ARDHD
Observatoire de la situation
des Droits de l'Homme à Djibouti
3ème année


Bulletin d'information et d'alerte N° B 125
Du 15 au 21 décembre 2001

 

19/12/01 Nous recherchons, pour le publier sur le site, des photos des manifestations de Bruxelles et de Paris le 18 décembre 2001
19/12/01 Guelleh torture, Guelleh séquestre, Guelleh ruine un pays, Guelleh fait régner la terreur ! Et que fait la France ? Elle continue à lui donner des aides supérieures à celles des autres pays d'Afrique (pour qu'il puisse continuer à asservir son peuple ?)

19/12/01 ALERTE ROUGE EN FAVEUR DES PRISONNIERS POLITIQUES INCARCERES A GABODE.
19/12/01 L'Affaire Borrel - Archives - Un lecteur nous transmet un article datant du 1er Mars 2000 qui résume bien l'affaire ..
18/12/01 DERNIERE MINUTE - MANIFESTATION DEVANT L'AMBASSADE DE DJIBOUTI A PARIS CE SOIR

18/12/07 : Fête de l'Aïd. IOG accorde des remises de peine aux condamnés, mais aucune clémence pour les officiers incarcérés illégalement et sans jugement à Gabode, alors que le Général Yacin est libre de ses mouvements.
17/12/01 COMMÉMORATION DU 10eANNIVERSAIRE DU MASSACRE D'ARHIBA - JOURNÉE DE DEUIL NATIONAL (Ali Dahan)
15/12/01 A lire dans La Lettre de l'Océan Indien cette semaine
15/12/01 Belgique / Bruxelles : appel pour manifester pour le dixième anniversaire du massacre d'Arriba

15/12/01 La "Justice assassinée" dans l'Affaire du Juge Borrel et la Justice de la Justice.
(Roger Picon)
15/12/01 Devoir de mémoire à l'égard de MOHAMED DJAMA ELABE et pour un "Autre Djibouti" plus humain, plus juste.
(Roger Picon)
14/12/01 ARRIBA : dix ans cette semaine...

14/12/01 L'ARDHD souhaite une très bonne fête de l'Aïd à tous les musulmans et en particulier à tous les Djiboutiens.

bulletin B124
..bulletin B126


Avis : nous ne pouvons pas vérifier toutes les informations transmises par les lecteurs.

Nous rappelons que les courriers des lecteurs sont publiés sous leur seule responsabilité et que l'action de l'ARDHD se limite à les insérer dans ces colonnes en ajoutant la mention 'Lecteur".

Pour des raisons de sécurité les publications sont anonymes, mais l'ARDHD conserve le double des messages E-Mail. L'ARDHD s'engage en contrepartie à publier les réponses à ces courriers et/ou les rectificatifs.

   

19/12/01 Nous recherchons, pour le publier sur le site, des photos des manifestations de Bruxelles et de Paris le 18 décembre 2001

Nous lançons un appel à tous ceux qui pourraient nous envoyer des photos prises lors des manifestations à Paris et à Bruxelles, à l'occasion du 10 ème anniversaire d'ARRIBA. Si vous êtes dans ce cas, merci de nous les faire parvenir, de préférence, sous format .JPG / .BPM, .GIF, pour que nous puissions les publier sur le site.

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19/12/01 Guelleh torture, Guelleh séquestre, Guelleh ruine un pays, Guelleh fait régner la terreur ! Et que fait la France ? Elle continue à lui donner des aides supérieures à celles des autres pays d'Afrique (pour qu'il puisse continuer à asservir son peuple ?)

Nous avons lu avec le plus grand intérêt l'interview de M. Christian Ocquet, chef de Service de Cooperation Française et d'Action Culturelle auprès de l'Ambassade de France à Djibouti, qui est paru dans le journal LA NATION, organe de communication du régime dictatorial, sous la signature d'A. Mahé.

Cette interview est particulièrement instructive et elle a le mérite de nous éclairer sur une partie des aides que la France donne au régime dictatorial pour qu'ils puissent se maintenir et continuer à asservir la population et à terroriser les hommes qui voudraient élever ne serait-ce qu'une faible protestation.

La question pourrait-être posée de savoir si le contribuable français n'en a pas assez de financer une dictature ? Est-il consentant le peuple français ? Pour aider des populations démunies, certainement ! Mais pour financer un régime qui ruine des populations, nous ne le pensons pas !

Dans son interview, Monsieur Ocquet avance des montants impressionnants, rien qu'au titre d'un instrument de coopération :: "Oui, je crois qu'on peut résumer cette coopération sous la forme d'un chiffre global. Elle tourne, en moyenne, autour de 150 MF ces dernières années. Dans ce montant, je ne tiens pas compte des versement effectués par l'Agence Française de Développement (AFD) qui est le deuxième outil de la coopération française à Djibouti…"

Et il faut ajouter toutes les autres aides françaises et européennes....!!

Pourquoi la France soutient-elle Guelleh de façon abusive et démesurée, ce que confirme M. Ocquet :"Mes collègues qui sont dans d'autres pays africains, notamment en Afrique de l'Ouest ou centrale me disent que l'enveloppe de la coopération pour Djibouti est beaucoup plus importante que la leur, alors que la population est beaucoup moins nombreuse. Donc, ils me disent : Comment ce fait-il, qu'un pays, qui a une population limitée, de l'ordre de 700 mille habitants, continue à percevoir de la part de la Coopération française des montants beaucoup plus important qu'un autre pays qui aurait par exemple 7,5 millions d'habitants ?"

