Avis
: nous ne pouvons pas vérifier toutes les informations transmises
par les lecteurs.
Nous
rappelons que les courriers des lecteurs sont publiés sous
leur seule responsabilité et que l'action de l'ARDHD se limite
à les insérer dans ces colonnes en ajoutant la mention
'Lecteur".
Pour
des raisons de sécurité les publications sont anonymes,
mais l'ARDHD conserve le double des messages E-Mail. L'ARDHD s'engage
en contrepartie à publier les réponses à ces
courriers et/ou les rectificatifs.
19/12/01
Nous recherchons, pour le publier sur le site, des photos
des manifestations de Bruxelles et de Paris le 18 décembre
2001
Nous
lançons un appel à tous ceux qui pourraient
nous envoyer des photos prises lors des manifestations à
Paris et à Bruxelles, à l'occasion du 10 ème
anniversaire d'ARRIBA. Si vous êtes dans ce cas, merci
de nous les faire parvenir, de préférence, sous
format .JPG / .BPM, .GIF, pour que nous puissions les publier
sur le site.
____________________
________________
19/12/01
Guelleh torture, Guelleh séquestre, Guelleh ruine un
pays, Guelleh fait régner la terreur ! Et que fait
la France ? Elle continue à lui donner des aides supérieures
à celles des autres pays d'Afrique (pour qu'il puisse
continuer à asservir son peuple ?)
Nous
avons lu avec le plus grand intérêt l'interview
de M. Christian Ocquet, chef de Service de Cooperation Française
et d'Action Culturelle auprès de l'Ambassade de France
à Djibouti, qui est paru dans le journal LA NATION,
organe de communication du régime dictatorial, sous
la signature d'A. Mahé.
Cette
interview est particulièrement instructive et elle
a le mérite de nous éclairer sur une partie
des aides que la France donne au régime dictatorial
pour qu'ils puissent se maintenir et continuer à asservir
la population et à terroriser les hommes qui voudraient
élever ne serait-ce qu'une faible protestation.
La
question pourrait-être posée de savoir si le
contribuable français n'en a pas assez de financer
une dictature ? Est-il consentant le peuple français
? Pour aider des populations démunies, certainement
! Mais pour financer un régime qui ruine des populations,
nous ne le pensons pas !
Dans
son interview, Monsieur Ocquet avance des montants impressionnants,
rien qu'au titre d'un instrument de coopération ::
"Oui, je crois qu'on peut résumer cette coopération
sous la forme d'un chiffre global. Elle tourne, en moyenne,
autour de 150 MF ces dernières années. Dans
ce montant,je ne tiens pas compte des versement effectués
par l'Agence Française de Développement (AFD)
qui est le deuxième outil de la coopération
française à Djibouti "
Et
il faut ajouter toutes les autres aides françaises
et européennes....!!
Pourquoi
la France soutient-elle Guelleh de façon abusive et
démesurée, ce que confirme M. Ocquet :"Mes
collègues qui sont dans d'autres pays africains, notamment
en Afrique de l'Ouest ou centrale me disent que l'enveloppe
de la coopération pour Djibouti est beaucoup plus importante
que la leur, alors que la population est beaucoup moins nombreuse.
Donc, ils me disent : Comment ce fait-il, qu'un pays, qui
a une population limitée, de l'ordre de 700 mille habitants,
continue à percevoir de la part de la Coopération
française des montants beaucoup plus important qu'un
autre pays qui aurait par exemple 7,5 millions d'habitants
?"
Nous
nous posons la question de savoir les raisons (obscures probablement)
pour lesquelles la France tient tant à donner des armes
(y compris financières) au dictateur de Djibouti, afin
qu'il puisse mieux dominer et asservir tout un peuple.
Merci
M. Ocquet pour ces précisions.
____________________
________________
19/12/01
ALERTE ROUGE EN FAVEUR DES PRISONNIERS POLITIQUES INCARCERES
A GABODE.
A
réception du communiqué suivant émis
par la LDDH, l'ARDHD déclenche une alerte rouge en
faveur des prisonniers politiques à Djibouti pour que
cessent les tortures dont ils sont victimes et pour obtenir
leur libération.
COMMUNIQUE
DE PRESSE N° 16/01/LDDH
DU 13 DECEMBRE 2001
A l'heure
actuelle, il est urgent, que la Justice Djiboutienne fasse
preuve d'une plus grande volonté pour son indépendance
totale.
Car sans
Justice, sans la transparence, la totale indépendance
de la Justice et de l'Appareil Judiciaire, sans la stricte
application du Principe Constitutionnel de la Séparation
des Pouvoirs de l'Etat, alors les déclarations de Démocratie,
de volonté d'Ouverture politique, de volonté
de Réconciliation nationale, des souhaits émis
et officiels afin de contrecarrer la Corruption et les Détournements
des Deniers publics ainsi que des Biens sociaux, alors sans
ce tout, alors il faudrait clairement dire que tous ces souhaits,
ces volontés, ces déclarations sont des leurres,
des fausses propagandes, des simples maquillages pour se maintenir.
