24/01/02
Un poids deux mesures. De retour de Djibouti, voici mon témoignage.
(Lecteur)
Nous avons
vécu un système quasi-apartheid pendant 23 ans
et nous sommes traumatisés à vie, cette politique
est amplifiée par la crise économique et la
guerre du Nord depuis 10 ans. Les anciens courtisans appellent
ça, lintégrisme clanique. Nous avons un
système qui possède plusieurs vitesses à
la fois, et chaque vitesse correspond à une communauté
nationale, ses droits, mais aussi ses devoirs selon le théoricien
IOG, comme lancien régime Sud Africain.
La conduite
de cet engin tôt au tard est condamnée de tomber
en panne des idées politique, morale et religieuse.
Lobstination du dictateur est de maintenir la ségrégation,
le plus longtemps possible, au détriment du pays, bien
sûr laide de la France est indispensable à
sa pérennité au pouvoir. Un grand homme politique
française disait, la France na pas damis
mais n a que des intérêts économiques
et jajouterai sans états dâme et
stratégique, et je suis tout à fait daccord
avec lui mais sans oublier les êtres humains qui pourront
souffrir de cette stratégie ruineuse.
Pour combien
de temps encore, la France continuera à ignorer la
souffrance de la population civile, Le système IOG
est fondé sur un poids deux mesures. Il suffit observer
le traitement différent, entre les prisonniers politiques,
uniquement sur la base ethnique, certains sont libres dautres
croupissent encore dans la prison de Gabode. Ce régime
raciste est dirigé par un psychopathe, et les psychiatres
nauront pas beaucoup de difficultés à
lui administrer lenferment.
Dans cette
contexte électrique, chaque fois IOG mute ou limoge
un des ses sbires, ce dernier se réclame dun
homme de caractère, honnête, intègre et
pour finir sa conversion, contre la politique de ségrégation
IOG.
Cest
le cas de M. Osman Idris ancien Ministre de transport mute
par IOG au palais Présidentielle, lors dernier remaniement
ministériel. Il préside, un petit groupe fanatique
ferme les restes du pays appelle Ad aadag (le noyau dur ou
dur de dur) à tel point il est archaïque son groupe
est fer de lance des idées de refus à la cohabitation
fraternelle avec les Afars et bien sûr les autres. M.
Osman Idris est raciste, dangereux, malhonnête au même
titre que les autres sbires IOG comme Yacin Elmi Bouh..
Quant
à Hassan Madob (Hassan le noir), connaissez-vous le
nombre de personnes « Djiboutiens, somaliennes, Ethiopiens
et peut être le juge Borrel » qui sont morts entre
ses mains ? Qui livre ou pas, la justice doit être passe
pour tous ?
W.D.
____________________
Haut de page ________________
24/01/02
A propos de la décentralisation ou de l'autonomie
(Lecteur)
Ce n'est
qu'après les accords avec le FRUD-Armée, pour
la première fois dans la littérature politique
djiboutienne et plus précisément dans le programme
du gouvernement, le concept de "décentralisation"
est apparue .
Ce faisant,
le FRUD redéfinissait la totalité des rapports
que le pouvoir politique devait entretenir avec la société,
en donnant la primauté aux droits individuels et collectifs
des djiboutiennes et des djiboutiens, et proposait alors la
notion de " décentralisation régionale
" comme cadre global devant régir l'exercice des
droits et des devoirs, et en particulier la participation,
à tous les niveaux, des citoyennes et des citoyens
à la
gestion démocratique des affaires du pays . Mais, il
convient de le préciser, le projet du FRUD concernait
non pas une région particulière mais Djibouti
toute entière.
Ajoutons
que le concept de décentralisation avancé par
le FRUD ne représentait en aucune façon une
singularité ou une curiosité à l'intérieur
du programme politique. Il est au contraire au coeur du concept
de " démocratie décentralisatrice ",
et s'inscrit donc pleinement dans la philosophie et les objectifs
majeurs que le parti s'est donné : mettre fin à
la dictature et instaurer un régime démocratique.
Le projet
d'autonomie que certains agitent depuis Bruxelles ne procède
nullement de la même démarche. Il en constitue
au contraire l'exacte négation, dans la forme comme
dans le fond..
La démarche de l'ambassadeur de Djibouti à Bruxelles
M. Moussa CHEHEM ne s'explique que par la mégalomanie
d'un acteur désarçonné qui veut attirer
sur lui les feux de la rampe en occupant le créneau
libre et spectaculaire du projet autonomiste, avec la bénédiction
et le soutien d'une partie du gouvernement avec laquelle il
a des affinités idéologiques régionalistes.
Comment
par ailleurs aller vers l'autonomie sans une consultation
préalable de la population, des partis politiques,
des élus, des intellectuels, des acteurs économiques,
du milieu associatif, etc., tant au niveau régional
qu'au niveau national ? Comment aller vers l'autonomie sans
des études préalables de faisabilité
et de viabilité, sans un large mouvement d'adhésion,
de communion, de soutien et d'accompagnement, sans la
comparaison et la confrontation avec d'autres scénarios
tout aussi envisageables à l'échelle nationale
ou même africaine ?
Comment
débattre sérieusement d'autonomie ou de quoi
que ce soit à Djibouti alors que la population est
soumise à une intolérable pression sociale,
que le pays est toujours dans l'impasse sur le plan politique,
alors que la couverture médiatique est quasiment monopolisée
par le pouvoir et ses relais ?
On impose,
une fois de plus, de faux débats et de fausses perspectives
à la population pour la détourner des vrais
problèmes et des vraies solutions.
A l'échelle
régionale comme sur le plan national, le pouvoir a
toujours eu intérêt à encourager les courants
extrémistes et les intégrismes de toutes sortes
afin de les opposer les uns aux autres, de les neutraliser
les uns par les autres, et d'empêcher ainsi l'émergence
et l'organisation d'une véritable force populaire capable
d'imposer le changement.
Dans cette
gestion de la société par les extrêmes,
notre Ambassadeur de Bruxelles n'est rien d'autre qu'un des
leviers régionaux de la politique du régime.
____________________
Haut de page ________________
24/01/02
: Le double langage d'IOG / Maintien d'un Ambassadeur soupçonné
d'avoir des affinités avec les talibans et grandes
annonces verbales en faveur de la lutte contre le terrorisme
... (Lecteur)
Bonjour,
le 27 décembre dernier le Ministre de la Justice M.
Ismaïl Ibrahim avait remis un rapport de la lutte contre
le terrorisme et informer la communauté internationale
les actions et mesures entreprise par Djibouti dans le cadre
de la lutte contre le terrorisme.
Rappelons
que le Président Bush avait apprécié
l'initiative de la République
de Djibouti et de son Chef d'État.
Mais il
est temps que l'État djiboutien fasse d'abord le ménage
chez lui, étant donné que l'Ambassadeur qui
avait envoyé, avant les attentats, des Djiboutiens
en Afghanistan via le Pakistan est toujours en poste à
Addis Abeba et que probablement, il restera impuni.
On peut
donc se demander quand l'Etat mettra véritablement,
en uvre, son système de lutte contre le terrorisme
.
D.D.D
Hollland
____________________
Haut de page ________________
24/01/02
Alerte face à un nouveau scandale : IOG veut vendre
Internet.dj pour des profits privés et familiaux.
(Plusieurs messages d'alerte des lecteurs)
Pendant
ce temps, Internet est de nouveau accessible en Somalie (selon
l'ADI)
ADI/DJIB/1691/307
MOTS
LInternet de
nouveau disponible à Mogadiscio
NAIROBI, 23 JANVIER 2002 La compagnie
somalienne des télécoms, plus connue sous le
nom de lolympique télécommunications,
ré exploite lInternet à Mogadiscio après
deux mois dabsence, a confié à lagence
IRIN en haut responsable de la compagnie.
«
Nous avons commencé à fournir des services Internet
on-line depuis hier, a dit mercredi, M. Abdoullahi Mohamoud
Housayn, le Directeur adjoint de Télécoms
Somalie.
Les services
Internet avaient été interrompus à Mogadiscio
en Novembre dernier, à la suite de la fermeture de
la compagnie AL BARAKA, une des organisation en charge
du service.
Le groupe
AL BARAKAT est une des 62 organisations et individus
que les autorités américaines avaient accusé
dêtre impliqués dans des réseaux
terroristes et dont les avoir dans le monde avaient été
gelés le 7 Novembre dernier (..... )
_________________________________
24/01/02
Adieu l'Intenet à Djibouti, notre patrimoine national
(Lecteur)
Une affaire
grave, fini l'internet à Djibouti. Le nom de domain
.DJ de notre pays sera vendu par une société
Djibouto-coréenne.
Jusqu'où
durera la folie du gouvernement ?
Adieu
l'Internet à Djibouti, la seule richesse et notre liberté
vendues.
Arrêtons
les bêtises et disons NON au pirates.
L.A.L.
_________________________________
24/01/02
Bon courage M Kamil Mohamed dans votre combat !
(Lecteur)
Bientôt
la vente du .DJ, nom de domain de Djibouti par le Ministre
djiboutien des Telecoms à une société
fictive coréenne créée pour l'occasion
par la femme du Président et par son protégé
à Djibouti Telecom Mahamoud Issa qui sont associés.
Heureusement
que le Directeur de Djibouti Telecom M/ KAMIL MOHAMED n' pas
cédé jusqu'ici et il a le soutien de nombreux
français et des internautes Djiboutiens qui refusent
la vente de ce patrimoire national.
Peut-être
que le ministre des Telecoms aura raison du Directeur ?
Nous disons
bon courage à M. Kamil Mohamed
_________________________________
24/01/02
Le directeur de Djibouti Telecom pourra-t-il résister
au lobby familial présidentiel et protéger le
patrimoine des Djiboutiens contre la rapacité ?
(Lecteur)
La
négociation est rude entre Djibouti Telecom et des
coréens qui veulent acheter un patrimoire national
qui le .DJ le nom de domain de notre pays.
Cette
vente ne doit rélever que de la compétence du
gouvernement Djibourien et l'argent réçu doit
être versé au gouvernement djiboutien et non
à Djibouti Telecom car le nom de domain n'appartient
pas à Djibouti Telecom mais à la nation Djiboutienne.
Actuellement
3 personnes tendent de s'approprier le .DJ en utilisant l'intermédiaire
d'une société coréenne fictive crée
pour la cause et veulent que Directeur de Djibouti Telecom
signe et soit piégé dans cette affaire mais
M. KAMIL MOHAMED réfuse jusqu'à présent
car c'est un homme honnête et juste mais il est difficile
de se battre comme 3 personnes que sont :
24/01/02
Le coin de l'humour

Dialogue
(presque) imaginaire...
Le
facteur : M. Guelleh ?