Nous nous posons la question de savoir les raisons (obscures probablement) pour lesquelles la France tient tant à donner des armes (y compris financières) au dictateur de Djibouti, afin qu'il puisse mieux dominer et asservir tout un peuple.

Merci M. Ocquet pour ces précisions.

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19/12/01 ALERTE ROUGE EN FAVEUR DES PRISONNIERS POLITIQUES INCARCERES A GABODE.

A réception du communiqué suivant émis par la LDDH, l'ARDHD déclenche une alerte rouge en faveur des prisonniers politiques à Djibouti pour que cessent les tortures dont ils sont victimes et pour obtenir leur libération.

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 16/01/LDDH
DU 13 DECEMBRE 2001




A l'heure actuelle, il est urgent, que la Justice Djiboutienne fasse preuve d'une plus grande volonté pour son indépendance totale.

Car sans Justice, sans la transparence, la totale indépendance de la Justice et de l'Appareil Judiciaire, sans la stricte application du Principe Constitutionnel de la Séparation des Pouvoirs de l'Etat, alors les déclarations de Démocratie, de volonté d'Ouverture politique, de volonté de Réconciliation nationale, des souhaits émis et officiels afin de contrecarrer la Corruption et les Détournements des Deniers publics ainsi que des Biens sociaux, alors sans ce tout, alors il faudrait clairement dire que tous ces souhaits, ces volontés, ces déclarations sont des leurres, des fausses propagandes, des simples maquillages pour se maintenir.

Dans ce cadre et dans cet esprit, la Ligue Djiboutienne des Droits Humains ( LDDH ) ne peut qu'encourager toutes les initiatives, toutes les démarches pour les libertés de fonctionnement, de la totale indépendance et de la transparence du Pouvoir Judiciaire.

Début décembre 2001, en tant que Défenseur des Droits de l'Homme, le Président de la Ligue Djiboutienne des Droits Humains a rendu une visite au Ministre de la Justice et des Droits de l'Homme.

Durant l'entretien avec le Ministre de la Justice et des Droits de l'Homme, la LDDH a soulevé deux points qui, inéluctablement, continuent à ternir la crédibilité de la Justice, qui continuent en grande partie à entraver toutes les possibilités à sortir de la confiscation du Pouvoir Judiciaire par le Pouvoir Exécutif ou plus prècisemment par un noyau de Hauts Décideurs de l'Etat.


Sur les inévitables possibilités d'Abus de Pouvoir

La LDDH est :

- très inquiète de la situation carcérale des onze prisonniers politiques, toujours à Gabode.


- très préoccupée de l'état de leur santé et du refus de soins à certains d'entre eux, et ceci depuis un mois,


- très, très préoccupée d'apprendre, que depuis plusieurs mois les prisonniers politiques en détentions provisoires dans la sinistre prison de Gabode, en détentions provisoires depuis un an, depuis le 13 décembre 2000, que ces prisonniers de la Force Nationale de Police maintenus en infraction aux dispositions du Code de Procédure Pénale, maintenus encore en détentions provisoires, ces détenus, mises à part le Général Yassin Yabeh et le Colonel Mohamed A. God, tous les autres détenus n'ont pratiquement pas d'avocat, leur Défense n'est plus assurée, personne pour les tenir informés du : quand dans le temps ils auront droit à un procès équitable, pour combien de temps seront-ils abusivement " séquestrés en détentions provisoires " ?

La LDDH considère tous les différents abus et le maintien de ces policiers en détentions abusives comme de véritables et inacceptables tortures physiques et psychiques, sans aucun espoir pour la quasi totalité de ces détenus politiques, sans aucun espoir d'avoir droit à un procès juste, au droit de la mise en liberté provisoire, au droit de bénéficier du Non-Lieu délivré par la Juge d'Instruction, d'avoir droit de sortir de la prison de Gabode, car leur procès est, sans aucun doute, non seulement entaché de vices de formes, mais surtout fait l'objet de différentes manœuvres dilatoires, d'avoir droit à une Défense qui ne doit pas et ne peut subir ni pression, ni intimidation.

La LDDH saisit l'Organisation Mondiale contre la Torture ( OMT) pour s'inquiéter de la situation de ces détenus, qui sont encore en détentions illégales , et afin que cesse rapidement l'ensemble de ces cas de tortures inhumaines et intolérables.

La LDDH lance un Appel aux Avocats Sans Frontières ( ASF ) d'envisager la possibilité d'assister et d'assurer la Défense de ces détenus encore sans Jugement.

Subsidiairement, la LDDH dénonce le blocage incompréhensible de la Cour du Contentieux Administratif, blocage qui dure depuis plusieurs années, depuis exactement la nomination à d'autres fonctions, du Représentant du Gouvernement, Madame Hawa Ahmed Youssouf.
Depuis cette date : la Cour du Contentieux Administratif du TRIBUNAL de DJIBOUTI ne siège plus. Plus d'une soixantaine de dossiers, qui continuent et ne cessent de s'empiler, seraient et restent en souffrances.

M. NOEL ABDI Jean-PAUL

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19/12/01 L'Affaire Borrel - Archives - Un lecteur nous transmet un article datant du 1er Mars 2000 qui résume bien l'affaire ..

