l'obstination
de Mme Saïda Falcou représentante du PND en Europe
et du soutien sans faiblesse de RSF Reporters Sans Frontières
qui a accepté de prendre en charge le billet d'avion
aller et retour et de l'aide du Quai d'Orsay.
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L'HOMME
OU LA FEMME
DE LA
SEMAINE.
Dans
cette rubrique nous signalons à l'opinion internationale,
celle ou celui qui s'est distingué(e)
- soit par son zèle pour soutenir la dictature,
- soit en violant les Droits de l'Homme : cruauté, tortures,
exécutions sommaires, emprisonnements arbitraires, viols,
assassinats, destruction de cheptels ou de point d'eau, destruction
d'écoles ou de centres de soins, etc. .
Auront-ils
à répondre un jour
de leurs actes
et de leurs crimes
devant un tribunal pénal international ?
LA
LIBERTÉ N° 35 -
Mme Hawa Ahmed YOUSSOUF Ministre
déléguée conjointement avec
M. Le Représentant de l'UNICEF
à Djibouti.
LA
LIBERTÉ N° 36 -
M Ibrahim Idriss DJIBRIL, Ministre
de la Justice, conjointement avec
M Mohamed Ali ABDOU, procureur
général de Djibouti (2ème nomination)
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 42 M.
Idriss Arnaoud Ali, Directeur
de Publication du Journal le Progrès, Président de
la Commission Permanente de l'Assemblée Nationale et Secrétaire
Général Adjoint du Parti RPP.
Les
principaux responsables
d'actes de torture
à Djibouti.
En
attendant que la justice pénale puisse instruire les plaintes
des victimes de mauvais traitements, de spoliation, de viols,
de torture et d'emprisonnement arbitraire (...), nous rappelons
à l'opinion publique internationale les noms des tortionnaires
qui ont été le plus souvent cités par les
victimes.
Certains
se seraient déjà réfugiés à
l'étranger (USA et Canada) sous de fausses identités,
mais ils sont placés sous surveillance, par les polices
locales.