IOG : Oui, qui est-ce ?
Le facteur : Un paquet pour vous !
IOG : De la part de qui ?
Le facteur : Hum, Ca vient du FMI
IOG : Déposez-le
! Mais sur mon compte
à Genève / UBS !
____________________
Haut de page ________________
24/01/02
Autonomie ou régionalisation, le débat est lancé.
(Lecteur)
Jeudi
dernier à la réunion informelle de notre ambassadeur
à Bruxelles avec la jeunesse djiboutienne en exil dans
ce pays, Son excellence M. M.M. CHEHEM a lancé l'idée
d'une ré-fondation nationale postulant la régionalisation
de la nation.
L'ambassadeur
a cité comme modèle l'Espagne, pays organisé
sous forme de régions disposant d'une large autonomie
et géré par des gouvernements régionaux
élus directement au suffrage universel. Le concept
de régionalisation proposé par Son Excellence;
l'idée a été également avancée
par Mr Ahmed DINI lors de son séjour à Bruxelles,
intervient dans un contexte où le conseil des ministres
a analysé, à la faveur de sa dernière
réunion, l'idée d'«autonomisation»
de l'administration locale et propose une « décentralisation
» où 5 collectivités régionales
seront créées dont Arta, Dikhil, Tadjourah,
Obock et Ali-Sabieh.
Les évènements
de la guerre du FRUD ne sont sans doute pas étrangers
à ce débat qui n'en est qu'à son début.
L'idée
de l'Etat-nation et celle d'une centralisation, inspirées
du modèle français ont peut-être atteint
leurs limites. Sans doute est-il dépassé et
Djibouti devrait-elle être organisée administrativement
et politiquement d'une manière qui réponde aux
attentes de sa population.
Si l'on
ne connaît pas dans le détail le contenu que
l'Ambassadeur entend donner à cette régionalisation,
qu'il estime n'être « ni une scission ni une indépendance
», mais simplement de « nature à asseoir
les fondements d'un Etat républicain démocratique
et social ».
Ce concept
avancé par notre Ambassadeur comme solution à
la crise que vit Djibouti a le mérite d'être
pour la première fois exposé publiquement. Nul
doute qu'elle va susciter un large débat dans le pays.
Autonomie
ou régionalisation ne peuvent faire l'impasse sur une
question essentielle : la nature de l'Etat central et celle
sous-jacente de la République.
Une chose
est sûre, une régionalisation, une autonomie
ou un fédéralisme qui laisserait en l'état
la question de la nature de l'Etat et du pouvoir central risque
de conduire le pays directement à la partition. Car,
comment peut-on faire cohabiter une région gouvernée
par des démocrates avec d'autres aux mains des clanico-conservateurs
sans, au préalable, régler la question de la
séparation de l'ethnie du politique, matrice indispensable
à tout projet de réorganisation politico-administrative
de la république de DJIBOUTI.
____________________
Haut de page ________________
23/01/02
Memorandum d'ALI Dahan : le bourbier somalien, les faux réfugiés
au Canada et les crimes de Guelleh

Ali
Dahan, Ph.D.
Président des Partisans de la Paix dans la Justice
pour tous les Djiboutiens - PPJD -
C.P. 37073, Place Québec, Québec (Qc), G1R 5P5,
Canada
Cellulaire : 1-418-262-5924, Tél. et fax : 1-418-658-9244
Courriel: dahana_ca@yahoo.fr - Courriel alternatif : a.dahan@oricom.ca
MÉMORANDUM
LE
BOURBIER SOMALIEN DU MONSTRE DE DJIBOUTI ISMAEL OMAR GUELLEH
LE TERRORISTE ISMAEL OMAR GUELLEH, PRÉSIDENT AUTO-
PROCLAMÉ DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI ET LES
ACTIVITÉS ILLÉGALES DES FAUX RÉFUGIÉS
MEMBRES DE SA 5e COLONNE: LES INTÉGRISTES TRIBAUX ET
ETHNIQUES QUI SE FONT PASSER POUR DES RÉFUGIÉS
AUX E.U.A., AU CANADA ET DEPUIS
UN CERTAIN TEMPS EN EUROPE

"SI LA JUSTICE DISPARAIT, C'EST CHOSE SANS VALEUR
QUE LE FAIT QUE DES HOMMES VIVENT SUR TERRE." EMMANUEL
KANT
LE
SILENCE DEVANT L'INJUSTICE L'INDIFFÉRENCE DES UNS ET
LA CONNIVENCE DES AUTRES DEVANT LE CHANTAGE ET LES MENACES
D'ADOLPHE HITLER
ONT FACILITÉ LA SIGNATURE DU TRAITÉ DE MUNICH
EN SEPTEMBRE 1938 CE QUI LUI A LAISSÉ LES MAINS LIBRES
POUR DÉCLENCHER LA 2e GUERRE MONDIALE EN SEPTEMBRE
1939 SUITE A LAQUELLE 36 MILLIONS D'ETRES HUMAINS ONT PERDU
LA VIE DONT 6 MILLIONS DE JUIFS.
AUJOURD'HUI
SI LES FORCES DE LA PAIX ET DE LA JUSTICE CEDENT DEVANT LE
CHANTAGE ET LES MENACES DES MALFAITEURS, DES TERRORISTES ET
DES DICTATEURS DE TOUT ACABIT, QUEL SORT RÉSERVERONS-NOUS
AUX
GÉNÉRATIONS FUTURES ?
C'EST POURQUOI JE CROIS QU'IL EST DE NOTRE DEVOIR DE DÉNONCER
ET FAIRE TRADUIRE EN JUSTICE LES DICTATEURS TEL QUE M. ISMAEL
OMAR GUELLEH ET SES COMPLICES MM.AHMED DINI AHMED, ISMAEL
IBRAHIM HOUMED...
AVANT MEME QUE LEURS ACTES NE COMMENCENT A GERMER ET QU'IL
N'Y AIT PLUS DE POSSIBILITÉ DE RÉPARER LEURS
DÉGATS ET SAUVER NOTRE PEUPLE DJIBOUTIEN.
L'IMPUNITÉ, C'EST TERMINÉ...
Ali
Dahan,Ph.D.
Québec, le 21 janvier 2002
Le
bourbier somalien
APRES
L'ÉCHEC LAMENTABLE DE GUELLEH A POUVOIR SAUVER LE GOUVERNEMENT
FANTOCHE SOMALIEN LORS DU 9e SOMMET DE L'IGAD, VOILA QU'AUJOURD'HUI
IL APPRÉHENDE LA LIGUE ARABE ET "MENACE"
LES
E.U.A. CONTRE UNE INTERVENTION EN SOMALIE
On sait que le gouvernement fantoche de la Somalie créé
a Arta (Djibouti) en aout 2000 par le terroriste Ismael Omar
Guelleh, président auto-proclamé de la République
de Djibouti était pointé du doigt par les E.U.
A. et la Communauté internationale depuis le début
de la guerre contre le régime des Talibans en Afghanistan
et contre les réseaux terroristes internationaux d'Al-Qaida.
C'est pourquoi depuis ce temps, la Communauté internationale
a décidé de controler de plus pres les activités
criminelles du dit gouverne-ment fantoche.
Cette nouvelle donne a affolé le tyran Guelleh qui
a peur de voir la Communauté internationale déloger
ses protégés en Somalie.
Il sait pertinemment que si ses protégés ne
sont plus"au pouvoir", la Communauté internationale
découvrira ses implications aux cotés des réseaux
terroristes internationaux ainsi que la prove-nance de l'aide
qu'il reçoit des pays de puissances moyennes pour financer
ses activités terroristes.
A l'approche
imminente des frappes militaires de la part de la Communauté
internationale contre les bases du réseau terroriste
en Somalie, Guelleh et ses protégés somaliens
ont mis les "bou-chées doubles" lors du 9e
Sommet des Chefs d'Etat et de Gouver-nement des pays membres
de l'Autorité Intergouvernementale pour le Développement
- IGAD- (Djibouti, Kenya, Erythrée, Éthiopie,
Ouganda, Soudan et"Somalie") qui a lieu du 10 au
11 janvier 2002, a Khartoum (Soudan). Lors du dit sommet a
Khartooum, Guelleh et Abdoukassim Salat Hassan, président
du gouvernement fantoche de la Somalie ont cru trouver une
"terre fertile" au Soudan pour mener une sale campagne
anti-américaine à travers leurs discours et
rencontres de coulisses. Cependant, leur machiavélisme
a échoué et le sommet appuyé par les
observateurs de la Communauté internationale ont décidé
autrement.
Leur
stratageme a subi un échec lamentable parce que l'IGAD
appuyé par le Secrétaire Général
de l'O.N.U. et les observateurs de la Communauté inter-nationale
qui étaient présents au dit sommet ont décidé
de la tenue de d'autres conférences pour la paix et
la réconciliation en Somalie. Lors des prochaines confé-rences,
toutes les composantes de la Nation somalienne et plus particulierement
la SOMALI RECONCILIATION AND RESTORA-TION COUNCIL (SRRC) qui
regroupe plusieurs mouvements d'oppo-sition somaliens, y seront
représentés.
Devant
l'échec de Guelleh a ne pouvoir imposer la "légitimité"
du gouvernement fantoche qu'il a créé pour la
Somalie, aujourd'hui, il a commencé a interpeller la
LIGUE ARABE par la voix de son porte-parole et Ministre de
la Communication, Rifki Abdoulkader Abdourahim dit Bamakhrama
pour "faire pression" contre les E.U.A. afin de
laisser le gouvernement fantoche de la Somalie continuer ses
activités terroristes. Rifki, l'homme a tout faire
de Guelleh a donné une interview le dimanche, 20 janvier
2002 a l'équipe de la télévision des
Emirats Arabes Unis (qui séjourne actuellement a Djibouti)
et qui a été reproduit aujourd'hui même
le 21 janvier 2002 par l'Agence Djiboutienne d'Information
(ADI) de Guelleh ou "...il a souligné l'inquiétude
et la position de la République de Djibouti vis-a-vis
la menace de frappes militaires qui plane sur la Somalie,
un pays voisin et ami, qui est sans fonde-ment apparent, accusé
d'abriter des éléments appartenant au réseau
terroriste d'Al-Qaida".
Et le
Ministre du terroriste Guelleh ajoute également une
déclaration belliqueuse et "menaçante"
vis-a-vis les E.U.A. et la Communauté internationale
"...les conséquences d'une opération
s'avereront etre catastrophiques non seulement pour la Somalie
mais également pour toute la région"! Il
n'a pas manqué aussi de rappeler " ...que, compte
tenu que la Somalie est en tout état de cause un pays
arabe, la LIGUE ARABE EST APPELÉE A PRENDRE UNE POSITION
JUSTE ET FERME A CE SUJET ET DÉFENDRE LA CAUSE DE CE
PAYS MEMBRE AVANT QUE L'IRRÉPARABLE NE
SE PRODUISE" !
