La Nation - Hebdomadaire gouvernemental 22/04

Les mensonges à l'épreuve de la vérité

Une certaine presse française socialo-communiste continue de se faire l'écho des hallucinations enfantées, par des esprits égarés qui, dans leurs cauchemards peuplés de doubabs, se retrouvent dans des univers carcéraux imaginaires.

Et comme ils ont un ressentiment inexpliqué envers le pays qui les a vu naître, ils s'en prennent à Djibouti, qui selon eux serait une véritable dictature où même la liberté de respirer serait interdite.

Encouragés par des communistes français, épouseurs de toute cause, et qui n'ont jamais mis les pieds à Djibouti, ces gens-là, de leur exil parisien confortable, se sont enfermés dans une logique négationiste, en laquelle ils se sont trouvé une vocation. Selon ces "anges" les prisons djiboutiennes seraient remplies de vertueux défenseurs des Droits de l'Homme, injustement privés de liberté.

Ce tableau noirci à souhait fait sourire ceux qui connaissent ce pays paisible où chacun vaque à ses occupations librement.

L'opposition, qu'elle soit légale ou illégale (?) existe et s'exprime. Elle participe aux élections. Elle n'est ni inquiétée, ni intimidée. Elle exerce ses droits inaliénables tant que l'ordre public n'est pas troublé par des actions violentes (?).

Note de l'ARDHD :

Il ne nous apparaît pas nécessaire d'apporter un commentaire. Nous vous laissons le soin d'apprécier ce texte.

La Nation du 29 avril

"Mensonges et manipulations
...
A cet égard, le soutien que le Gouvernement français apporterait à des prisonniers djiboutiens, relève d'une ingérence flagrante et inacceptable dans nos affaires intérieures.
Faut-il rappeler que la France abrite, soutien et protège des criminels et des terroristes djiboutiens sur son sol ?
Et la France serait-elle devenue le refuge des terroristes ?
Comment pense-t-on avoir de bonnes relations franches et amicales dans ces conditions ?

Le Gouvernement français devrait donc faire un choix clair et
définitif : ou bien il continue à se faire complice des terroristes aux mains ensanglantées ou bien il choisit l'amitié de la majorité du peuple djiboutien ..."