Dans ce
cadre et dans cet esprit, la Ligue Djiboutienne des Droits
Humains ( LDDH ) ne peut qu'encourager toutes les initiatives,
toutes les démarches pour les libertés de fonctionnement,
de la totale indépendance et de la transparence du
Pouvoir Judiciaire.
Début
décembre 2001, en tant que Défenseur des Droits
de l'Homme, le Président de la Ligue Djiboutienne des
Droits Humains a rendu une visite au Ministre de la Justice
et des Droits de l'Homme.
Durant
l'entretien avec le Ministre de la Justice et des Droits de
l'Homme, la LDDH a soulevé deux points qui, inéluctablement,
continuent à ternir la crédibilité de
la Justice, qui continuent en grande partie à entraver
toutes les possibilités à sortir de la confiscation
du Pouvoir Judiciaire par le Pouvoir Exécutif ou plus
prècisemment par un noyau de Hauts Décideurs
de l'Etat.
Sur les
inévitables possibilités d'Abus de Pouvoir
La LDDH
est :
- très
inquiète de la situation carcérale des onze
prisonniers politiques, toujours à Gabode.
- très
préoccupée de l'état de leur santé
et du refus de soins à certains d'entre eux, et ceci
depuis un mois,
- très,
très préoccupée d'apprendre, que depuis
plusieurs mois les prisonniers politiques en détentions
provisoires dans la sinistre prison de Gabode, en détentions
provisoires depuis un an, depuis le 13 décembre 2000,
que ces prisonniers de la Force Nationale de Police maintenus
en infraction aux dispositions du Code de Procédure
Pénale, maintenus encore en détentions provisoires,
ces détenus, mises à part le Général
Yassin Yabeh et le Colonel Mohamed A. God, tous les autres
détenus n'ont pratiquement pas d'avocat, leur Défense
n'est plus assurée, personne pour les tenir informés
du : quand dans le temps ils auront droit à un procès
équitable, pour combien de temps seront-ils abusivement
" séquestrés en détentions provisoires
" ?
La LDDH
considère tous les différents abus et le maintien
de ces policiers en détentions abusives comme de véritables
et inacceptables tortures physiques et psychiques, sans aucun
espoir pour la quasi totalité de ces détenus
politiques, sans aucun espoir d'avoir droit à un procès
juste, au droit de la mise en liberté provisoire, au
droit de bénéficier du Non-Lieu délivré
par la Juge d'Instruction, d'avoir droit de sortir de la prison
de Gabode, car leur procès est, sans aucun doute, non
seulement entaché de vices de formes, mais surtout
fait l'objet de différentes manuvres dilatoires,
d'avoir droit à une Défense qui ne doit pas
et ne peut subir ni pression, ni intimidation.
La
LDDH saisit l'Organisation Mondiale contre la Torture ( OMT)
pour s'inquiéter de la situation de ces détenus,
qui sont encore en détentions illégales , et
afin que cesse rapidement l'ensemble de ces cas de tortures
inhumaines et intolérables.
La
LDDH lance un Appel aux Avocats Sans Frontières ( ASF
) d'envisager la possibilité d'assister et d'assurer
la Défense de ces détenus encore sans Jugement.
Subsidiairement,
la LDDH dénonce le blocage incompréhensible
de la Cour du Contentieux Administratif, blocage qui dure
depuis plusieurs années, depuis exactement la nomination
à d'autres fonctions, du Représentant du Gouvernement,
Madame Hawa Ahmed Youssouf.
Depuis cette date : la Cour du Contentieux Administratif du
TRIBUNAL de DJIBOUTI ne siège plus. Plus d'une soixantaine
de dossiers, qui continuent et ne cessent de s'empiler, seraient
et restent en souffrances.
M. NOEL ABDI Jean-PAUL
____________________
________________
19/12/01
L'Affaire Borrel - Archives - Un lecteur nous transmet un
article datant du 1er Mars 2000 qui résume bien l'affaire
..
Cette
affaire n'a toujours pas été conclue par la
justice française. Les premiers juges ont été
déssaisis du dossier et nous attendions avec impatience
que le juge Parlos intervienne. Nous n'avons aucune information
sur son travail, mais nous savons qu'il ne s'est toujours
pas rendu à Djibouti et qu'il n'a toujours pas entendu
le témoin principal M Aloumekani.
1er
mars 2000
Depuis deux décennies, un concentré de Françafrique,
plutôt pimenté, a fondu sur Djibouti. Il mêle
les rivalités claniques locales, les excroissances
des "services", d'étranges "coopérants",
la Corsafrique casinotière, une panoplie de trafics
(argent sale, drogue, faux-dollars), le proxénétisme
et la pédophilie.
Un coopérant
judiciaire, le magistrat français Bernard Borrel, a
sans doute approché de trop près ce cloaque.
Il a été étrangement "suicidé"
le 19 octobre 1995. Il était de ces coopérants
qui croient à ce qu'ils font, aider en l'occurrence
au renforcement d'un État de droit. Mais Djibouti n'en
est pas un. Le "porte-avions" français se
double d'un petit Panama.