I- L'IMPLICATION D'ISMAEL
OMAR GUELLEH
DANS LES ACTIVITÉS TERRORISTES AU
NIVEAU INTERNATIONAL...EN SOMALIE
Il est
important de mentionner que Guelleh est le grand responsable
des détournements de fonds publics et de la violence
à Djibouti : tortures, viols, massacres des civils,
exécutions extra-judiciaires de ses opposants réels
et fictifs, mais aussi responsa-ble d'attentats terroristes
contre des étrangers. De plus, Guelleh utilise le GNT
de la Somalie pour servir a héberger et a aider les
réseaux terroristes pour le compte de ses bailleurs
de fonds des pays de puissances moyennes. Son objectif est
d'asservir le peuple djiboutien dans son ensemble et de continuer
son génocide contre les minorités ethniques
du pays tout en déstabilisant les pays voisins de la
région du Bassin de la Mer Rouge ( Erythrée,
Ethiopie, Kenya, Yémen, Somalie et surtout la Somaliland
).
ÉCHEC
DU NOUVEAU GOUVERNEMENT FANTOCHE
DE LA SOMALIE CRÉÉ PAR LE TYRAN GUELLEH A
ARTA (DJIBOUTI) EN AOUT 2000
On se souvient qu'en juillet 1991, Guelleh le "gourou"
des terro-ristes de la Corne de l'Afrique et son oncle Hassan
Gouled avaient imposé au peuple frère de la
Somalie un gouvernement fantoche dirigé par un hôtelier
inculte du nom de Ali Mahdi dont l'épouse était
la conseillère juridique du dictateur Mohamed Syad
Barreh (J'ai rencontré a quelques reprises l'hôtelier
et son épouse lorsque j'étais Chargé
d'Affaires, a.i. de l'ambassade de Djibouti en Somalie et
j'ai constaté que Madame avait beaucoup plus de panache
que M. Mahdi qui avait été "parachuté"
comme prési-dent de la Somalie par Guelleh lors de
la conférence de juillet 1991 à Djibouti). Malgré
l'échec du dit gouvernement, Guelleh n'a pas hésité
a imposer en août 2000, un autre gouvernement fanto-che
en Somalie, dirigé cette fois-ci, par un ex-ministre
sanguinaire de l'ex-gouvernement du dictateur Barreh.
Ce gouvernement
fantoche n'a même pas réussi à imposer
son autorité sur la capitale Mogadiscio. Le soulèvement
populaire en Somalie l'a mis en déroute. Devant la
persistance du drame soma- lien, la Communauté internationale
s'est mise a nouveau à se mobiliser pour créer
un nouveau gouvernement représentatif en Somalie. C'est
ainsi que le Kenya et l'Ethiopie, 2 autres pays limitrophes
de la Somalie et membres de l'IGAD commencèrent à
organiser des conférences de paix et de réconciliation
entre toutes les composantes de la Somalie et plus particulièrement
avec la participation du grand regroupement de l'opposition
appelé la SOMALI RECONCILIATION AND RESTORATION COUNCIL
(SRRC) dont fait partie le jeune dirigeant Houssein Mohamed
Farah ainsi que M. Mohamed Hassan Nour, président du
RRA qui ont refusé à maintes reprises les invitations
du dictateur Guelleh à Djibouti pour participer à
un nouveau pseudo-accord inter-somalien.
Etant
donné les refus répétés de ces
derniers et de tous les autres opposants au dit gouvernement
fantoche de participer à des conférences dirigées
seulement par le terroriste Guelleh, celui-ci commença
à s'attaquer aux dits opposants et aux 2 pays limitrophes
de la Somalie qui ont organisé des conférences
de paix. Guelleh visita le 16 décembre 2001 la plus
grande caserne militaire de la République de Djibouti,
le Camp Cheikh Osman où se trouvent les unités
de défense équipées d'artilleries lourdes
et de véhicules blindés qui est rattaché
directement à la Présidence de la République
et qui est commandé par le Général Zakaria
du même clan tribal que lui et déclara dans un
discours qu'il anéan-tirait toutes les forces somaliennes
qui se sont opposées au gou-vernement terroriste qu'il
a créé en Somalie.
LE
PRÉSIDENT AUTO-PROCLAMÉ DE DJIBOUTI
PRONONÇAIT UN DISCOURS DE PANIQUE ET
DE DÉSESPOIR LORS DU 9e SOMMET DE L'IGAD
QUI SE TENAIT A KHARTOUM (SOUDAN) DU
10 AU 11 JANVIER 2002
Le 10
janvier 2002, le terrroriste Guelleh prononçait un
discours de panique et de désespoir pour sauver le
gouvernement fantoche qu'il a créé en Somalie
parce que les pays de l'IGAD et ceux de la Communauté
internationale ne veulent plus le reconnaître. Dans
son discours, il a essayé en vain d'interpeller les
observa-teurs de la Communauté internationale présents
au dit sommet ( E.U.A., Union Européenne, Ligue des
Etats Arabes ... ) ainsi que le conseiller spécial
du secrétaire général de l'O.N.U. pour
la Somalie.
On sait
que plusieurs de ceux qui ont participé à la
pseudo-conférence d'Arta (Djibouti) ne voulaient plus
continuer a faire partie de la mascarade de Guelleh et voulaient
rentrer chez eux. Mais, les sbires de Guelleh les empêchèrent
de quitter Djibouti et ils étaient par conséquent
comme des otages... Malgré cela, Guelleh prétendit
dans son discours que des personnalités tel que M.
Mohamed Hassan Nour, président du RRS était
présent à la pseudo-conférence d'Arta.
Il a cependant omis volontairement de préciser que
M. Nour et plusieurs autres se sont battus ardem-ment pour
pouvoir sortir de Djibouti avant la fin de cette pseudo-conférence.
Aussi
paradoxal que cela puisse paraître, Guelleh la terreur
reconnaît que le GNT de la Somalie qu'il a créé
à Arta (Djibouti) était composé seulement
des 5 clans majeurs somaliens et de quelques individus de
la diaspora somalienne et qu'il s'est plutôt
intéressé à "la multiplication des
efforts externes". Tout cela prouve que Guelleh la terreur
avait ignoré les premiers intéressés
au conflit somalien, c'est-à-dire les représentants
légitimes qui se trouvent en Somalie même. Il
admet de plus d'une voix à peine voilée que
le dit gouvernement fantoche n'a pas réussi à
restau-rer ni l'ordre, ni la sécurité et encore
moins la paix tant attendue par le peuple frère de
la Somalie. Et malgré tout cela, il s'est attaqué
sans ménagement aux dirigeants du plus grand regrou-pement
des mouvements d'opposition somaliens, la SRRC, allant même
jusqu'à stigmatiser "leur intransigeance"
face au gouver-nement fantoche qu'il a créé
en Somalie, alors que la Communau-té internationale
la trouve pourtant justifiée.
Pour camoufler
ses échecs répétés d'imposer des
gouvernements fantoches au peuple somalien depuis juillet
1991, Guelleh s'est attaqué à la Communauté
internationale en ces termes : " La responsabilité
de l'échec de la Communauté internationale nous
est ainsi dévolue ..."
Non satisfait
de s'attaquer aux dirigeants de la SRRC et aux deux pays limitrophes,
Guelleh la terreur a attaqué la plupart des dirigeants
des pays membres de l'IGAD qui "ont mis en cause la légitimité"
du gouvernement fantoche de la Somalie qu'il a créé
et déclara que leurs "initiatives sont contradictoires"
! Nous nous demandons par rapport à quoi leurs initiatives
sont-elles contra-dictoires ? Il a osé cependant demander
à l'ensemble des pays de l'IGAD de "concerter
seulement le gouvernement" fantoche qu'il a lui-même
créé à Arta (Djibouti)... Il leur a presque
ordonné de "n'avoir aucun lien" avec les
mouvements représentatifs soma-liens qui s'opposent
au dit gouvernement fantoche. Il demanda donc aux pays membres
de l'IGAD et à la Communauté interna-tionale
de ne pas "commettre l'erreur tragique de leur (la RSSC)
offrir l'opportunité de se poser comme interlocuteur
dans la recherche de la paix. Le faire délibérément
serait s'en rendre complices "! Avec le cynisme qu'on
lui connaît, celui-ci a osé demander aux dirigeants
des pays de l'IGAD de "rompre les rapports d'assistance
politique, monétaire ou matérielle" aux
mouvements représentatifs somaliens, de les "frapper
d'interdiction de voyager librement dans les pays de la région
et de les paralyser jusqu'à la fin de la période
de transition du GNT qui doit se terminer dans une année
et demie".
En d'autres
mots, le tyran Guelleh demande à l'IGAD et à
la Communauté internationale de paralyser la lutte
légitime que mene les mouve-ments d'opposition somaliens
contre le gouver-gouvernement terroriste qu'il a lui-même
créé, comme il l'a fait lui-même par le
passé a Djibouti vis-à-vis des vrais mouvements
d'opposition djiboutiens.
Guelleh
la terreur ose prononcer ce qui suit : " Il faut mettre
fin à la culture de l'impunité et les (dirigeants
de la RSSC) traduire devant un tribunal pour crimes contre
l'humanité".
Le peuple
djiboutien, lui, se demande quand le terroriste Guelleh sera
traduit devant le Tribunal Pénal International pour
crimes contre l'humanité pour avoir commis des massa-cres
collectifs et génocides contre ses propres citoyens
et pour avoir participé à des réseaux
terroristes interna-tionaux et assassiné des citoyens
étrangers ?
N'est-il
pas temps pour que la Communauté internatio-nale aide
le peuple Djiboutien à se débarrasser du régime
tyrannique de Guelleh-Batal et initie une conférence
sur Djibouti (comme celle qui a eu lieu a Bonn, en Allemagne
sur l'Afghanistan) où il y aurait la participation
de toutes les composantes de la nation djiboutienne et plus
particulièrement des minorités ethniques dont
les droits les plus élémentaires sont quotidiennement
bafoués comme cela a été le cas pour
des minorités ethniques en Afghanistan: les AZARAS...