Cette affaire n'a toujours pas été conclue par la justice française. Les premiers juges ont été déssaisis du dossier et nous attendions avec impatience que le juge Parlos intervienne. Nous n'avons aucune information sur son travail, mais nous savons qu'il ne s'est toujours pas rendu à Djibouti et qu'il n'a toujours pas entendu le témoin principal M Aloumekani.

1er mars 2000

Depuis deux décennies, un concentré de Françafrique, plutôt pimenté, a fondu sur Djibouti. Il mêle les rivalités claniques locales, les excroissances des "services", d'étranges "coopérants", la Corsafrique casinotière, une panoplie de trafics (argent sale, drogue, faux-dollars), le proxénétisme et la pédophilie.


Un coopérant judiciaire, le magistrat français Bernard Borrel, a sans doute approché de trop près ce cloaque. Il a été étrangement "suicidé" le 19 octobre 1995. Il était de ces coopérants qui croient à ce qu'ils font, aider en l'occurrence au renforcement d'un État de droit. Mais Djibouti n'en est pas un. Le "porte-avions" français se double d'un petit Panama.

La raison d'État-major y tient lieu de justice. Pour faire croire au "suicide" du juge trop consciencieux, elle a opéré tous les faux et manipulations nécessaires. Au point, un temps, de faire douter l'épouse, Élisabeth Borrel, elle-même magistrat. Puis celle-ci est passée à la contre-offensive. Avec l'appui opiniâtre de la députée Yvette Roudy, elle a fini par obtenir la réouverture du dossier de la disparition de son mari. Aux bons soins de deux juges d'instruction, Roger Le Loire et Marie-Paule Moracchini.

Début 2000, ils s'apprêtaient à refermer sur un non-lieu ce dossier sensible, "convaincus" par la thèse du "suicide". Roger Le Loire connaît bien Djibouti. Il a longuement instruit un attentat antifrançais commis en 1990 dans ce port africain, contre le "Café de Paris" (un enfant tué, quinze blessés). Le juge avait renoncé à remonter jusqu'au probable commanditaire : Ismaël Omar Guelleh, alors chef de cabinet du président Hassan Gouled, et déjà l'homme fort du régime.

Ce spécialiste des coups tordus est devenu chef de l'État en 1999, avec la bénédiction de Jacques Chirac. En déplacement à Djibouti pour l'affaire Borrel, le juge Le Loire n'a rencontré, écrit-il, aucun témoin susceptible d'éclairer sa lanterne. Mais il a accepté l'invitation d'Omar Guelleh à un repas dans son palais. Fin 1998, le même Guelleh s'était empressé d'intégrer dans son équipe Mahdi Ahmed Abdillahi, qui venait d'être condamné à la prison à vie par la justice française pour l'attentat du Café de Paris...

Quant à la juge Moracchini, elle est suroccupée : elle poursuit inlassablement son collègue Albert Lévy. Elle est allée jusqu'à requérir une expertise psychiatrique contre cet "halluciné" qui a cru devoir s'opposer aux manigances provençales de l'extrême-droite et de la mafia ! Elle suspecte Lévy d'avoir transmis une information à un journaliste - un crime abominable. Le Syndicat de la magistrature s'est publiquement étonné du zèle de cette juge " qui porte moins d'attention à d'autres affaires ". Qui, par exemple, a égaré un tome et demi de l'instruction sur la Scientologie. Et qui, en l'occurrence, allait laisser sa collègue Élisabeth Borrel à ses questions lancinantes.

Une journaliste est venue perturber ce paisible exercice de la justice. Alexandrine Bouilhet a recueilli dans Le Figaro (11/01) le témoignage fort crédible de l'ancien adjoint à la sécurité du président Gouled, Mohamed Saleh Alhoumekani, réfugié en Belgique. Le jour de la découverte du corps de Bernard Borrel, " cinq hommes, affirme-t-il, sont arrivés en 4x4 à la présidence pour voir Omar Guelleh " : le commandant de la gendarmerie, le chef des services secrets, deux étrangers, et le terroriste Awalleh Guelleh Assoweh, l'un des auteurs de l'attentat du Café de Paris. Théoriquement emprisonné.

Permissionnaire ou évadé, Assoweh apparaît comme l'homme de main d'Omar Guelleh. Il rend compte à ce dernier : " La mission est accomplie. Le juge fouineur a été tué sans aucune trace ". Le futur Président s'assure alors dans le détail de cet effacement des traces. Selon Alhoumekani, l'un des deux étrangers du 4x4 serait un homme d'affaires corse, et l'autre un terroriste libanais.

Le témoignage de l'officier djiboutien est corroboré par celui d'un juge du même pays, exilé lui aussi. En poste sur place au moment des faits, il a entendu le procureur général s'exclamer : " Ça ne peut pas être un suicide ", et envisager l'ouverture d'une enquête avant d'en être dissuadé par sa hiérarchie.

Ce revirement serait intervenu après une démarche du chef de la mission française de coopération, Jean-Jacques Mouline, auprès du ministre djiboutien de la Justice. Selon plusieurs témoins, le chef de mission se serait exclamé : " C'est un suicide ! J'ai reçu des instructions de Paris en ce sens ! ".

Marie-Paule Moracchini et Roger Le Loire sont allés interroger l'officier djiboutien réfugié en Belgique. Ils ont lourdement insisté pour le faire revenir sur ses déclarations à la presse, soulignant " qu'il se mettait dans une situation de réel danger compte tenu de la présence à Djibouti des mafias libanaise et corse ". La pression fut si manifeste que les avocats d'Élisabeth Borrel ont demandé le dessaisissement des deux juges (cf. Le Nouvel Afrique-Asie, 07/97 ; Le Figaro, 31/01 et 03/02 ; Libération, 04/02).