La raison
d'État-major y tient lieu de justice. Pour faire croire
au "suicide" du juge trop consciencieux, elle a
opéré tous les faux et manipulations nécessaires.
Au point, un temps, de faire douter l'épouse, Élisabeth
Borrel, elle-même magistrat. Puis celle-ci est passée
à la contre-offensive. Avec l'appui opiniâtre
de la députée Yvette Roudy, elle a fini par
obtenir la réouverture du dossier de la disparition
de son mari. Aux bons soins de deux juges d'instruction, Roger
Le Loire et Marie-Paule Moracchini.
Début
2000, ils s'apprêtaient à refermer sur un non-lieu
ce dossier sensible, "convaincus" par la thèse
du "suicide". Roger Le Loire connaît bien
Djibouti. Il a longuement instruit un attentat antifrançais
commis en 1990 dans ce port africain, contre le "Café
de Paris" (un enfant tué, quinze blessés).
Le juge avait renoncé à remonter jusqu'au probable
commanditaire : Ismaël Omar Guelleh, alors chef de cabinet
du président Hassan Gouled, et déjà l'homme
fort du régime.
Ce spécialiste
des coups tordus est devenu chef de l'État en 1999,
avec la bénédiction de Jacques Chirac. En déplacement
à Djibouti pour l'affaire Borrel, le juge Le Loire
n'a rencontré, écrit-il, aucun témoin
susceptible d'éclairer sa lanterne. Mais il a accepté
l'invitation d'Omar Guelleh à un repas dans son palais.
Fin 1998, le même Guelleh s'était empressé
d'intégrer dans son équipe Mahdi Ahmed Abdillahi,
qui venait d'être condamné à la prison
à vie par la justice française pour l'attentat
du Café de Paris...
Quant
à la juge Moracchini, elle est suroccupée :
elle poursuit inlassablement son collègue Albert Lévy.
Elle est allée jusqu'à requérir une expertise
psychiatrique contre cet "halluciné" qui
a cru devoir s'opposer aux manigances provençales de
l'extrême-droite et de la mafia ! Elle suspecte Lévy
d'avoir transmis une information à un journaliste -
un crime abominable. Le Syndicat de la magistrature s'est
publiquement étonné du zèle de cette
juge " qui porte moins d'attention à d'autres
affaires ". Qui, par exemple, a égaré un
tome et demi de l'instruction sur la Scientologie. Et qui,
en l'occurrence, allait laisser sa collègue Élisabeth
Borrel à ses questions lancinantes.
Une journaliste
est venue perturber ce paisible exercice de la justice. Alexandrine
Bouilhet a recueilli dans Le Figaro (11/01) le témoignage
fort crédible de l'ancien adjoint à la sécurité
du président Gouled, Mohamed Saleh Alhoumekani, réfugié
en Belgique. Le jour de la découverte du corps de Bernard
Borrel, " cinq hommes, affirme-t-il, sont arrivés
en 4x4 à la présidence pour voir Omar Guelleh
" : le commandant de la gendarmerie, le chef des services
secrets, deux étrangers, et le terroriste Awalleh Guelleh
Assoweh, l'un des auteurs de l'attentat du Café de
Paris. Théoriquement emprisonné.
Permissionnaire
ou évadé, Assoweh apparaît comme l'homme
de main d'Omar Guelleh. Il rend compte à ce dernier
: " La mission est accomplie. Le juge fouineur a été
tué sans aucune trace ". Le futur Président
s'assure alors dans le détail de cet effacement des
traces. Selon Alhoumekani, l'un des deux étrangers
du 4x4 serait un homme d'affaires corse, et l'autre un terroriste
libanais.
Le témoignage
de l'officier djiboutien est corroboré par celui d'un
juge du même pays, exilé lui aussi. En poste
sur place au moment des faits, il a entendu le procureur général
s'exclamer : " Ça ne peut pas être un suicide
", et envisager l'ouverture d'une enquête avant
d'en être dissuadé par sa hiérarchie.
Ce revirement
serait intervenu après une démarche du chef
de la mission française de coopération, Jean-Jacques
Mouline, auprès du ministre djiboutien de la Justice.
Selon plusieurs témoins, le chef de mission se serait
exclamé : " C'est un suicide ! J'ai reçu
des instructions de Paris en ce sens ! ".
Marie-Paule
Moracchini et Roger Le Loire sont allés interroger
l'officier djiboutien réfugié en Belgique. Ils
ont lourdement insisté pour le faire revenir sur ses
déclarations à la presse, soulignant "
qu'il se mettait dans une situation de réel danger
compte tenu de la présence à Djibouti des mafias
libanaise et corse ". La pression fut si manifeste que
les avocats d'Élisabeth Borrel ont demandé le
dessaisissement des deux juges (cf. Le Nouvel Afrique-Asie,
07/97 ; Le Figaro, 31/01 et 03/02 ; Libération, 04/02).