LE
TERRORISME GUELLEH A RENDU L'ASCEN-
SEUR AUX MERCENAIRES ISSUS DU RÉGIME
DÉCHU DU DICTATEUR BARREH DE LA SOMALIE
En créant
le gouvernement fantoche en Somalie en août 2000 dont
les dirigeants sont issus du régime déchu du
dictateur Mohamed Syiad Barreh, le terroriste Guelleh a rendu
l'ascenseur aux mercenaires issus du dit régime. En
effet, en novembre 1991 lors du soulèvement populaire
a Djibouti,dirigé par le FRUD origi-nel, le dictateur
Guelleh y avait intégré dans notre armée
natio-nale ces dits mercenaires. Sous sa direction, ces mercenaires
ont commis les crimes les plus abominables contre la population
civile de notre pays qui n'avait même pas de pierres
pour pouvoir se défendre. Plusieurs de ces mercenaires
se trouvent encore au sein de notre armée nationale
et commettent toujours des crimes contre les civils innocents
sous les ordres de Guelleh. Par ses gestes, Guelleh la terreur
viole une fois de plus les institutions de notre pays ainsi
que "sa constitution" qu'il a "modulée"
d'une façon incomplete, à la hâte en 1992.
Aujourd'hui, Guelleh se sert du gouvernement fantoche de la
Somalie pour abriter et aider les réseaux internationaux
pour le compte de ses bailleurs de fonds issus des puissances
moyennes.
LES
CHEFS D'ETAT ET DE GOUVERNEMENT DE
L'IGAD RECOMMANDENT LA TENUE D'AUTRES
CONFÉRENCES POUR LA RÉCONCILIATION ET LA
PAIX EN SOMALIE (AU KENYA, D'ICI 2 MOIS)...
Les dirigeants
des pays de l'IGAD ainsi que les observateurs de la Communauté
internationale et le représentant de l'O.N.U. ont mis
en échec le stratagème du tyran Guelleh qui
consiste à isoler les mouvements d'opposition somaliens
et ont par conséquent décidé la tenue
de conférences pour la réconciliation et la
paix en Somalie, au Kenya d'ici 2 mois où tous les
acteurs politiques de la Somalie et en particulier ceux du
SRRC y participeront. Cette décision confirme l'échec
lamentable de Guelleh et du gouverne-ment fantoche somalien
qu'il a crée à Arta.
...
ET LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'O.N.U.
APPUIE LA
TENUE DES DITES CONFÉRENCES INTER-SOMALIENNES
M. Kofi
Annan, Secrétaire général de l'O.N.U.
a fait parvenir le 10 janvier par l'intermédiaire de
son conseiller spécial pour la Somalie, M. Mohamed
Sahnoun (que j'ai eu l'honneur de rencontrer en 1994) un message
aux Chefs d'Etat et de Gouvernement participant au 9e sommet
de l'IGAD dans lequel il écrivait " qu'aucune
bonne volonté, soutien et assistance de la part de
l'IGAD ou de la Communauté internationale ne pourraient
aboutir à la paix en Somalie ". Il soutient
expressément que c'est "...seulement les dirigeants
somaliens qui pourront arriver à un règlement
au conflit somalien et que par conséquent ils doivent
réussir à surmonter leurs différences
en mettant les intérêts du peuple somalien d'abord
et avant tout". Le fait que les pays de l'IGAD et
le Secré-taire Général de l'O.N.U. demandent
la tenue de d'autres confé-rences où tous les
dirigeants politiques de la Somalie seront représentés,
cela est en soi une reconnaissance implicite de l'échec
du gouvernement fantoche de la Somalie.
Une délégation de l'O.N.U. se trouve actuellement
au sud de la Somalie pour évaluer l'aide qu'elle va
apporter au peuple frère de la Somalie victime de désastres
humains et naturels. Sachant que le gouvernement fantoche
de la Somalie est aussi corrompu
que Guelleh qui l'a créé, nous sommes convaincus
que si l'aide humanitaire est donnée au GNT de la Somalie,
celui-ci ne l'acheminera jamais aux victimes. C'est pourquoi
nous exhortons la Communauté internationale d'acheminer
son aide directement
à la population civile par le biais de ses propres
représentants en Somalie et par les ONG venant de l'extérieur.
Les PPJD
encouragent toute solution qui sortira le peuple somalien
de la situation chaotique créée par le terroriste
Guelleh et les différents gouvernements fantoches qu'il
n'a cessé de créer et de manipuler depuis juillet
1991. Nous appuyons les démarches de tous pays et organisations
qui aideront à instaurer la stabilité et la
paix en Somalie. Cependant, nous exhortons tout futur gouver-nement
somalien à respecter les aspirations légitimes
d'auto-détermination du peuple du Somaliland qui a
été le premier à former un gouvernement
indépendant en territoire somalien.
LE
TERRORISTE GUELLEH MÈNE UNE CAMPA-
GNE DE DÉNIGREMENT VIS-À-VIS LES E.U.A.
ET ORGANISE DES MANIFESTATIONS ANTI-
AMÉRICAINES PAR GROUPES INTERPOSÉS
Peu après l'attentat lâche des terroristes contre
les E.U.A. et à partir du moment où les Etats-Unis
ont ciblé le gouvernement fantoche de la Somalie comme
étant le paradis pour les terroristes du réseau
Al-Qaïda d'Oussama Ben Laden, Guelleh n'a cessé
de mener une campagne de dénigrement des E.U.A. par
l'intermédiaire des médias djiboutiens, de son
ambassadeur à Washington, Ottawa et New-York et par
l'intermédiaire du gouvernement fantoche qu'il a créé
en Somalie. De plus, il organisait des manifestations anti-américaines
devant l'ambassade des E.U.A. à Djibouti par l'intermédiaire
de ses hommes de main et aussi dans quelques quartiers qu'occupe
le gouvernement fantoche de la Somalie à Mogadiscio.
Le 13
décembre 2001, l'Agence Djiboutienne de Presse (ADI)
de Guelleh titrait pompeusement que de "... vastes
attaques de kamikazes ont frappé LES HAUTS LIEUX DE
l'HÉGÉMONIE AMÉRICAINES à New-York
et à Washington... " Jeudi, le 3 janvier 2002,
le journal gouvernemental "La Nation" dans son numéro
1 énonce:
"Nous
devons faire comme les Américains. Pour eux, "l'American
interest" prime sur toutes les autres considérations.
Nous devons penser, nous aussi, de " la Djibouti interest
". Pour Guelleh et ses disciples la Djbouti interest
signifie qu'il faudrait perpétuer le règne du
gouvernement "voyou " qu'il dirige à Djibouti
et par ricochet en Somalie et de continuer a aider et héberger
les terroristes de tout acabit. On note aussi dans l'éditorial
du même journal, au no 5 du 17 janvier 2002 : "
... nous nous sentons mal à l'aise quand nous voyons
des journalistes apostropher le président somalien
Abdoukassim Salat Hassan sur la question du terrorisme dans
son pays ". Autrement dit, Guelleh la terreur voudrait
que la Communauté internationale regarde passivement
l'implantation
de réseaux terroristes en Somalie sans lui demander
des comptes.
M. Matthew
Green du East African Standard (Nairobi) a écrit de
Khartoum le 15 janvier 2002 que : "L'administration béjaune
de la Somalie accuse les E.U.A. de mener contre lui une campagne
de propagande pour décrire ce pays comme un paradis
pour les
associés terroristes d'Oussama Ben Laden...".
Et pourtant, il est vrai que cette administration béjaune
de la Somalie héberge et aide les terroristes pour
le compte des puissances moyennes dont Guelleh la terreur
est le représentant suprême.
Devant
le revers essuyé à Khartoum, Abdoukassim s'est
envolé en Libye pour quémander des armes et
d'autres aides logistiques.
Sur le
chemin du retour, comme à l'habitude, il s'est rendu
le 19 janvier 2002 à Djibouti pour rendre des comptes
à son mentor Guelleh... Et le lendemain, il fustigeait
les médias qui accusaient sa bande de transformer la
Somalie en paradis pour le terrorisme international... , celui-ci
rendit visite à l'ambassadeur des E.U.A. à Djibouti.
Toujours est-il que ses démarches ne pourront jamais
tromper les gouvernements avisés de crimes de Abdikassim
et de son mentor Guelleh.
LA
PEUR DU TYRAN GUELLEH D'ÊTRE JUGÉ...
APRES LA DÉBANDADE DE SES ASSOCIÉS
TERRORISTES
En faisant
un petit survol du discours de Guelleh au 9e sommet de l'IGAD,
on peut facilement déduire qu'il est hanté par
le sort que la Communauté internationale a réservé
au gouvernement des Talibans en Afghanistan d'où son
insistance a vouloir perpé-tuer le règne du
gouvernement fantoche en Somalie encore une année et
demie, terme qu'il a lui-même imposé. Guelleh
sait très bien que si aujourd'hui un gouvernement d'union
nationale est constitué en Somalie, celui-ci pourra
facilement démasquer ses implications et celles de
ses protégés dans les activités criminelles
perpétrées de connivence avec les réseaux
terroristes internationaux.
Lorsque
Guelleh vit les premiers signes de défaite de quelques
réseaux terroristes dans le monde qui ont abouti aussi
à la débandade des dirigeants terroristes ainsi
que la défaite du gouvernement fantoche de la Somalie
qu'il a créé, il a été pris
de panique. Il sait que son tour viendra prochainement et
qu'il sera condamné par des tribunaux européens
à cause des plaintes qui ont été déposées
contre lui pour différents assassinats qu'il a commis
par l'intermédiaire de ses hommes de main contre des
Djiboutiens ainsi que pour l'assassinat à Djibouti
du Juge français Borrel. Pour camoufler sa peur, Guelleh
a été obligé à nouveau de jouer
à Djibouti au chef d'orchestre de sa fameuse CHAISE
MUSICALE qui n'a cessé d'attirer les prostitués
politiques et les bandits qui se font passer pour des dirigeants
des pseudo-partis d'opposition et des dirigeants des 3 différentes
factions du FRUD.
II - LES CRIMES ABOMINABLES
PERPÉTRÉS
PAR GUELLEH LA TERREUR CONTRE
LE PEUPLE DJIBOUTIEN
Ci-dessous
un aperçu des crimes du monstre Guelleh.
MAIS QUI EST CE MONSTRE
D'ISMAEL OMAR GUELLEH ?
La nature
criminelle du despote Guelleh n'est plus à démontrer
à Djibouti car notre peuple connaît bien sa cruauté,
ses violations des droits humains et ses attentats terroristes
contre des civils innocents. A présent, il faut que
l'opinion publique internationale et les gouvernements des
pays épris de liberté et de justice sachent
avec quel monstre ils sont entrain de faire coalition...
Dès
son accession "de jure" à la magistrature
suprême de Djibouti, Guelleh la terreur a libéré
son homme de main, le terroriste Tunisien Adwani, auteur de
l'attentat du Bar l'Historil de Djibouti-Ville en 1987. Les
parents djiboutiens et français des nombreuses victimes
des attentats horribles comme ceux de Loyada et du Bar Le
Palmier en Zinc de 1977 s'en souviennent encore du rôle
joué par Guelleh dans l'orchestration des dits attentats
ainsi que de celui du Café de Paris à Djibouti
en 1990 ou le tyran fit torturer arbitrairement des centaines
de nos compatriotes Gadaboursi. Malgré sa duplicité
machiavélique dans les relations internationales, on
peut dire sans se tromper que le terroriste Guelleh incarne
à la fois la lâcheté et la méchanceté
réunies de Noriéga, Idi Amin, Mobutu, Duvalier
et Ceaucescu ...