En cette affaire exemplaire, la justice croise les ergots de la Françafrique. Elle aimerait se faire toute petite. Mais peut-être est-ce pour elle l'occasion de grandir, au bénéfice de la France et de l'Afrique ?

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18/12/01 DERNIERE MINUTE - MANIFESTATION DEVANT L'AMBASSADE DE DJIBOUTI A PARIS CE SOIR

Nous avons reçu ce communiqué en début d'après-midi que nous publions immédiatement en espérant que les Djiboutiens puissent en prendre connaissance rapidement. L'ARDHD se joint à cet appel, qu'elle attendait depuis quelque temps.

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COMMUNIQUE



Le 18 décembre 1991, dans un quartier de la Capitale djiboutienne habitée par les Afars, les forces de l'ordre et l'armée djiboutienne ont massacré 59 personnes et ont blessé une centaine.

Cet acte barbare d'une extrême gravité qui a visé des civils innocents, a été décidé à la suite d'un revers de l'Armée Nationale face au FAUD.

10 ans après, ce crime odieux n'a jamais été reconnu par le regime, les responsables de cette tuerie jouissent d'une impunité totale.
Il est temps de faire toute la lumière sur ce crime de guerre qui reste comme un abcès sur le chemin de a paix et de la reconciliation.


L'Association pour la Démocratie et le Développement
L'Observatoire pour le Respect des Droits Humains à Djibouti,
L'Association des Femmes djiboutiennes en France
Le Comité des Femmes Djiboutiennes contre les Viols et l'Impunité,
L'Association des réfugiés djiboutiens en France :


Appelle à une manifestation le Mardi 18 décembre 2001 à proximité de l'Ambassade de la République de Djibouti à 17h30.

Pour :

- Honorer la memoire des victimes
- Exiger une enquête Internationale sur Arhiba
- Traduire devant la justice les reponsables de ce massacre.






Contact : A.D.D TEL/FAX 0243762031 ou 0663218277









Pour commémorer le dixième anniversaire du massacre d'Arhiba du 18 décembre 1991, où 59 civils ont été sauvagement assassinés par les forces de Sécurité Djiboutiennes :

- L'Association pour la Democratie et le Développement,
- L'Observatoire pour le Respect des Droits Humains à Djibouti,
- L'Association des Femmes Djiboutiennes en France
- Le Comité des Femmes Djiboutiennes Contre les Viols et l'Impunité,
- L'Association de réfugiés Djiboutiens

Vous invite à participer à une manifestation pacifique :

Pour honorer la mémoire des victimes,
Dénoncer l'impunité dont jouissent les auteurs de cette tuerie qui constitue un crime de guerre

Exiger une enquête internationale sur Arhiba.



Le Mardi 18 décembre 2001 à proximité de l'Ambassade de la République de Djibouti. 26 rue Emile Menier à Paris

Rassemblement à 17h30 : Angle de la rue de Noisiel / rue Emile Menier.

Nous vous remercions de venir nombreux et de confirmer votre participation au
0143600053 ou 0663218277.

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18/12/07 : Fête de l'Aïd. IOG accorde des remises de peine aux condamnés, mais aucune clémence pour les officiers incarcérés illégalement et sans jugement à Gabode, alors que le Général Yacin est libre de ses mouvements.

Nous espérions un geste de clémence en faveur de ces prisonniers, mais il a la rancune trop tenace, cet IOG !! Et surtout il a un sens très personnel des décisions de justice qui semblent plutôt être guidées par ses humeurs et par ses haines que rendues selon le Droit. Les décisions de justice prise dans le Cabinet du Président sont appliquées ensuite par des sbires qui se prétendent des magistrats intègres. Et IOG voudrait nous faire croire que Djibouti est un Etat de Droit !

Extrait de l'ADI/DJIB/1564/167 MOTS

Décret présidentiel portant remise gracieuse de peine à des détenus


DJIBOUTI (ADI)- 15 décembre- A l’occasion de la fête de l’Aïd-El-Fitr, le Président de la République de Djibouti M.Ismaïl Omar Guelleh a signé un décret portant remise gracieuse de peine à des détenus.

Le décret présidentiel rendu public samedi 15 décembre et qui comporte sept articles permet ainsi une remise de peine totale aux condamnés définitifs à des peines privatives de liberté inférieure ou égale à deux ans d’emprisonnement ferme et ayant purgé le tiers de leurs peines.

Quant aux détenus condamnés à des peines privatives de libertés supérieurs à deux ans et ayant accompli au moins le tiers de leur peine, ils bénéficieront d’une remise de peine de 6 mois par année restant à purger.

Le décret présidentiel exclu du bénéfice de la remise gracieuse de peine les trafiquants de drogue ou de stupéfiants et les crimes de viol contre les mineurs de moins de 16 ans.

ADI- 10H40 GMT- 15 DECEMBRE 2001

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17/12/01 COMMÉMORATION DU 10eANNIVERSAIRE DU MASSACRE D'ARHIBA - JOURNÉE DE DEUIL NATIONAL (Ali Dahan)


Ali Dahan, Ph.D.