En cette
affaire exemplaire, la justice croise les ergots de la Françafrique.
Elle aimerait se faire toute petite. Mais peut-être
est-ce pour elle l'occasion de grandir, au bénéfice
de la France et de l'Afrique ?
____________________
________________
18/12/01
DERNIERE MINUTE - MANIFESTATION DEVANT L'AMBASSADE DE DJIBOUTI
A PARIS CE SOIR
Nous
avons reçu ce communiqué en début d'après-midi
que nous publions immédiatement en espérant
que les Djiboutiens puissent en prendre connaissance rapidement.
L'ARDHD se joint à cet appel, qu'elle attendait depuis
quelque temps.
-----------
COMMUNIQUE
Le 18
décembre 1991, dans un quartier de la Capitale djiboutienne
habitée par les Afars, les forces de l'ordre et l'armée
djiboutienne ont massacré 59 personnes et ont blessé
une centaine.
Cet acte
barbare d'une extrême gravité qui a visé
des civils innocents, a été décidé
à la suite d'un revers de l'Armée Nationale
face au FAUD.
10 ans
après, ce crime odieux n'a jamais été
reconnu par le regime, les responsables de cette tuerie jouissent
d'une impunité totale.
Il est temps de faire toute la lumière sur ce crime
de guerre qui reste comme un abcès sur le chemin de
a paix et de la reconciliation.
L'Association
pour la Démocratie et le Développement
L'Observatoire pour le Respect des Droits Humains à
Djibouti,
L'Association des Femmes djiboutiennes en France
Le Comité des Femmes Djiboutiennes contre les Viols
et l'Impunité,
L'Association des réfugiés djiboutiens en France
:
Appelle
à une manifestation le Mardi 18 décembre 2001
à proximité de l'Ambassade de la République
de Djibouti à 17h30.
Pour :
- Honorer
la memoire des victimes
- Exiger une enquête Internationale sur Arhiba
- Traduire devant la justice les reponsables de ce massacre.
Contact
: A.D.D TEL/FAX 0243762031 ou 0663218277
Pour commémorer
le dixième anniversaire du massacre d'Arhiba du 18
décembre 1991, où 59 civils ont été
sauvagement assassinés par les forces de Sécurité
Djiboutiennes :
- L'Association
pour la Democratie et le Développement,
-
L'Observatoire pour le Respect des Droits Humains à
Djibouti,
-
L'Association des Femmes Djiboutiennes en France
-
Le Comité des Femmes Djiboutiennes Contre les Viols
et l'Impunité,
-
L'Association de réfugiés Djiboutiens
Vous invite
à participer à une manifestation pacifique :
Pour honorer
la mémoire des victimes,
Dénoncer
l'impunité dont jouissent les auteurs de cette tuerie
qui constitue un crime de guerre
Exiger
une enquête internationale sur Arhiba.
Le
Mardi 18 décembre 2001 à proximité de
l'Ambassade de la République de Djibouti. 26 rue Emile
Menier à Paris
Rassemblement
à 17h30 : Angle de la rue de Noisiel / rue Emile Menier.
Nous
vous remercions de venir nombreux et de confirmer votre participation
au 0143600053 ou 0663218277.
____________________
________________
18/12/07
: Fête de l'Aïd. IOG accorde des remises de peine
aux condamnés, mais aucune clémence pour les
officiers incarcérés illégalement et
sans jugement à Gabode, alors que le Général
Yacin est libre de ses mouvements.
Nous
espérions un geste de clémence en faveur de
ces prisonniers, mais il a la rancune trop tenace, cet IOG
!! Et surtout il a un sens très personnel des décisions
de justice qui semblent plutôt être guidées
par ses humeurs et par ses haines que rendues selon le Droit.
Les décisions de justice prise dans le Cabinet du Président
sont appliquées ensuite par des sbires qui se prétendent
des magistrats intègres. Et IOG voudrait nous faire
croire que Djibouti est un Etat de Droit !
Extrait
de l'ADI/DJIB/1564/167 MOTS
Décret présidentiel portant remise gracieuse
de peine à des détenus
DJIBOUTI
(ADI)- 15 décembre- A loccasion de la fête
de lAïd-El-Fitr, le Président de la République
de Djibouti M.Ismaïl Omar Guelleh a signé un décret
portant remise gracieuse de peine à des détenus.
Le décret
présidentiel rendu public samedi 15 décembre
et qui comporte sept articles permet ainsi une remise de peine
totale aux condamnés définitifs à
des peines privatives de liberté inférieure
ou égale à deux ans demprisonnement ferme
et ayant purgé le tiers de leurs peines.
Quant
aux détenus condamnés à des peines
privatives de libertés supérieurs à deux
ans et ayant accompli au moins le tiers de leur peine, ils
bénéficieront dune remise de peine de
6 mois par année restant à purger.
Le décret
présidentiel exclu du bénéfice de la
remise gracieuse de peine les trafiquants de drogue ou de
stupéfiants et les crimes de viol contre les mineurs
de moins de 16 ans.