AVANT
L'INDÉPENDANCE DE DJIBOUTI, GUELLEH
ÉTAIT UN ESPION A LA CAGOULE (CHÉDARLÉ)
ET
UN RACKETTEUR DE PROSTITUÉES.
Il est
né et a grandi à Diré-Dawa en Ethiopie,
il devient dans les années 70 un petit "askari"
(Chawich) de la police coloniale à Djibouti. Il espionnait
les indépendantistes et les identifiait aux postes
de la police et de la gendarmerie en portant une cagoule sur
sa tête, d'où son surnom somalien de "chédarlé".
Suite à ses traîtrises, plusieurs patriotes ont
succombé à la torture et sous les balles des
occupants coloniaux durant la lutte de libération nationale.
Il était aussi un racketteur de prostituées
et se faisait payer "des salaires supplémentaires"
à partir des revenus de chacune des prostituées
des bars de Djibouti-Ville et par la suite par celles qui
passaient par l'aéroport de Djibouti où il était
stationné. Le moins que l'on puisse dire est que ses
extorsions étaient semblables à celles d'Al-Capone
aux E.U.A.
APRES
L'INDÉPENDANCE GUELLEH DEVIENT UN
TORTIONNAIRE SADIQUE.
Lorsqu'il
était chef de la police parallele -SDS- et chef de
Cabinet de son oncle le président de la République
de Djibouti, Hassan Gouled, il participait et /ou supervisait
des séances de tortures infligées aux partisans
de la liberté et de la démocratie. Parmi les
formes de tortures qu'il aimait pratiquer sur ses victimes
on peut mentionner les sévices sexuels en introduisant
des bouteilles de coca-cola dans le rectum de ses victimes,
les viols, les décharges électriques aux organes
génitaux, le supplice de la noyade, l'eau de javel
dans l'estomac, la balançoire et les coups de bar de
fer sous les pieds des victimes. Plusieurs centaines de personnes
ont succombé suite aux tortures et plusieurs milliers
y conservent toujours de très graves séquelles
psychologiques et physiques.
Pendant
que les victimes croupissaient dans les sinistres geôles,
Guelleh la terreur et Moumin Bahdon Farah, ex-Ministre de
l'Intérieur puis ex-Ministre de la Justice profitaient
de leur absence pour abuser de leurs épouses, soeurs,
filles.
GUELLEH
ASSASSINE SES OPPOSANTS POLITIQUES
DJIBOUTIENS ET MEME LES ÉTRANGERS.
Plusieurs
opposants politiques djiboutiens ont été assassinés
d'une façon ou d'une autre par les hommes de main de
Guelleh. Parmi ses victimes djiboutiennes figurent Janaleh,
un des héros de l'indépendance de Djibouti ainsi
qu' Ibrahim Harbi, Dr Saleh, Cheikho, Elabe.
Quant
aux étrangers assassinés, il y a plusieurs Éthiopiens
d'origi-ne oromos, des Italiens, des Français comme
le petit Olivier Nervet (6 ans) et le Juge Borrel dont le
dossier est entre les mains du Juge français Parlos
qui nous espérons pourra questionner Guelleh lors de
son prochain déplacement à Djibouti et cela
en présence des avocats de la veuve du Juge Borrel.
GUELLEH
EST UN DÉLINQUANT QUI S'EST FAIT
CONSTRUIRE UN PALAIS A HARAMOUS (DJIBOUTI)
AVEC LES DENIERS PUBLICS ET MALGRÉ CELA,
IL SE FAIT PAYER UN LOYER MENSUEL
POUR LE DIT PALAIS
Abusant de ses pouvoirs, il s'est permis de prendre et de
se marier avec l'épouse de son rival politique Me Abdallah
Mohamed Kamil, ex-Premier Ministre, ex-Ministre de la Défense
et ex-Ministre des Affaires étrangères et de
la Coopération internationale, chose
qu'aucune religion n'admet : ni le judaïsme, ni le christianisme,
ni l'islam, ni aucune autre. Les mauvaises langues de l'entourage
de M. Ahmed Dini prétendent qu'à présent,
Me Kamil est satisfait de son sort et qu'actuellement il chercherait
désespérément à servir Guelleh,
le "kidnappeur" de son ex-épouse.
Après
son accession à la magistrature suprême de Djibouti,
Guelleh s'est fait construire un palais à Haramous
(Djibouti), des routes pour accéder à ce palais
isolé ainsi qu'un quai pour pouvoir s'échapper
en cas d'un soulèvement populaire.
Malgré
que le dit palais a été construit à partir
des deniers publics, Guelleh se fait payer par la Trésorerie
du gouvernement de Djibouti un loyer mensuel de 1 million
de francs djiboutiens ( 177 FD = 1 $ américain ) qu'il
récupère au nom de son épouse, Mme Khadra
Mahamoud Haid...
VIOLATION
DE L'IMMUNITÉ PARLEMENTAIRE
PAR LE TYRAN GUELLEH DEPUIS LES
ANNÉES 70 ET CE JUSQU'AUJOURD'HUI...
Depuis les années 70 et alors qu'il était
encore Chef de la SDS-Police parallèle, le tyran Guelleh
a toujours outrepassé l'immunité parlementaire
des membres de l'Assemblée Nationale de Dji-bouti.
Plusieurs d'entre eux ont été torturés
ou interpelés dans les années 70 et 80 et des
dizaines demeurèrent en résidence surveillée
dans les années 90. Et là, je parle évidemment
des parlementaires qui ont tenu tête au tyran Guelleh
comme ce fut le cas de feu Mohamed Djama Elabé, incorruptible
ministre et feu Mohamed Ahmed Issa dit Cheiko, infatigable
combattant mais aussi MM. Souleiman Farah Lodon et Mohamed
Adabo Kako qui ont eu le courage de démissionner non
seulement de leur poste de parlementaire mais aussi de leur
poste ministériel (ministre de l'éducation pour
le premier et ministre de la santé pour le second)
afin de dénoncer l'arbitraire et l'injustice.
Aujourd'hui,
Guelleh essaie de nous faire croire qu'il a rétabli
les droits des parlementaires mais en réalité,
il ne fait que ramener dans les rangs seulement ses anciens
amis parlementaires qui ont partagé et appuyé
ses crimes et qui ont toujours accepté de faire partie
de sa chaise musicale... sinon comment expliquer le fait que
le salaire intégral du parlementaire docteur ABATTE
EBO ADOU est toujours retenu par le régime dictatorial
de Djibouti ?
GUELLEH
EST L'ENNEMI DU MOUVEMENT
SYNDICAL DJIBOUTIEN
Guelleh la terreur a écrit sur son Agence Djiboutienne
d'Informa-tion (ADI) que le mouvement syndical à Djibouti
a vu le jour à partir des années 80 ! Je trouve
tout à fait normal qu'il pense ainsi et cela pour 2
raisons : La première est que lorsque le mouvement
syndical djiboutien faisait trembler le régime colonial
dans les années 50, Guelleh était encore dans
son pays natal l'Éthiopie, cependant lorsqu'il s'est
installé définitivement a Djibouti, il était
de son devoir d'apprendre l'histoire du mouvement syndical
et de la libération nationale de Djibouti. La seconde
est qu'en parlant de syndicalisme à Djibouti, il faisait
évidemment référence au clona-ge des
syndicats fantoches qu'il a créés dans les années
80 afin de s'opposer aux vrais syndicats représentatifs
créés par les diffé-rents corps de métiers
à Djibouti.
Quant
à moi, je me souviens des nombreuses descentes policières
dans notre maison pour arrêter mon frère aîné,
syndicaliste déjà dans les années 50
que j'ai d'ailleurs visité à maintes reprises
en prison dans des cellules truffées de micro... (
à cause de mon jeune âge, j'étais toujours
accompagné de mon père). Depuis les années
60 et jusqu'à l'indépendance, Mohamed Dahan
était aussi secrétaire général
du syndicat du FLCS. Il me semble aussi que le dictateur Guelleh
a la mémoire très courte pour qu'il ne se souvienne
pas des coups de maître que feu Mohamed Dahan lui a
infligé avant son deuxième exil à la
fin des années 80. Mais le peuple Djiboutien lui se
souvient encore des manifestations que Dahan organisait et
les banderoles qui étaient restées hissées
par ses sympathisants à Djibouti-Ville, plusieurs semaines
après son 2e exil forcé.
Guelleh
qui n'a cessé d'opprimer les vrais dirigeants syndicaux
et qui a créé des syndicats fantoches à
sa solde devrait savoir que le mouvement syndical à
Djibouti a pris forme peu avant le début de la 2e guerre
mondiale et a été l'un des plus structurés
d'Afrique. C'est pourquoi, le mouvement syndical djiboutien
a été reconnu des les années 50 par l'OIT,
l'ECOSOC, le FSM et plus tard par la CISL ainsi que par plusieurs
organisations syndicales internationales, régionales
et inter-régionales de par le monde. Les dirigeants
syndicaux étaient reçus durant la lutte de libéra-tion
nationale par les plus grands dirigeants des pays du monde.
Que sait
Guelleh la terreur du rôle joué par Harbi, Absieh,
Ardeyeh, Dahan et les autres dans la création et le
développement du mouvement syndical à Djibouti?
Guelleh
la terreur n'a cessé de mener une oppression sauvage
contre les enseignants qui réclament leurs salaires
parce qu'ils ne sont pas payés depuis plusieurs mois
et qu'ils exigent de meilleures conditions de travail afin
d'assurer une meilleure éducation à notre jeunesse,
a osé déclarer à la télévision
djiboutienne le 9 avril 2001 que: " Les enseignants
étaient tous des mercenaires "...
Aujourd'hui
encore, les vrais mouvements syndicaux lui tiennent tête
malgré les retenues de salaire, les licenciements,
les tortu-res, les menaces et les brimades de plusieurs dirigeants
syndicaux des services de l'enseignement, des transports en
commun etc...
GUELLEH
EST AUSSI UN TRAFIQUANT DE DROGUES,
ET D'ORGANES HUMAINS, IL EST IMPLIQUÉ AUSSI
DANS LA CONTREFAÇON DE DOLLARS AMÉRICAINS
Depuis
les années 80, Guelleh faisait le trafic de drogues
entre Djibouti-Paris-New-York. C'est pourquoi il a été
surnommé Noriéga, du nom de l'ex-dictateur du
Panama, grand trafiquant de drogues et depuis le début
du nouveau millénaire est impliqué dans le trafic
d'organes d'enfants djiboutiens disparus et plus particulièrement
à Balbala, ( banlieue de Djibouti-Ville ). Il a été
impliqué plus d'une fois dans des scandales de contrefaçon
de dollars américains dans les années 80.