Représentant permanent du Front pour la Restauration de l'Unité et de la Démocratie-FRUD-originel aux Amériques
Président des Partisans de la Paix dans la Justice pour tous les Djiboutiens-PPJD-
C.P. 37073, Place Québec, Québec (Qc), G1R 5P5, Canada
Cellulaire : 1-418-262-5924, Téléavertisseur : 1-418-874-5518 Téléphone et télécopieur: 418-658-9244 -
Courriel: dahana_ca@yahoo.fr

18 DÉCEMBRE 1991- 18 DÉCEMBRE 2001
COMMÉMORATION DU 10eANNIVERSAIRE
DU MASSACRE D'ARHIBA
JOURNÉE DE DEUIL NATIONAL


" Une vie de sacrifice est le "Si la justice disparaît, c'est chose
sommet suprême de l'art. Elle sans valeur que le fait que des
est pleine d'une véritable joie." hommes vivent sur terre."
Mahatma GANDHI Emmanuel KANT




LE TERRORISTE GUELLEH EST NON
SEULEMENT RESPONSABLE DU MASSACRE
D'ARHIBA MAIS AUSSI DE PLUSIEURS AUTRES
MASSACRES ET ATTENTATS, IL A EU L'AIDE
DES DIRIGEANTS DES 3 FACTIONS DU FRUD
POUR MENER SES VICTIMES A L'ÉCHAFAUD.



18 DÉCEMBRE : JOURNÉE DE DEUIL NATIONAL


La Commémoration du 10e anniversaire du Massacre d'Arhiba coïncide cette année avec la 3e journée de la fête de Aid-Al-Fitr qui marque la fin du mois béni du Ramadan. Le massacre
du 18 décembre 1991 a fait presqu'une centaine de morts et de disparus ainsi que plusieurs centaines de blessés par balles.


Alors que les musulmans du monde entier célèbre avec joie cette importante fête musulmane, des milliers de mères, de pères, épouses et enfants Djiboutiens pleurent les leurs qui ont été massacrés froidement par la horde du terroriste Ismael Omar Guelleh a Arhiba mais aussi a Balbala, au Quartier no 7 (Carton), a Ambouli, a Médého et pleurent ceux qu'on a découverts dans les charniers des Trous des Italiens, derrière le Théâtre du Saline, à Démerjog, à la plage de Doralé, etc...

Pendant ce temps, les dirigeants des pseudo-partis d'opposition qui ont bâti le socle de la dictature de Guelleh-Batal ainsi que ceux des trois factions du FRUD qui ont trahi l'espoir légitime de notre peuple a la liberté et a la démocratie vont parader au jardin du Palais présidentiel et vont se bousculer pour être le plus près possible du terroriste Guelleh comme ils l'ont fait en avril 2000 et en juin 2001. Ce qui est plus révoltant dans tout cela c'est le fait que quelques-uns parmi eux vont oser se plaindre le lendemain de ne pas voir leurs photos et / ou leurs noms dans les médias du dictateur : RTD, "La Nation", etc... (voir les preuves
dans les journaux des pseudo-partis d'opposition du mois d'avril 2000 et après cette date).


Force est de constater que le terrorisme d'État est encore une réalité et que la persécution est quotidienne à Djibouti-Ville et àAli-Sabieh, malgré les signatures de plusieurs pseudo-accords de paix dont le dernier fut signé le 12 mai 2001, le siège militaire du Nord et du Sud-Ouest du pays ainsi que la répression sont toujours monnaie courante.



A LUI SEUL, LE TERRORISTE GUELLEH EST MOINS QUE
RIEN, C'EST POURQUOI IL FAUT AUSSI DÉMASQUER
SES ASSOCIÉS...


A lui seul, le terroriste Guelleh est moins que rien. S'il a réussi a devenir un monstre et qu'il a pu faire souffrir notre peuple Djiboutien, c'est parce qu'il a l'appui et la connivence des dirigeants des pseudo-partis de l'opposition et ceux des dirigeants des 3 factions
du FRUD dont le dernier qui s'est joint à son gouvernement est le caméléon Ismael Ibrahim Houmed. L'appui des dits dirigeants à l'injustice et à la persécution de notre peuple par Guelleh se monnaye par des avantages pécuniaires mesquins : pécules, postes ministériels et autres promesses telle que la participation au futur gouvernement de ce tyran...


Il serait insuffisant de s'attaquer au tyran Guelleh sans démasquer ceux qui appuient son despotisme et ses crimes et qui lui donnent une bonne image à l'extérieur du pays. C'est justement ces derniers qui lui ouvrent grand la porte pour qu'il puisse recevoir l'aide de la Communauté internationale avec laquelle il commet les exactions les plus abominables contre notre peuple pacifique et sans défense.

C'est pour toutes ces raisons que les associés et les agents de Guelleh veulent m'imposer la loi de l'Omerta...Leur comportement n'a rien d'étonnant ! Cependant, ils doivent savoir que par le passé, personne des anciens et nouveaux dictateurs de Djibouti : MM. Ali Aref Bourhan, Hassan Gouled Aptidon, Ahmed Dini Ahmed et Ismael Omar Guelleh n'ont pu m'arrêter de dire la vérité et de défendre notre pays. Ce n'est donc pas leurs petits rejetons minables qui réussiront à m'imposer le silence devant l'injustice.