ADI-
10H40 GMT- 15 DECEMBRE 2001
____________________
________________
17/12/01
COMMÉMORATION
DU 10eANNIVERSAIRE DU MASSACRE D'ARHIBA - JOURNÉE DE
DEUIL NATIONAL (Ali Dahan)
Ali Dahan, Ph.D.
Représentant permanent du Front pour
la Restauration de l'Unité et de la Démocratie-FRUD-originel
aux Amériques
Président des Partisans de la Paix dans la Justice
pour tous les Djiboutiens-PPJD-
C.P. 37073, Place Québec, Québec (Qc), G1R 5P5,
Canada
Cellulaire : 1-418-262-5924, Téléavertisseur
: 1-418-874-5518 Téléphone et télécopieur:
418-658-9244 -
Courriel: dahana_ca@yahoo.fr
18 DÉCEMBRE 1991- 18 DÉCEMBRE
2001
COMMÉMORATION DU 10eANNIVERSAIRE
DU MASSACRE D'ARHIBA
JOURNÉE DE DEUIL NATIONAL
" Une vie de sacrifice est le "Si la justice
disparaît, c'est chose
sommet suprême de l'art. Elle sans valeur que le fait
que des
est pleine d'une véritable joie." hommes vivent
sur terre."
Mahatma GANDHI Emmanuel KANT
LE TERRORISTE GUELLEH EST
NON
SEULEMENT RESPONSABLE DU MASSACRE
D'ARHIBA MAIS AUSSI DE PLUSIEURS AUTRES
MASSACRES ET ATTENTATS, IL A EU L'AIDE
DES DIRIGEANTS DES 3 FACTIONS DU FRUD
POUR MENER SES VICTIMES A L'ÉCHAFAUD.
18 DÉCEMBRE : JOURNÉE DE DEUIL NATIONAL
La Commémoration
du 10e anniversaire du Massacre d'Arhiba coïncide cette
année avec la 3e journée de la fête de
Aid-Al-Fitr qui marque la fin du mois béni du Ramadan.
Le massacre
du 18 décembre 1991 a fait presqu'une centaine de morts
et de disparus ainsi que plusieurs centaines de blessés
par balles.
Alors
que les musulmans du monde entier célèbre avec
joie cette importante fête musulmane, des milliers de
mères, de pères, épouses et enfants Djiboutiens
pleurent les leurs qui ont été massacrés
froidement par la horde du terroriste Ismael Omar Guelleh
a Arhiba mais aussi a Balbala, au Quartier no 7 (Carton),
a Ambouli, a Médého et pleurent ceux qu'on a
découverts dans les charniers des Trous des Italiens,
derrière le Théâtre du Saline, à
Démerjog, à la plage de Doralé, etc...
Pendant
ce temps, les dirigeants des pseudo-partis d'opposition qui
ont bâti le socle de la dictature de Guelleh-Batal ainsi
que ceux des trois factions du FRUD qui ont trahi l'espoir
légitime de notre peuple a la liberté et a la
démocratie vont parader au jardin du Palais présidentiel
et vont se bousculer pour être le plus près possible
du terroriste Guelleh comme ils l'ont fait en avril 2000 et
en juin 2001. Ce qui est plus révoltant dans tout cela
c'est le fait que quelques-uns parmi eux vont oser se plaindre
le lendemain de ne pas voir leurs photos et / ou leurs noms
dans les médias du dictateur : RTD, "La Nation",
etc... (voir les preuves
dans les journaux des pseudo-partis d'opposition du mois d'avril
2000 et après cette date).
Force
est de constater que le terrorisme d'État est encore
une réalité et que la persécution est
quotidienne à Djibouti-Ville et àAli-Sabieh,
malgré les signatures de plusieurs pseudo-accords de
paix dont le dernier fut signé le 12 mai 2001, le siège
militaire du Nord et du Sud-Ouest du pays ainsi que la répression
sont toujours monnaie courante.
A LUI
SEUL, LE TERRORISTE GUELLEH EST MOINS QUE
RIEN, C'EST POURQUOI IL FAUT AUSSI DÉMASQUER
SES ASSOCIÉS...
A lui
seul, le terroriste Guelleh est moins que rien. S'il a réussi
a devenir un monstre et qu'il a pu faire souffrir notre peuple
Djiboutien, c'est parce qu'il a l'appui et la connivence des
dirigeants des pseudo-partis de l'opposition et ceux des dirigeants
des 3 factions
du FRUD dont le dernier qui s'est joint à son gouvernement
est le caméléon Ismael Ibrahim Houmed. L'appui
des dits dirigeants à l'injustice et à la persécution
de notre peuple par Guelleh se monnaye par des avantages pécuniaires
mesquins : pécules, postes ministériels et autres
promesses telle que la participation au futur gouvernement
de ce tyran...
Il serait
insuffisant de s'attaquer au tyran Guelleh sans démasquer
ceux qui appuient son despotisme et ses crimes et qui lui
donnent une bonne image à l'extérieur du pays.