LE
CHAROGNARD GUELLEH NE POURRA
JAMAIS SE TRANSFORMER EN AGNEAU...
En 1989
lorsque j'ai été éloigné pour
des raisons politiques du pays par Moumin Bahdon Farah, Ministres
des Affaires Etrangeres et de la Coopération ( MAÉC
) sous prétexte d'être nommé au poste
de diplomate aux E.U.A., quelques pseudo-révolutionnaires
et tribalistes disaient dans un lieu de rencontre à
Djibouti appelé "MABRAZ" "...maintenant
que Dahan est nommé Diplomate aux E.U.A. il se taira
et ne défendra plus les opprimés du régime
de Guelleh..." Dans cet endroit, il y avait la présence
d'un sage compatriote, originaire d'Obock qui s'est levé
pour leur répondre (en mon absence) " ... Messieurs,
vous dites des conneries, Dahan est un lion et un lion ne
se transformera jamais en singe... Vous verrez, il défendra
toujours les droits des sans voix..."
En avril 90 lorsque Moumin Bahdon Farah, MAÉC était
en visite à Washington, je lui avais dit que son gouvernement
et plus particulièrement le Chef de la sécurité
de l'époque Ismael Omar Guelleh étaient entrain
de persécuter notre peuple, de plus le pantin de ce
dernier, l'ambassadeur Olhayé est en train de ternir
la réputation de notre pays en agissant de façon
illégale dans ce pays hôte. Bahdon me répondit
: "Oublie la défense des droits de l'homme
car tu as tout ce qu'il te faut ici y compris l'éducation
pour tes enfants dans les meilleures écoles privées
et laisse cet imbécile d'Olhayé faire ce qu'il
veut...". Je lui ai répondu, vous verrez comment
je vais réagir a vos manigances...Et il me rétorqua
: "Tu ne peux rien faire avec la situation que tu
as et de toute façon, tu es à l'étranger."Cependant,
lorsqu'il a vu ma démission sur la dépêche
du téléscripteur de l'agence de presse de son
ministère, il a regretté son arrogance...
En avril
2000, lorsque je suis retourné a Djibouti après
10 ans d'exil, des témoins (dont 2 avocats et un juge)
m'ont dit que le tyran Guelleh ne pourra jamais te pardonner
parce qu'après ta démission en 1990, il a perdu
pendant quelques années plusieurs dizaines de millions
de dollars qu'il recevait en forme d'aide...
Tout cela
nous mène à conclure qu'un homme ne peut du
jour au lendemain changer de cap. Guelleh qui durant plus
d'un quart de siècle a violé les libertés
fondamentales de notre peuple et qui a mis depuis les années
70 à feu et à sang le pays, a été
durant tout ce temps un charognard et une sangsue par conséquent
il ne peut pas du jour au lendemain se transformer en agneau...
Le fait d'avoir placé dans son gouvernement quelques
prostitués politiques qui préten-dent être
aujourd'hui des dirigeants des pseudo-partis politiques alors
qu'ils ont déjà servi dans son gouvernement
dictatorial comme ministres et très hauts gradés
de l'armée et quelques dirigeants des 3 différentes
factions du FRUD qui se sont transfor-més plutôt
comme des bandits agissant pour leurs intérêts
mesquins et qui se sont toujours foutus éperdument
des intérets suprêmes du peuple djiboutien...
ce cirque ne veut pas dire que Guelleh la terreur a changé
de cap puisqu'aujourd'hui encore, il continue ses persécutions
contre notre nation djiboutienne en général
et les minorités ethniques en particulier.
Fait
a Québec, le 21 janvier 2002
Ali
Dahan, Ph.D.
Courriel principal : a.dahan@oricom.ca
Courriel alternatif : dahana_ca@yahoo.fr
____________________
Haut de page ________________
23/01/02
Guelleh pris au piège de ses contradictions vis à
vis du problème somalien, n'arrive plus à sortir
du double jeu où il s'est enfermé. Après
l'Ambassadeur, il envoie le porte-parole du Gouvernement et
Ministre au 'casse-pipe'.
Note
de l'ARDHD : Lisez aussi l'article ci-après, concernant
la Marine allemande ... Les Allemands ne sont pas venus pour
plaisanter ni uniquement pour le plaisire dépenser
de l'argent dans les bars djiboutiens. Ils ont probablement
une mission militaire à effectuer en Somalie. Qui les
accueille ? Guelleh !
En
même temps qui critique (à titre préventif)
des actions militaires 'injustifiées' contre la Somalie
: Guelleh, le même.
La
cohérence n'est pas la force du Génie de la
Corne. Il ferait mieux de se limiter à son terrain
favori : la fourberie et la trahison. Il est plus à
l'aise dans ce domaine qu'il maîtrise bien mieux.
Djibouti, à linstar
du monde arabe, sinquiète au sujet dune
éventuelle intervention militaire des forces coalisées
en Somalie ; intervention quelle ne souhaite point,
selon Rifki Abdoulkader Bamakhrama, Porte-parole du gouvernement
djiboutien
DJIBOUTI (ADI)- 21 janvier- Le Porte-parole du gouvernement
djiboutien, également ministre de la Communication
et de la Culture, chargé des Postes et Télécommunications,
M. Rifki Abdoulkader Bamakhrama, a souligné linquiétude
et la position de la République de Djibouti vis-à-vis
de la menace de frappes militaires qui plane sur la Somalie,
un pays voisin et ami, qui est sans fondement apparent accusé
dabriter des éléments appartenant au réseau
terroriste d « Al-Qaïda. »
La déclaration
du Porte-parole du gouvernement djiboutien intervient à
loccasion dun entretien quil a accordé
dimanche 20 janvier, à une équipe de la Télévision
des Emirats Arabes Unis, de passage dans la capitale pour
effectuer une série dinterviews et de reportages
sur la vie politique, culturelle, et socio-économique
en République de Djibouti.
Au cours
de cette interview, le ministre Rifki Abdoulkader Bamakhrama
a déclaré en substance qu « à
linstar de lensemble du monde arabe, Djibouti
sinquiète du sort réservé à
ce propos à ce pays qui en est membre » et exhorte
« la communauté internationale, et les Etats-Unis
en particulier qui sont à la tête de la coalition,
afin de rechercher la vérité et de comprendre
la réalité sur le terrain avant dentreprendre
toute opération quelle quelle soit. » Opération
dont les conséquences savèreront être
« catastrophiques non seulement pour la somalie mais
également pour toute la région. »
Le ministre
djiboutien na pas manqué de rappeler que, compte
tenu que la Somalie est en tout état de cause un pays
arabe, « la Ligue arabe est appelée à
prendre une position juste et ferme à ce sujet et défendre
la cause de ce pays membre avant que lirréparable
ne se produise. »
Irréparable
dans le sens où « la Somalie ne pourrait faire
face à des frappes denvergure », quant
on sait quavec toutes les pressions quelle subit,
ce pays déjà meurtri par des décennies
de guerres et de chaos économiques, tente avec les
moyens de bord et sans laide de la Communauté
Internationale, de prendre les choses en main, renaissant
de ses cendres et aspirant à la paix et à un
mieux être essentiel à sa survie.
Sans oublier
en outre, que les autorités légitimes de la
Somalie, pour prouver leur bonne foi, ont dores et déjà
prêté main forte, ouvert leurs portes et invité
tout acteur dans la lutte internationale contre le terrorisme
à opérer sur son sol en prévision de
toute éventuelle incursion déléments
terroristes sur son territoire, comme le précise M.
Rifki Abdoulkader Bamakhrama.
Et Djibouti,
de par sa position stratégique et limitrophe à
ce pays, est mieux placée et mieux renseignée
sur toutes éventuelles actions visant à nuire
aux intérêts de la région et de la communauté
des nations en général.
Ceci également
se confirme par la présence militaire française
depuis plus de 150 ans sur le territoire djiboutien ainsi
que plus récemment celui dun contingent de larmée
allemande chargé conjointement avec les forces françaises
et djiboutiennes de la surveillance de la région et
des côtes de la Mer-Rouge, dans le cadre de la campagne
internationale de lutte contre le terrorisme, comme il en
ressort de la conclusion du ministre djiboutien.
Léquipe
de la télévision des Emirats Arabes-Unis, composée
de deux membres, un journaliste, Jamal Demloj et un caméraman,
Haidar Lutfi, séjourne à Djibouti du 17 au 25
janvier prochain, selon les premières prévisions,
pour réaliser des interviews avec des personnalités
politiques, et des documentaires à caractère
socio-économique et régional.
Cette
équipe avait auparavant rencontré le ministre
des Affaires Etrangères et de la Coopération
Internationale, chargé des Relations avec le Parlement,
M. Ali Abdi Farah.
ADI- 14H
20 GMT- 21 JANVIER 2002
____________________
Haut de page ________________
23/01/02
La Marine allemande entame son déploiement à
Djibouti dans le cadre de la lutte internationale contre le
terrorisme
Note
de l'ARDHD : L'ADI confirme, ce que nous avions déjà
dit, que la Marine allemande se déploie à Djibouti.
La Marine française, puissante et très présente,
n'était-elle pas suffisante pour accomplir la mission
?
Par ailleurs, il est intéressant de lire la dernière
phrase sur les retombées économiques positives.
Alors, combien pour Guelleh ?
DJIBOUTI
(ADI)- 22 janvier- Dans le cadre de la lutte internationale
contre le terrorisme et suite à laccord cadre
paraphé le 10 janvier dernier entre lAllemagne
et la République de Djibouti, « Mémorandum
dentente » provisoire réglementant les
modalités de déploiement dun fort contingent
de la Marine allemande sur le territoire national, une première
troupe de 103 soldats est arrivée lundi soir dans la
capitale.
Ce détachement
militaire allemand, composée dune vingtaine dofficiers
puis de sous-officiers et hommes du rang, est placée
sous le commandement du capitaine de vaisseau George Von Maltzan
secondé par le capitaine de Frégate Gerhard
Beirer en sa qualité de commandant de la base logistique
à Djibouti et faisant office également dofficier
de liaison entre les autorités militaires et civiles
djiboutiennes et le commandement de la Marine allemande.
Une première
troupe faisant partie dun important contingent denviron
1 800 soldats de la Marine allemande dont limminent
déploiement sur le territoire djiboutien est prévu,
selon toute évidence, très prochainement, avec
une armada de frégates, patrouilleurs rapides et hélicoptères.