LE TERRORISTE GUELLEH A CRÉÉE UN GOUVERNEMENT
FANTOCHE EN SOMALIE QUI SERT COMME ARRIÈRE-
BASE AUX ACTIVITÉS TERRORISTES DE SES BAILLEURS
DE FONDS


J'ai remarqué aussi que les associés et les agents du terroriste Guelleh ont paniqué depuis le dernier communiqué des PPJD dans lequel j'ai démontré que Guelleh a crée en août 2000 le GNT de la Somalie qui sert comme base arrière aux activités terroristes de ses bailleurs de fonds.

On sait que le 9 octobre 2001, le premier ministre du GNT de la Somalie avait été convoqué par Guelleh a Djibouti pour recevoir les directives afin de se disculper de leurs implications d'avoir hébergé et aidé les terroristes en leur fournissant des camps d'entraînement avant qu'il ne s'envole vers les États-Unis d'Amérique pour rencontrer des fonctionnaires américains.

Malgré le machiavélisme et la duplicité de Guelleh et malgré les appels de M. Abdiqassim Salad Hassan, Président du gouvernement fantoche de la Somalie de vouloir "réfuter les allégations de la présence de réseaux terroristes en Somalie", le 13 décembre 2001, des hélicoptères américains survolaient Mogadiscio.

Nous espérons que les E.U.A. et leurs alliés de l'OTAN vont s'attaquer à la racine du terrorisme dans la Corne de l'Afrique en s'attaquant au principal responsable le terroriste Guelleh qui a mis à feu et à sang la région depuis les années 70 ainsi qu'au GNT de la Somalie qu'il a créé.

Fait à Québec, le 16 décembre 2001

Ali Dahan, Ph.D.
Courriel: dahana_ca@yahoo.fr

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15/12/01 A lire dans La Lettre de l'Océan Indien cette semaine

INTELLIGENCE ONLINE - Edition française - 13/12/2001
TERRORISME - La prochaine cible de l’offensive antiterroriste
Les services de renseignement britanniques et américains sont à pied d’oeuvre à Nairobi et Addis Abeba pour collecter des informations sur le principal allié d’Al-Qaeda dans la Corne de l’Afrique: (...). [Total : 241 Mots].


LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 15/12/2001
SOUDAN/FRANCE - Abdelbasit Badawi el-Sanosi
Le nouvel ambassadeur du Soudan en France, qui prendra ses fonctions au début de l'an prochain, n'est pas un inconnu dans ce pays. (...). [Total : 270 Mots].


LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 15/12/2001

CORNE DE L'AFRIQUE - Le retour de la question Afar
Plusieurs associations d'exilés Afar en Suède vont remettre à l'ordre du jour la question de la place de cette communauté dans la Corne de l'Afrique à l'occasion d'une conférence à Uppsala (Suède), le 19 décembre. (...). [Total : 309 Mots].


LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 15/12/2001
SOMALIE - En ligne de mire
Avec ses alliés européens, le gouvernement américain va déployer un cordon sanitaire autour de la Somalie avant d'y envisager d'éventuelles frappes antiterroristes. (...). [Total : 621 Mots].

Note de l'ARDHD : nous avons vraiment l'impression, au travers des informations reçues, que les Américains pourraient attaquer en Somalie, les positions tenues par de possibles associations terroristes.

Et Guelleh dans tout cela ? Il doit être un peu embarassé notre génie de la Corne de l'Afrique. Il a soutenu un soi-disant processus de paix en Somalie qui a abouti à peu de choses. A-t-il pu couvrir des dirigeants d'associations terroristes : cela est possible et méritera en tout cas, d'être vérifié ..

Et puis, toujours avec son amour de la politique à double jeu, il vient d'apporter une aide logistique aux américains, qui, reconnaissants, lui ont fait verser un petit paquet de dollars par le FMI : environ 30 millions de Francs français ! C'est un acompte, mais ça permet de vivre pendant quelques jours, même avec une famille aussi dispendieuse que le clan Guelleh et consorts, n'est-ce pas ! (Nous n'avons aucune information sur la banque étrangère ni sur le compte, sur lequel IOG pourrait avoir fait transférer le cadeau du FMI). Comment va-t-il expliquer cela à ses protégés somaliens ?

Comment va-t-il s'arranger pour essayer de nous expliquer que sa réussite en Somalie est finalement un échec, mais que lui Le Génie ne s'est pas trompé ? Cornélien ?

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15/12/01 Belgique / Bruxelles : appel pour manifester pour le dixième anniversaire du massacre d'Arriba

FORUM POUR LA DEMOCRATIE ET LA PAIX
Rue George moreau 184
1070 Bruxelles
Tél 0475/311/507
Ou 0476/342/583

Bruxelles, 04/11/2001


APPEL A LA MANIFESTATION




Nous portons à la connaissance générale en ce mardi 18/12/2001, la COMMEMORATION du massacre d'Arhiba qui s'est perpétré à Djibouti dans la journée du 18/12/1991, et ayant causé 59 morts, 300 blessés et 7 disparus. Cette journée de souvenir et de recueillement aura lieu entre 14h et15h devant l'Ambassade de Djibouti Avenue : FRANLIN ROOSEVELT 204.

De ce fait, nous souhaitons

Que justice soit rendue aux victimes de cette barbarie ;

Que les coupables soient démasqués et traduits devant les instances juridiques compétentes ;

Et enfin que réparation soit faite aux familles des victimes.

Tant que les commanditaires de ce carnage jouirons d'une totale impunité, rien ne pourra effacer de nos mémoires cette Sombre page de l'histoire de notre pays, et nous avons l'intime conviction que les coupables répondrons un jour de leurs actes.