C'est justement ces derniers qui lui ouvrent grand la porte
pour qu'il puisse recevoir l'aide de la Communauté
internationale avec laquelle il commet les exactions les plus
abominables contre notre peuple pacifique et sans défense.
C'est
pour toutes ces raisons que les associés et les agents
de Guelleh veulent m'imposer la loi de l'Omerta...Leur comportement
n'a rien d'étonnant ! Cependant, ils doivent savoir
que par le passé, personne des anciens et nouveaux
dictateurs de Djibouti : MM. Ali Aref Bourhan, Hassan Gouled
Aptidon, Ahmed Dini Ahmed et Ismael Omar Guelleh n'ont pu
m'arrêter de dire la vérité et de défendre
notre pays. Ce n'est donc pas leurs petits rejetons minables
qui réussiront à m'imposer le silence devant
l'injustice.
LE TERRORISTE GUELLEH A CRÉÉE UN GOUVERNEMENT
FANTOCHE EN SOMALIE QUI SERT COMME ARRIÈRE-
BASE AUX ACTIVITÉS TERRORISTES DE SES BAILLEURS
DE FONDS
J'ai remarqué
aussi que les associés et les agents du terroriste
Guelleh ont paniqué depuis le dernier communiqué
des PPJD dans lequel j'ai démontré que Guelleh
a crée en août 2000 le GNT de la Somalie qui
sert comme base arrière aux activités terroristes
de ses bailleurs de fonds.
On sait
que le 9 octobre 2001, le premier ministre du GNT de la Somalie
avait été convoqué par Guelleh a Djibouti
pour recevoir les directives afin de se disculper de leurs
implications d'avoir hébergé et aidé
les terroristes en leur fournissant des camps d'entraînement
avant qu'il ne s'envole vers les États-Unis d'Amérique
pour rencontrer des fonctionnaires américains.
Malgré
le machiavélisme et la duplicité de Guelleh
et malgré les appels de M. Abdiqassim Salad Hassan,
Président du gouvernement fantoche de la Somalie de
vouloir "réfuter les allégations de la
présence de réseaux terroristes en Somalie",
le 13 décembre 2001, des hélicoptères
américains survolaient Mogadiscio.
Nous espérons
que les E.U.A. et leurs alliés de l'OTAN vont s'attaquer
à la racine du terrorisme dans la Corne de l'Afrique
en s'attaquant au principal responsable le terroriste Guelleh
qui a mis à feu et à sang la région depuis
les années 70 ainsi qu'au GNT de la Somalie qu'il a
créé.
15/12/01
A lire dans La Lettre de l'Océan Indien cette semaine
INTELLIGENCE
ONLINE - Edition française - 13/12/2001 TERRORISME - La prochaine cible de loffensive antiterroriste
Les services de renseignement britanniques et américains
sont à pied doeuvre à Nairobi et Addis
Abeba pour collecter des informations sur le principal allié
dAl-Qaeda dans la Corne de lAfrique: (...). [Total
: 241 Mots].
LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 15/12/2001
SOUDAN/FRANCE - Abdelbasit Badawi el-Sanosi
Le nouvel ambassadeur du Soudan en France, qui prendra ses
fonctions au début de l'an prochain, n'est pas un inconnu
dans ce pays. (...). [Total : 270 Mots].
LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 15/12/2001 CORNE DE L'AFRIQUE - Le retour de la question Afar
Plusieurs associations d'exilés Afar en Suède
vont remettre à l'ordre du jour la question de la place
de cette communauté dans la Corne de l'Afrique à
l'occasion d'une conférence à Uppsala (Suède),
le 19 décembre. (...). [Total : 309 Mots].
LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 15/12/2001
SOMALIE - En ligne de mire
Avec ses alliés européens, le gouvernement américain
va déployer un cordon sanitaire autour de la Somalie
avant d'y envisager d'éventuelles frappes antiterroristes.
(...). [Total : 621 Mots].
Note
de l'ARDHD : nous avons vraiment l'impression, au travers
des informations reçues, que les Américains
pourraient attaquer en Somalie, les positions tenues par de
possibles associations terroristes.
Et
Guelleh dans tout cela ? Il doit être un peu embarassé
notre génie de la Corne de l'Afrique. Il a soutenu
un soi-disant processus de paix en Somalie qui a abouti à
peu de choses. A-t-il pu couvrir des dirigeants d'associations
terroristes : cela est possible et méritera en tout
cas, d'être vérifié ..
Et
puis, toujours avec son amour de la politique à double
jeu, il vient d'apporter une aide logistique aux américains,
qui, reconnaissants, lui ont fait verser un petit paquet de
dollars par le FMI : environ 30 millions de Francs français
! C'est un acompte, mais ça permet de vivre pendant
quelques jours, même avec une famille aussi dispendieuse
que le clan Guelleh et consorts, n'est-ce pas ! (Nous n'avons
aucune information sur la banque étrangère ni
sur le compte, sur lequel IOG pourrait avoir fait transférer
le cadeau du FMI). Comment va-t-il expliquer cela à
ses protégés somaliens ?