Dans la
pratique, le groupe tactique de la Marine allemande utilisera
Djibouti comme arrière base logistique où sétablira
en permanence vraisemblablement une unité denviron
200 personnes, dont le groupe héliporté pour
le transport et les sauvetages, un détachement médical,
un autre de sécurité, celui chargé de
la logistique ainsi quune cellule de presse.
Le gros
de la troupe effectuera par voie marine des missions de surveillance
le long des côtes de la mer-Rouge et reviendra périodiquement
par vagues sur la base logistique de Djibouti, pour ravitaillement,
entretiens et réparations si nécessaire, comme
lexplique le capitaine de vaisseau George Von Maltzan
qui tient à préciser que « la Marine allemande
nutilisera pas le territoire djiboutien pour mener des
opérations à vrai dire. »
Le capitaine
Von Maltzan indique dans la même foulée qu
« une clause de laccord cadre signé avec
les autorités djiboutiennes permet également
de conclure dautres accords avec les institutions sur
place, notamment le Port Autonome de Djibouti et lAéroport
international du pays. »
Il mentionne
enfin que laccord est dune durée de 12
mois ou plus précisément « jusquà
la fin de lannée 2002 », tout en ajoutant
que le Parlement allemand statuera sur cette affaire dans
le cas dun prolongement de la durée détablissement
de la Marine allemande dans cette région du monde.
Les éléments
de la Marine allemande qui sétabliront en permanence
sur le sol djiboutien, par rapport à ceux qui seront
en mer, éliront domicile dans les hôtels de la
capitale et ne seront apparemment pas cantonnés dans
une base militaire spécifique. Ce qui, vu cette optique,
présage en parallèle des retombées positives
sur léconomie djiboutienne.
ADI- 9H
25 GMT- 22 JANVIER 2002
____________________
Haut de page ________________
23/01/02
Cdt. Iftin dans l'affaire Borrel : Les dessous d'une manipulation
orchestrée. (Lecteur)
Etant un fidèle lecteur de votre site ( dont je souligne
en passant l'intêret en cette periode obscure imposée
au peuple Djiboutien) je voudrais à mon tour dénoncer
une opération insidieuse ménée de concert
par IOG et soutenue par la France.
Depuis
le début de ce médiatique dossier, beaucoup
de "temoignages" convergent pour dénoncer
l'implication du Cdt Iftin dans l'affaire Borel. Quels élements
concrets, a t-on pour appuyer ces dires?
Son témoignage "spontané" devant le
juge ? A part cela, je n'en vois pas d'autres...
Deux questions
découlent de ce constat.
Quelles
sont les raisons qui ont motivé son temoignage, quel
etait le contenu de celui ci et... avait-il le choix ? Je
voudrais attirer votre attention sur la situation plus que
critique du Cdt Iftin ( peut être detenteur de la vérité
sur l'affaire Borel) et ainsi vous faire entendre un autre
son de cloche.
Comment
expliqueriez vous qu'une personne présentant tous les
documents nécessaire pour l'obtention d'un visa s'en
voit refuser la délivrance ? La décision a-t-elle
été imposée au Consul par la personne
même qui l'a envoyé pour se renseigner ?
Cela ne
démontre-t-il pas, sans aucune ambiguïté,
qu' IOG veut garder le Cdt Iftin en otage pour éviter
des révélations qui pourraient détruire
le peu de credibilité qui lui reste.
____________________
Haut de page ________________
20/01/02
Nos frères d'hier sont- ils devenus
les ennemis du régime ? (Lecteur)
Le parrain
IOG et ses associés veulent créer une tension
avec nos frères de la Somaliland. Pour une affaire
de cigarettes rentrées illégalement en territoire
Somalillandais.
Toutes
les mesures de guerre sont mises en place : recrutement de
mercenaires proches du régime, leur entraînement,
leur encadrement qui est assuré par l'Armée
nationale Djiboutienne (AND). Ce régime, d'une autre
époque, veut utiliser comme d'habitude les innocents
Djiboutiens pour défendre ses propres intérêts
financiers.
Je veux
mettre en garde contre cette guerre, organisée par
le clan mafieux, qui se prépare et qui va mettre un
terme à cette fraternité qui nous a réuni
depuis des siècles.
Je veux
que le monde entier, soit témoin de cette guerre aux
allures de génocide qui a été préparée,
organisée et suscitée par le régime policier
de Guelleh.
Association
des jeunes exilés Djiboutiens.
____________________
Haut de page ________________
20/01/02
Le mensonge et la fourberie : selon une déclaration
de l'Ambassadeur de Djibouti à Washington parue dans
l'ADI, IOG semble fort embarrassé concernant la Somalie.
IOG a
initié et soutenu le processus d'ARTA pour la Somalie
! Le résultat a été l'accouchement d'un
gouvernement de transition qui est selon les termes même
de l'Ambassadeur "fragile". Le mot est certainement
faible, car il ne semble pas que les dirigeants de ce gouvernement
ait pu obtenir en plus d'un an, l'adhésion de la majorité
des somaliens...
Au-delà
de ce qui aurait pu être une heureuse initiative de
la part d'IOG, chacun a compris très vite que le dictateur
de Djibouti avait mélangé (comme d'habitude)
ses intérêts personnels avec ceux des populations.
C'est antinomique et cela ne fonctionne jamais bien longtemps.
Combien
IOG a-t-il gagné directement et indirectement (trafic
en tout genre : alimentaire, devises, armes) dans ce processus
? Difficile à évaluer, mais il semblerait que
son gain personnel soit évalué à des
montants très élevés ...
Aujourd'hui
IOG est pris entre deux feux : continuer à soutenir
ce régime somalien dont la légitimité
semble très limitée et en même temps,
se faire bien voir des occidentaux pour continuer à
recevoir la manne internationale. A titre d'exemple, la présence
de militaires hébreux, français, américains
hollandais et allemands, en nombre important, sur le territoire
djiboutien.
On comprend
dans le discours publié, ci-dessous, la difficulté
du régime d'IOG qui a du mal à justifier deux
positions contradictoires. Le mensonge et la fourberie.
_____________
ADI/DJIB/1671/355
MOTS
« Combattons le terrorisme,
mais aidons la Somalie », selon M. Robleh Olhayé,
Ambassadeur de Djibouti à Washington
DJIBOUTI
(ADI)- 18 janvier- En réponse aux rumeurs de plus en
plus persistantes dune attaque américaine imminente
sur la Somalie, LAmbassadeur de la République
de Djibouti à Washington, M. Robleh Olhayé,
a déclaré que la Somalie nétait
pas lAfghanistan, et que les preuves faisaient jusqualors
défaut pour justifier lexistence de camps terroristes
dans ce pays(la Somalie.)
Dans cette
interview quil a accordé mercredi dernier au
journal AFRICA.COM, et qui est parue hier, M. Robleh Olhayé,
le doyen des Ambassadeurs africains en poste à Washington
a rappelé lurgente nécessité daider
la Somalie, « pays meurtri à émerger du
chaos et de lanarchie. » Rappelons que le dernier
sommet de Chefs dEtats de lIGAD qui sest
tenu à Kartoum, le 10 et 11 janvier 2002, a également
appelé la communauté internationale à
se joindre à ses efforts en vue daider à
la consolidation de la paix en Somalie.
Le diplomate
djiboutien a indiqué que malgré sa fragilité,
le Gouvernement National de Transition somalien, demeure «
lémanation de la volonté du peuple somalien
.» M. Olhayé sest par ailleurs étonné
que contrairement au Sierra-Léone, au Libéria,
ou en Guinée-Bissau, la Communauté Internationale
nait pas dit "aidons cette entité légitime
qui a son siège aux Nations-Unies, à lIGAD,
à la Ligue-Arabe, et à lOUA."
Estimant
à juste titre quil était « dans
lintérêt de lOccident de porter un
autre regard sur la Somalie », lAmbassadeur a
déploré le silence et la négligence de
la Communauté Internationale à légard
« des somaliens longtemps livrés à leur
propre sort. » « Aidons-les à reconstruire
leur nation, aidons-les à se mettre sur les rails »
a t-il demandé.
Rappelons
enfin que le 8 janvier dernier, M. Robleh Olhayé, en
sa qualité de doyen du corps diplomatique accrédité
à Washington, avait adressé une lettre au Président
américain, George. Walker. Bush, en lui demandant notamment
dans cette requête, une augmentation de lassistance
américaine au développement de lAfrique,
dans la perspective du budget 2003 .
ADI- 10H15
GMT- 18 JANVIER 2002
____________________
Haut de page ________________
20/01/02
Merci de votre appui (lecteur)
Bonjour,
nous vous remercions, personnellement de votre appui. Dorénavant
vous êtes notre source d'information la plus apréciée.
Cette courte lettre est une sonnerie d'alarme pour avertir
les pauvres gens qu'IOG utilise pour son compte lorsque cela
fait son affaire.
Merci de votre appui de tous les jours.
____________________
Haut de page ________________
20/01/02
Le journal de l'ARDHD est construit semaine après semaine
pour les Djiboutiens, mais il a besoin des Djiboutiens pour
continuer son action.
Note
de l'ARDHD :
Depuis
trois ans sans aucune interruption, semaine après semaine,
les publications de l'ARDHD informent les Djiboutiens (qu'ils
soient à Djibouti ou à l'étranger) et
l'opinion internationale, des conditions de vie à Djibouti,
des dérives du pouvoir et de toutes les violations
des Droits de l'Homme et autres commises par IOG l'abject
et par ses sbires.
Il a certainement
permis de limiter les excès commis par le dictateur-Président
et d'obtenir de nombreux succès en terme de justice.
Ce journal
a besoin de recevoir continuellement des informations pour
continuer sa mission. Il s'appuie sur :
-
les
dépêches des grandes agences d'information, française,
américaine, etc.
-
les
publications de la LDDH, rédigées par Jean-Paul
Noël Abdi,
-
des
informations données par des Français qui ont
à coeur d'aider les Djiboutiens dans leur malheur et
dans le combat qu'ils doivent mener contre la dictature et
contre l'injustice,
-
et
surtout des informations données par les Djiboutiens
eux-mêmes.
A
tous les Djiboutiens :
nous avons essentiellement besoin de vos informations
pour continuer notre travail en faveur de la libération
du peuple djiboutien, de la redécouverte de sa dignité
et aussi, lorsque cela est nécessaire, de la dénonciation
de ceux qui tiennent un double langage en étant des
opposants en façade. Alors qu'ils soutiennent plus
ou moins directement le régime, pour des intérêts
personnels, et qu'ils contribuent à ne laisser aucune
chance aux Djiboutiens de relever la tête et de prendre
leur destin en main.
Notre
but est d'aider les Djiboutiens pour qu'ils relèvent
la tête et qu'ils retrouvent l'honneur. Nous l'avons
déjà dit : il n'y a pas de malédiction
en ce qui concerne le peuple djiboutien. Son destin est entre
ses mains et nous sommes à ses côtés pour
le soutenir et pour éviter que la communauté
internationale oublie, ne serait-ce qu'une seule minute, ses
difficultés ...