Secrétaire
Hassan Mohamed
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15/12/01 La "Justice assassinée" dans l'Affaire du Juge Borrel et la Justice de la Justice.

"Pas de sanction contre la Juge Morrachini" tel est le titre paru dans la presse du vendredi 14 décembre 2001.

Le Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) a refusé hier de sanctionner Marie Paule Morrachini, juge d'instruction à Paris, alors que l'ancienne Ministre de le Justice, Élisabeth Guigou, avait demandé une sanction disciplinaire pour "manque de rigueur" et "atteinte à la crédibilité de sa fonction".

Le représentant du Ministre, André Gariazzo, avait requis une "réprimande avec inscription au dossier" lors de l'audience du 14 novembre dernier, c'est à dire la plus faible sanction possible, avant le blâme, la déplacement, l'abaissement d'échelon, le retrait des fonctions ou la révocation.

Madame Morrachini était poursuivie pour "manque de rigueur" et "atteinte à la crédibilité de sa fonction"

Deux faits lui étaient reprochés :

D'une part, ne pas avoir fait de copie du dossier de la scientologie qu'elle instruisait depuis 1993...... ce qui aurait permis de le reconstituer après sa mystérieuse disparition en 1998. Cette affaire a provoqué la condamnation de l'État, donc indirectement de vous et moi, pour "faute lourde" de la justice. D'autre part, la disparition constatée en 2000, d'un dossier ouvert en 1989.... mettant en cause des policiers et le neveu d'un magistrat parisien.

Pour l'affaire de la scientologie, le CSM présidé par Yvan Zakine, ancien président de la chambre de la cour de cassation a évoqué le manque de moyens des juges !!!!!!! Pour le second, il a estimé que l'enquête produite par le Ministre de la Justice était insuffisante pour étayer son accusation.

Sans commentaire, je vous laisse "Juge"......................

Roger Picon

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15/12/01 Devoir de mémoire à l'égard de MOHAMED DJAMA ELABE et pour un "Autre Djibouti" plus humain, plus juste.

Certains d'entre vous savent qui je suis, mon nom est connu ; je le pense respecté par ce que respectable dans mes engagements. Il est toujours nécessaire d'avoir le courage de ses intentions en "restant debout" face à l'adversité, quelque pourrait être la difficulté de la tâche que l'on s'est fixée.

Durant plus de deux années, de 1987 à 1989, j'ai participé aux activités du mouvement sportif djiboutien et plus particulièrement à celles de la Fédération Djiboutienne de Hand Ball comme Arbitre international.

J'ai consacré quasiment tous mes loisirs parfois mes deniers au profit de la jeunesse, je n'ai pas "capitalisé" sur le dos des Djiboutiens respectant ainsi l'esprit de le coopération française telle que l'avait souhaité le Général de Gaulle en son temps.

J'adresse un sincère et amical bonjour à tous ceux et à toutes celles avec qui nous avons partagé des instants inoubliables tels que la participation des équipes nationales masculines et féminines aux Championnats de Hand Ball de l'Afrique de l'Est à Nairobi en décembre 1988. Il serait trop long d'énumérer tous ces instants, chacun se les remémorera à loisir ; la vie nous a éloigné mais le souvenir et l'amitié partagée restent au fond de nos cœurs.

Sur le plan politique j'avais à cette époque, comme militaire français servant sur le territoire de la République de Djibouti, une obligation de réserve à laquelle je n'ai pas failli ; en aucun moment ou de quelque manière que ce fut. Les rapports privilégiés, la confiance et le respect mutuel que nous avons entretenus avec mon regretté ami Mohamed Djama Elabé se sont traduits en un engagement sans faille à ses cotés. Cela fait cinq années que le Rassembleur, l'homme de Cœur nous a quittés pour rejoindre le paradis d'Allah mais il est toujours présent dans nos pensées.

Comme membre d'honneur du Parti du Renouveau Démocratique (depuis janvier 1996), je remercie très sincèrement son successeur Daher Ahmed Farah pour le Combat qu'il mène avec abnégation à la tête du P.R.D pour l'instauration d'une véritable démocratie à Djibouti avec toutes les contraintes (le mot est faible) que ne cesse de lui opposer le pouvoir en place et l'assure de mon soutien.

En cette période de fêtes de Noël et de Ramadan j'adresse à toutes les familles djiboutiennes qui partagent nos valeurs et fondent un espoir en un "Autre Djibouti" plus humain, plus juste, à la famille de Mohamed Djama ainsi qu'à ses amis qui lui sont restés fidèles, l'expression ma compassion en mémoire de mon ami ainsi que le "témoignage d'une volonté de paix" à laquelle Mohamed Djama était très attaché.

Roger Picon
Un Djiboutien de cœur
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14/12/01 ARRIBA : dix ans cette semaine...

L'un des crimes contre l'humanité parmi ceux qui sont attribués à Guelleh.

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14/12/01 L'ARDHD souhaite une très bonne fête de l'Aïd à tous les musulmans et en particulier à tous les Djiboutiens.

Nous adressons tous nos voeux à tous les musulmans et en particulier à tous les Djiboutiens, à l'occasion de la fête de l'Aïd qui marquera ce week end la fin du Ramadan.