Comment
va-t-il s'arranger pour essayer de nous expliquer que sa réussite
en Somalie est finalement un échec, mais que lui Le
Génie ne s'est pas trompé ?Cornélien
?
____________________
________________
15/12/01
Belgique / Bruxelles : appel pour manifester pour le dixième
anniversaire du massacre d'Arriba
FORUM
POUR LA DEMOCRATIE ET LA PAIX
Rue George moreau 184
1070 Bruxelles
Tél 0475/311/507
Ou 0476/342/583
Bruxelles,
04/11/2001
APPEL A LA MANIFESTATION
Nous portons
à la connaissance générale en ce mardi
18/12/2001, la COMMEMORATION du massacre d'Arhiba qui s'est
perpétré à Djibouti dans la journée
du 18/12/1991, et ayant causé 59 morts, 300 blessés
et 7 disparus. Cette journée de souvenir et de recueillement
aura lieu entre 14h et15h devant l'Ambassade de Djibouti Avenue
: FRANLIN ROOSEVELT 204.
De ce
fait, nous souhaitons
Que justice
soit rendue aux victimes de cette barbarie ;
Que les
coupables soient démasqués et traduits devant
les instances juridiques compétentes ;
Et enfin
que réparation soit faite aux familles des victimes.
Tant que
les commanditaires de ce carnage jouirons d'une totale impunité,
rien ne pourra effacer de nos mémoires cette Sombre
page de l'histoire de notre pays, et nous avons l'intime conviction
que les coupables répondrons un jour de leurs actes.
15/12/01
La "Justice assassinée" dans l'Affaire du
Juge Borrel et la Justice de la Justice.
"Pas
de sanction contre la Juge Morrachini" tel est le titre
paru dans la presse du vendredi 14 décembre 2001.
Le Conseil
Supérieur de la Magistrature (CSM) a refusé
hier de sanctionner Marie Paule Morrachini, juge d'instruction
à Paris, alors que l'ancienne Ministre de le Justice,
Élisabeth Guigou, avait demandé une sanction
disciplinaire pour "manque de rigueur" et "atteinte
à la crédibilité de sa fonction".
Le représentant
du Ministre, André Gariazzo, avait requis une "réprimande
avec inscription au dossier" lors de l'audience du 14
novembre dernier, c'est à dire la plus faible sanction
possible, avant le blâme, la déplacement, l'abaissement
d'échelon, le retrait des fonctions ou la révocation.
Madame
Morrachini était poursuivie pour "manque de rigueur"
et "atteinte à la crédibilité de
sa fonction"
Deux
faits lui étaient reprochés :
D'une
part, ne pas avoir fait de copie du dossier de la scientologie
qu'elle instruisait depuis 1993...... ce qui aurait permis
de le reconstituer après sa mystérieuse disparition
en 1998. Cette affaire a provoqué la condamnation de
l'État, donc indirectement de vous et moi, pour "faute
lourde" de la justice. D'autre part, la disparition constatée
en 2000, d'un dossier ouvert en 1989.... mettant en cause
des policiers et le neveu d'un magistrat parisien.
Pour l'affaire
de la scientologie, le CSM présidé par Yvan
Zakine, ancien président de la chambre de la cour de
cassation a évoqué le manque de moyens des juges
!!!!!!! Pour le second, il a estimé que l'enquête
produite par le Ministre de la Justice était insuffisante
pour étayer son accusation.
Sans commentaire,
je vous laisse "Juge"......................
Roger
Picon
____________________
________________
15/12/01
Devoir de mémoire à l'égard de MOHAMED
DJAMA ELABE et pour un "Autre Djibouti" plus humain,
plus juste.
Certains
d'entre vous savent qui je suis, mon nom est connu ; je le
pense respecté par ce que respectable dans mes engagements.
Il est toujours nécessaire d'avoir le courage de ses
intentions en "restant debout" face à l'adversité,
quelque pourrait être la difficulté de la tâche
que l'on s'est fixée.
Durant
plus de deux années, de 1987 à 1989, j'ai participé
aux activités du mouvement sportif djiboutien et plus
particulièrement à celles de la Fédération
Djiboutienne de Hand Ball comme Arbitre international.
J'ai consacré
quasiment tous mes loisirs parfois mes deniers au profit de
la jeunesse, je n'ai pas "capitalisé" sur
le dos des Djiboutiens respectant ainsi l'esprit de le coopération
française telle que l'avait souhaité le Général
de Gaulle en son temps.
J'adresse
un sincère et amical bonjour à tous ceux et
à toutes celles avec qui nous avons partagé
des instants inoubliables tels que la participation des équipes
nationales masculines et féminines aux Championnats
de Hand Ball de l'Afrique de l'Est à Nairobi en décembre
1988. Il serait trop long d'énumérer tous ces
instants, chacun se les remémorera à loisir
; la vie nous a éloigné mais le souvenir et
l'amitié partagée restent au fond de nos curs.