De
votre côté, n'hésitez surtout pas à
nous envoyer des informations : elles sont indispensables
pour alimenter l'information et pour poursuivre la lutte contre
la dictature.
____________________
Haut de page ________________
19/01/02
Notre informateur nous confirme que l'Ambassadeur en poste
à Addis Abeba pourrait avoir une sympathie particulière
pour les méthodes des Talibans
(Information lecteur à vérifier)
J'ai reçu
des informations complémentaires. Les djiboutiens qui
auraient obtenu de l'aide de l'Ambassadeur 'taliban' djiboutien
étaient originaires de la même tribu que lui.
Dans son
entourage, il semble que l'on estime même que les talibans
ne sont pas mauvais et qu'ils auraient de bonnes idées
au sujet de l'Islam.
En le
nommant à la tête de la diplomatie djiboutienne
en Éthiopie, on
peut se demander si le Président n'a pas commis une
faute grave, qui pourrait avoir des conséquences nuisibles
sur la politique americano-djiboutienne.
Cet Ambassadeur
ne semble pas être à la hauteur de ses responsabilités,
mais il parait que c'est le cousin du Président, le
tout-puissant directeur de l'EDD, M Djama Ali Guelleh qui
avait insisté pour qu'il obtienne le poste. Il le connaissait
bien, non pas pour son expérience professionnelle,
mais simplement parce qu'il s'agit d'un ancien comptable de
l'EDD.
De la
comptabilité de l'EDD à la diplomatie, il y
a un fossé et M. le nouvel Ambassadeur de Djibouti
auprès de Éthiopie ne semble vraiment pas avoir
les qualités requises pour le franchir.
D.D.D
HOLLANDE
____________________
Haut de page ________________
19/01/02
A lire dans La Lettre de l'Océan Indien
LA LETTRE
DE L'OCEAN INDIEN - 19/01/2002
AVIATION - Air Djibouti en liquidation
Plombée par les dettes, la compagnie Air Djibouti qui
avait été immatriculée en France en octobre
1998 a été mise en liquidation, le 20 décembre
dernier. (...). [Total : 149 Mots].
LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN - 19/01/2002
CORNE DE L'AFRIQUE - Josselin
et les ambassadeurs à Addis
Le ministre français délégué à
la coopération, Charles Josselin, a réuni à
Addis-Abeba les 15 et 16 janvier, les ambassadeurs de France
en Afrique orientale. (...). [Total : 359 Mots].
____________________
Haut de page ________________
19/01/02
Le jeu continue : nous avons besoin de vos réponses.
(par Roger Picon)
On
peut jouer seul, en famille ou avec des amis.
Les bonnes réponses seront données dans un prochain
numéro avec l'analyse statisitique des réponses
reçues.
On peut répondre sous son nom ou de façon anonyme.
Le ou les gagnants recevront une récompense spéciale
de l'ARDHD.
Note
du 12/01/02 : nous remercions tous ceux et toutes celles qui
nous ont déjà répondu et qui sont nombreux.
Chacun aura bien compris que ce jeu est à prendre au
deuxième degré et qu'au delà de l'humour
et de la simplicité apparente, nous souhaitons avoir
votre avis sur un problème majeur, qui devrait trouver
une issue dans un avenir que nous souhaitons le plus proche
possible. La question de la responsabilité pénale
de Guelleh, de Gouled et de leurs proches pour tous les crimes
contre l'humanité qui ont été commis
à Djibouti depuis vingt ans.
MERCI
DE NOUS ADRESSER RAPIDEMENT VOS REPONSES POUR QUE NOUS PUISSIONS
ETABLIR UN RESULTAT STATISTIQUE VALIDE.

Comment
jouer ?
Etape
A - Notez d'abord sur un papier vos réponses
aux cinq questions que nous vous proposons.
Question
N°1 - Donnez le numéro de l'image qui est différente
des autres :
->
A,
-> B,
-> C,
- >D,
Une seule réponse est possible !
_________________________________________________________________________
Question N°2 - A votre avis,
est-il possible de déplacer le carré D
vers l'un des autres carrés A, B ou C ?
->
OUI
-> NON
Une seule réponse est possible !
_________________________________________________________________________
Question N°3 - A quelle échéance
?
->
cette année,
-> l'année prochaine,
-> avant cinq ans
-> plus de cinq ans
Une seule réponse est possible !
_________________________________________________________________________
Question N° 4 - Quelles forces
faudrait-il utiliser pour que D rejoigne un autre carré
?
->
le courage civique,
-> l'obstination,
-> le dépôt de plaintes devant les juridictions
occidentales (Belgique, France, Canada, ...)
-> le soutien des diplomaties occidentales
Plusieurs réponses sont possibles !
_________________________________________________________________________
Question
N° 5 (Subsidiaire pour départager les gagnants)
A votre avis combien recevrons-nous de réponses ?
->
donner un chiffre de 1 à 10.000
_________________________________________________________
_________________________________________________________
Etape
B - Cliquez
ici
et donnez vos réponses aux cinq questions dans le message.
(Exemple ci-dessous)
Exemple
de réponse (Attention : les réponses proposées
dans cet exemple ont été choisies au hasard
; elles ne sont pas obligatoirement les bonnes ..) :
1)
A
2) OUI
3) L'année prochaine
4) Obstination et courage civique
5) 1.232
|
____________________
Haut de page ________________
|
L'HOMME
OU LA FEMME
DE LA
SEMAINE.
Dans
cette rubrique nous signalons à l'opinion internationale,
celle ou celui qui s'est distingué(e)
- soit par son zèle pour soutenir la dictature,
- soit en violant les Droits de l'Homme : cruauté, tortures,
exécutions sommaires, emprisonnements arbitraires, viols,
assassinats, destruction de cheptels ou de point d'eau, destruction
d'écoles ou de centres de soins, etc..
Auront-ils
à répondre un jour
de leurs actes
et de leurs crimes
devant un tribunal pénal international ?
Rappel
des personnages
déjà "élus" :
LA
LIBERTÉ N° 17 -
Mme LEILA, juge
d'instruction
LA
LIBERTÉ N° 19 -
Omar FARAH, gendarmerie
d'Ali Sabieh
LA
LIBERTÉ N° 29 -
Le général Yacin YABEH,
LA
LIBERTÉ N° 32 -
Le directeur de la Prison de Gabode,
LA
LIBERTÉ N° 33
-
Ali Mohamed ABDOU, procureur général
LA
LIBERTÉ N° 35 -
Mme Hawa Ahmed YOUSSOUF Ministre
déléguée conjointement avec
M. Le Représentant de l'UNICEF
à Djibouti.
LA
LIBERTÉ N° 36 -
M Ibrahim Idriss DJIBRIL, Ministre
de la Justice, conjointement avec
M Mohamed Ali ABDOU, procureur
général de Djibouti (2ème nomination)
BULLETIN
N° 4 -
Lieutenant GUELLEH de la FNP
BULLETIN
N° 7 -
Le responsable des forces de police qui
a donné l'ordre le 24 juin de tirer à balles réelles
sur Daher Guedi FOUREH.
BULLETIN
N° 16 -
M Yacin Elmi BOUH,
Ministre de l'Économie
et des Finances.
LA
LIBERTÉ bulletin N° 23
-
M. Yacin Elmi BOUH,
Ministre de l'Économie
et des Finances (2ème nomination)
LA
LIBERTÉ bulletin N° 28
-
Monsieur Abdallah Abdillahi Miguil, Ministre
de l'Intérieur
LA
LIBERTÉ bulletin N° 29 -
Monsieur MOGUEH, Ministre délégué
aux affaires musulmanes
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 32 -
Madame Nima Ali Warsama,
Juge d'instruction
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 36
Monsieur Ali Mohamed Daoud - Ministre de l'Agriculture
et du développement rural.
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 37
Le
Lieutenant-colonel Abdourahman Ali Kahin,
Chef du groupement de police du district de Djibouti.
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 40
Le procureur IBRAHIM,
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 42
M.
Idriss Arnaoud Ali,
Directeur
de Publication du Journal le Progrès, Président de
la Commission Permanente de l'Assemblée Nationale et Secrétaire
Général Adjoint du Parti RPP.
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 43
le Président Saïd Mahamoud Abkar, Cour
criminelle de Djibouti.
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 48
Hassan
dit "Modaubé"
OBSERVATOIRE
N° B106
DJAMA SOULEIMAN, procureur
auprès du Tribunal de Première instance de Djibouti
Directeur adjoint de la Police
politique.
------------
Sommaire
---------------
Les
principaux responsables
d'actes de torture
à Djibouti.
En
attendant que la justice pénale puisse instruire les plaintes
des victimes de mauvais traitements, de spoliation, de viols,
de torture et d'emprisonnement arbitraire (.. . ), nous rappelons,
chaque semaine, à l'opinion publique internationale les
noms des tortionnaires qui ont été le plus souvent
cités par les victimes, et ce jusqu'à ce qu'ils
soient inculpés.
-
Colonel
Mahdi Cheikh Moussa,
- Colonel
Omar Bouh Goudade
- Lieutenant-colonel
Hoche Robleh
- Commandant
Zakaria Hassan
-
Lieutenant Ladieh
-
Lieutenant Mohamed Adoyta
-
L'aspirant Haroun
-
Le sous-officier Naguib
-
L'adjudant Tane
-
Kalifa
-
Wagdi
Certains
se seraient déjà réfugiés à
l'étranger (USA et Canada) sous de fausses identités,
mais ils sont placés sous surveillance, par les polices
locales.
Nos
informations sur la torture à Djibouti et les récits
des victimes
--------
Sommaire ---------
L'Ordre
des
Brosses à Reluire
réunit les meilleurs chantres du régime dictatorial
Bulletin
n° 44
Mahdi Ahmed Abdilahi
au grade de Cireur de Pompes - Premier échelon
Bulletin
n° 45
Monsieur
Ali Abdi, Ministre
des Affaires Etrangères au grade d'hyène fonceuse
- Premier échelon
Monsieur
Johar, Ministre
du commerce au grade d'hyène repue - Premier échelon
Bulletin
n° B122
Mohamed
Ali Mohamed (dit DIG DIG), auteur
de l'article "Pour
un peu plus de patriotisme"
(paru dans le journal La Nation N°91 du 12/11/01) au grade
de Léche-bottes avec mention spéciale.
Bulletin
n° B127
L'ensemble
des journalistes de La Nation pour
un article paru début janvier 2002 et intitulé "Pour
la liberté de la Presse", collectivement au grade
de 'faux-culs' avec la barrette spéciale de dénonciateurs.
|