Nous espérons que les gouvernants djiboutiens auront mis à profit ce mois sacré pour réfléchir à leurs actes et à leurs responsabilités et qu'ils auront pris de bonnes résolutions pour mettre un terme à la spoliation du peuple djiboutien.

Nous espérons qu'IOG aura le courage de faire libérer à cette occasion tous les prisonniers politiques qui croupissent dans la sinistre prison de Gabode et nous l'attendons sur ce point ...

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L'HOMME
OU LA FEMME
DE LA
SEMAINE.

Dans cette rubrique nous signalons à l'opinion internationale, celle ou celui qui s'est distingué(e)
- soit par son zèle pour soutenir la dictature,
- soit en violant les Droits de l'Homme : cruauté, tortures, exécutions sommaires, emprisonnements arbitraires, viols, assassinats, destruction de cheptels ou de point d'eau, destruction d'écoles ou de centres de soins, etc. .

Auront-ils à répondre un jour
de leurs actes
et de leurs crimes
devant un tribunal pénal international ?


Rappel des personnages
déjà "élus" :

LA LIBERTÉ N° 17 -
Mme LEILA,
juge d'instruction

LA LIBERTÉ N° 19 -
Omar FARAH,
gendarmerie d'Ali Sabieh

LA LIBERTÉ N° 29 -
Le général Yacin YABEH,

LA LIBERTÉ N° 32 -
Le directeur de la Prison de Gabode,

LA LIBERTÉ N° 33 -
Ali Mohamed ABDOU,
procureur général

LA LIBERTÉ N° 35 -
Mme Hawa Ahmed YOUSSOUF
Ministre déléguée conjointement avec
M. Le Représentant de l'UNICEF
à Djibouti.

LA LIBERTÉ N° 36 -
M Ibrahim Idriss DJIBRIL,
Ministre de la Justice, conjointement avec M Mohamed Ali ABDOU, procureur général de Djibouti (2ème nomination)

BULLETIN N° 4 -
Lieutenant GUELLEH de la FNP

BULLETIN N° 7 -
Le responsable des forces de police
qui a donné l'ordre le 24 juin de tirer à balles réelles sur Daher Guedi FOUREH.

BULLETIN N° 16 -
M Yacin Elmi BOUH,
Ministre de l'Économie et des Finances.

LA LIBERTÉ bulletin N° 23 -
M. Yacin Elmi BOUH,
Ministre de l'Économie et des Finances (2ème nomination)

LA LIBERTÉ bulletin N° 28 -
Monsieur Abdallah Abdillahi Miguil,
Ministre de l'Intérieur

LA LIBERTÉ bulletin N° 29 -
Monsieur MOGUEH,
Ministre délégué aux affaires musulmanes

LA LIBERTÉ - bulletin N° 32 -
Madame Nima Ali Warsama,
Juge d'instruction

LA LIBERTÉ - bulletin N° 36
Monsieur Ali Mohamed Daoud -
Ministre de l'Agriculture et du développement rural.

LA LIBERTÉ - bulletin N° 37
Le Lieutenant-colonel Abdourahman Ali Kahin,
Chef du groupement de police du district de Djibouti.


LA LIBERTÉ - bulletin N° 40
Le procureur IBRAHIM,

LA LIBERTÉ - bulletin N° 42
M. Idriss Arnaoud Ali, Directeur de Publication du Journal le Progrès, Président de la Commission Permanente de l'Assemblée Nationale et Secrétaire Général Adjoint du Parti RPP.

LA LIBERTÉ - bulletin N° 43
le Président Saïd Mahamoud Abkar, Cour criminelle de Djibouti.

LA LIBERTÉ - bulletin N° 48
Hassan dit "Modaubé"

OBSERVATOIRE N° B106
DJAMA SOULEIMAN, procureur auprès du Tribunal de Première instance de Djibouti
Directeur adjoint de la Police politique.

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Les principaux responsables
d'actes de torture
à Djibouti.

En attendant que la justice pénale puisse instruire les plaintes des victimes de mauvais traitements, de spoliation, de viols, de torture et d'emprisonnement arbitraire (...), nous rappelons à l'opinion publique internationale les noms des tortionnaires qui ont été le plus souvent cités par les victimes.

- Colonel
Mahdi Cheikh Moussa,
- Colonel
Omar Bouh Goudade

- Lieutenant-colonel
Hoche Robleh


- Commandant
Zakaria Hassan

- Lieutenant Ladieh
- Lieutenant Mohamed Adoyta
- L'aspirant Haroun
- Le sous-officier Naguib
- L'adjudant Tane
- Kalifa
- Wagdi

Certains se seraient déjà réfugiés à l'étranger (USA et Canada) sous de fausses identités, mais ils sont placés sous surveillance, par les polices locales.

Nos informations sur la torture à Djibouti et les récits des victimes

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L'Ordre des
Brosses à Reluire
réunit les meilleurs chantres du régime dictatorial

Bulletin n° 44
Mahdi Ahmed Abdilahi au grade de Cireur de Pompes - Premier échelon

Bulletin n° 45
Monsieur Ali Abdi, Ministre des Affaires Etrangères au grade d'hyène fonceuse - Premier échelon

Monsieur Johar, Ministre du commerce au grade d'hyène repue - Premier échelon

Bulletin n° B122
Mohamed Ali Mohamed (dit DIG DIG), auteur de l'article "Pour un peu plus de patriotisme" (paru dans le journal La Nation N°91 du 12/11/01) au grade de Léche-bottes avec mention spéciale.