Sur le
plan politique j'avais à cette époque, comme
militaire français servant sur le territoire de la
République de Djibouti, une obligation de réserve
à laquelle je n'ai pas failli ; en aucun moment ou
de quelque manière que ce fut. Les rapports privilégiés,
la confiance et le respect mutuel que nous avons entretenus
avec mon regretté ami Mohamed Djama Elabé se
sont traduits en un engagement sans faille à ses cotés.
Cela fait cinq années que le Rassembleur, l'homme de
Cur nous a quittés pour rejoindre le paradis
d'Allah mais il est toujours présent dans nos pensées.
Comme
membre d'honneur du Parti du Renouveau Démocratique
(depuis janvier 1996), je remercie très sincèrement
son successeur Daher Ahmed Farah pour le Combat qu'il mène
avec abnégation à la tête du P.R.D pour
l'instauration d'une véritable démocratie à
Djibouti avec toutes les contraintes (le mot est faible) que
ne cesse de lui opposer le pouvoir en place et l'assure de
mon soutien.
En cette
période de fêtes de Noël et de Ramadan j'adresse
à toutes les familles djiboutiennes qui partagent nos
valeurs et fondent un espoir en un "Autre Djibouti"
plus humain, plus juste, à la famille de Mohamed Djama
ainsi qu'à ses amis qui lui sont restés fidèles,
l'expression ma compassion en mémoire de mon ami ainsi
que le "témoignage d'une volonté de paix"
à laquelle Mohamed Djama était très attaché.
Roger
Picon
Un Djiboutien de cur ____________________
________________
14/12/01
ARRIBA : dix ans cette semaine...
L'un
des crimes contre l'humanité parmi ceux qui sont attribués
à Guelleh.
____________________
________________
14/12/01
L'ARDHD souhaite une très bonne fête de l'Aïd
à tous les musulmans et en particulier à tous
les Djiboutiens.
Nous
adressons tous nos voeux à tous les musulmans et en
particulier à tous les Djiboutiens, à l'occasion
de la fête de l'Aïd qui marquera ce week end la
fin du Ramadan.
Nous
espérons que les gouvernants djiboutiens auront mis
à profit ce mois sacré pour réfléchir
à leurs actes et à leurs responsabilités
et qu'ils auront pris de bonnes résolutions pour mettre
un terme à la spoliation du peuple djiboutien.
Nous
espérons qu'IOG aura le courage de faire libérer
à cette occasion tous les prisonniers politiques qui
croupissent dans la sinistre prison de Gabode et nous l'attendons
sur ce point ...
____________________
________________
L'HOMME
OU LA FEMME
DE LA
SEMAINE.
Dans
cette rubrique nous signalons à l'opinion internationale,
celle ou celui qui s'est distingué(e)
- soit par son zèle pour soutenir la dictature,
- soit en violant les Droits de l'Homme : cruauté, tortures,
exécutions sommaires, emprisonnements arbitraires, viols,
assassinats, destruction de cheptels ou de point d'eau, destruction
d'écoles ou de centres de soins, etc. .
Auront-ils
à répondre un jour
de leurs actes
et de leurs crimes
devant un tribunal pénal international ?
LA
LIBERTÉ N° 35 -
Mme Hawa Ahmed YOUSSOUF Ministre
déléguée conjointement avec
M. Le Représentant de l'UNICEF
à Djibouti.
LA
LIBERTÉ N° 36 -
M Ibrahim Idriss DJIBRIL, Ministre
de la Justice, conjointement avec
M Mohamed Ali ABDOU, procureur
général de Djibouti (2ème nomination)
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 42 M.
Idriss Arnaoud Ali, Directeur
de Publication du Journal le Progrès, Président de
la Commission Permanente de l'Assemblée Nationale et Secrétaire
Général Adjoint du Parti RPP.
Les
principaux responsables
d'actes de torture
à Djibouti.
En
attendant que la justice pénale puisse instruire les plaintes
des victimes de mauvais traitements, de spoliation, de viols,
de torture et d'emprisonnement arbitraire (...), nous rappelons
à l'opinion publique internationale les noms des tortionnaires
qui ont été le plus souvent cités par les
victimes.
Certains
se seraient déjà réfugiés à
l'étranger (USA et Canada) sous de fausses identités,
mais ils sont placés sous surveillance, par les polices
locales.
L'Ordre
des
Brosses à Reluire
réunit les meilleurs chantres du régime dictatorial
Bulletin
n° 44 Mahdi Ahmed Abdilahi au grade de Cireur
de Pompes - Premier échelon
Bulletin
n° 45 Monsieur
Ali Abdi, Ministre
des Affaires Etrangères au grade d'hyène fonceuse
- Premier échelon
Monsieur
Johar, Ministre
du commerce au grade d'hyène repue - Premier échelon
Bulletin
n° B122 Mohamed
Ali Mohamed (dit DIG DIG), auteurde l'article "Pour
un peu plus de patriotisme"
(paru dans le journal La Nation N°91 du 12/11/01) au grade
de Léche-bottes avec mention spéciale.